Grâce à vos données, on peut tout savoir de vous : voyez par vous-même Depuis les révélations d’Edward Snowden, on ne cesse de vous bassiner de données et métadonnées. Les entreprises les captent, les Etats les soutirent, les citoyens les fuitent, tout le monde surveille tout le monde. Dans ce débat qui confine à la paranoïa, les internautes se rassurent comme ils peuvent. Après tout, je suis un être complexe, ce n’est pas en espionnant mon profil Facebook et mes recherches YouTube qu’on va me cerner. Certes, il n’est pas question ici de tout savoir sur vous, citoyen lambda, pour vous faire chanter ou vous extorquer quoi que ce soit. Pourquoi, malgré tout le travail de sensibilisation réalisé sur l’importance du droit au respect de la vie privée, y a-t-il si peu d’inflexion dans nos usages numériques ? Dans ce cas, donnons-lui un corps.
Les eaux glacées du calcul égoïste -- Manuel Valls enterre la directive nitrates Le Premier ministre Manuel Valls a donc assuré vouloir oeuvrer pour une remise à plat de la réglementation nitrates auprès de Bruxelles. "Nous travaillerons à une adaptation de cette directive nitrates dont l’approche normative a clairement montré ses limites", a-t-il déclaré lors des Terres de Jim, plus grand événement agricole en plein air organisé par les Jeunes Agriculteurs (JA). Les agriculteurs demandent, il est vrai, depuis des mois une remise à plat de cette réglementation, s’estimant dans l’impasse, malgré « leurs efforts pour améliorer les choses. » On sait que la France vient à nouveau d’être condamnée jeudi dernier par la justice européenne pour manquements dans sa lutte contre la pollution aux nitrates. On indiquait samedi « dans l’entourage du Premier ministre » que « l’ambition de la France est de conduire des études scientifiques et de trouver des alliances pour faire évoluer la directive, » Quand la FNSEA dicte sa conduite au ministère de l’Agriculture
L'impact des produits sur l'environnement et la santé bientôt classé « secret d'affaire » ? Vous souhaitez connaître l’impact des produits de consommation sur l’environnement et votre santé ? Normal, non ? Malheureusement cette information est en passe d’être classée « secret d’affaire » par les gouvernements de l’Union européenne. Après avoir échoué à faire adopter l’amendement sur le secret industriel de la loi Macron, le gouvernement français, aidé d’autres gouvernements de l’Union européenne, soutient en effet actuellement une proposition de législation européenne allant dans ce sens. Une bonne intention détournée Au départ, la « proposition de directive européenne sur l’obtention, la divulgation et l’utilisation illicite de secrets d’affaires », que le Parlement européen et les États Membres discutent actuellement, était censée protéger l’innovation et l’industrie européenne contre l’espionnage industriel et la concurrence déloyale. Un secret d’affaire, c’est quoi ? Et secrètes d’après qui ? © Commission Européenne Essais cliniques, désormais « secrets » ?
les nanoparticules dans notre quotidien Les produits contenant des nanoparticules sont partout dans notre quotidien : aliments aux « saveurs inédites », cosmétiques agissant plus en » profondeur », sous vêtements antibactériens, fours et réfrigérateurs « autonettoyants », articles de sports « performants… Ces nanoparticules sont-elles dangereuses pour notre santé ? L'émission Roger Lenglet a mené une enquête pour savoir si oui ou non les nanoparticules sont dangereuses pour le vivant en examinant l’histoire de cette aventure de pointe (industrie, économie, politique, militaire, toxicologie) car elles sont partout dans nos vies quotidiennes (aliment, corps, cosmétiques, tissus, médicaments…) Avec 2000 applications différentes déjà commercialisées, il est devenu urgent de connaître les risques pour notre santé avec ROGER LENGLET, épistémologue spécialisé en santé publique, philosophe et journaliste d’investigation. Nanotoxiques, une enquête de Roger Lenglet aux Éditions Actes Sud Collection "Questions de société" www.nanoresp.fr
10 gros mensonges sur la nutrition Les consignes officielles en nutrition diffusées dans les écoles, les hôpitaux, les médias, sont inexactes et contradictoires. J’ai fait une liste des pires exemples ci-dessous, mais ce n’est malheureusement que la pointe émergée de l’iceberg. Voici 10 gros mensonges, mythes et idées fausses qui circulent : 1. Le petit-déjeuner idéal « Idéalement, la journée débute avec un repas équilibré, composé d’un laitage, d’un fruit et d’une boisson…», écrit Flora Genoux en page 15 du journal Le Parisien, mardi 3 décembre 2013. Ces conseils dérivent directement des recommandations officielles de manger, au petit-déjeuner, une tartine de beurre et de confiture, un jus d’orange et un bol de lait. On retrouve une variante de ce mythe sur les boîtes de céréales, qui martèlent aux enfants que leur petit-déjeuner idéal se composera, par exemple, d’un « bol de Kellogg’s Corn Flakes avec du lait (pour le calcium) et d’un jus d’orange (pour les vitamines) ». Faux, faux, faux sur toute la ligne. 2. 3. 4. 5. 6. 7.
Claire Séverac : "Tous nos maux proviennent de l’alliance entre les cartels de la chimie, de l’agro-alimentaire et de la pharma" L’agence Info Libre est allée à la rencontre de Claire Séverac, auteur de plusieurs ouvrages sur différents thèmes, mais c’est bien son dernier Complot mondial contre la santé qui nous a encouragé à la rencontrer. Le rendez-vous a été fixé au Vendredi 14 Mars 2014 sur l’esplanade du Trocadero. En plein pic de pollution et en présence d’une Tour Eiffel noyée sous un voile blanc, quel meilleur endroit pour réaliser un entretien traitant de la santé ? Dans cette interview, il est question des institutions de la Santé comme l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) , la FDA (Food and Drugs Administration), l’EMA (European Medicines Agency) et l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament), mais aussi des ONG comme Medecins sans frontières, La croix rouge etc. Source1Source2
Le mensonge dans lequel nous vivons ou l'échec de notre civilisation consumériste 28 954 lectures / 93 commentaires02 mai 2015 ; révision : 11 novembre 2015, 18 h 31 Est-vraiment la société dont nous rêvions ?© C. Magdelaine / notre-planete.info Une fois n'est pas coutume, nous vous proposons de découvrir et méditer sur les messages de ces vidéos qui, en quelques minutes, synthétisent avec brio le monde, sans aucun futur, que nous construisons chaque jour. A nous d'œuvrer pour un avenir radicalement différent ! Que s'est-il passé durant ces deux cent dernières années pour que nous arrivions là, au bord du précipice ? Nos sociétés de consommation réduisent l'ensemble des rapports humains à des rapports marchands. Jamais dans l'histoire de l'humanité, notre environnement n'a autant été dégradé, au point que même l'air que nous respirons est devenu cancérogène ! Notre terre nourricière ne nous appartient plus, elle a été achetée et est exploitée sans scrupule par des multinationales et les marchés financiers qui nous empêche d'en récolter simplement les fruits. Auteur
Comment les céréaliers tentent d’enrayer la vogue du « sans gluten » Le sans gluten séduit un nombre croissant de consommateurs français, au point d’inquiéter plusieurs filières de l’agro-alimentaire, à commencer par celle des céréaliers. Le sans gluten est un régime alimentaire qui exclut les aliments contenant du gluten (blé, seigle, orge et certains produits transformés). Le nombre croissant de ses adeptes commence à donner des cauchemars aux adhérents d’Intercéréales, une organisation qui regroupe treize organisations professionnelles impliquées dans la production, la commercialisation, la transformation et la promotion des céréales. Cette dernière mission est dévolue à Passion Céréales et au CIFAP (Centre d'information des farines et du pain) via son « Observatoire du Pain », déjà évoqué sur ce site. L'Observatoire du Pain est à l'origine d'une campagne récurrente de promotion du pain pour « enrayer, voire inverser la tendance à la baisse de la consommation. » Cette campagne, sur le thème « Coucou ? L’avis de LaNutrition.fr
Savez-vous qui est Avaaz ? Nous venons de recevoir ce courrier. Vous aussi sans doute. Si vous ne l'avez pas lu le voici ci-dessous, voici ma réponse pour expliquer qui est Avaaz. Lire en premier leur lettre pus revenir à mon commentaire. C'est uniquement du "barratin" Mon commentaire : Avaaz se plaint ? Si vous êtes conscients, ne répondez pas à ce message, laissez-les s'embourber tout seuls dans leurs mensonges. ils n'ont pas d'adhérents mais des gens qui se contentent de signer sans réfléchir. N'oubliez jamais que cette ONG a été créée par Ricken Patel, un anglo-canadien qui a travaillé pour la fondation Rockefeller, la fondation Bill Gates, a été consultant pour l’ONU, et fréquente tous les patrons de la mondialisation. Qui sont ces "spécialistes" anonymes qui affirment n'importe quoi sans aucune preuve ? Remarquez-bien que leur équipe change constamment et demandez-vous pourquoi ! En août 2010, un blogueur ex-volontaire d'Avaaz livre un témoignage critique sur cette organisation. Sylvie Simon
Overdose d’antibiotiques dans l’élevage industriel Des animaux gavés aux antibiotiques pour accélérer leur croissance, et voilà des bactéries résistantes qui se retrouvent dans nos assiettes. Elles génèrent des affections parfois mortelles, qui représentent un coût élevé pour le système de santé. Mais la surconsommation d’antibiotiques représente un gain de productivité pour l’industrie agroalimentaire, qui, aux États-Unis, se réjouit de la récente décision de l’Agence de l’alimentation d’autoriser leur utilisation massive dans l’élevage. La consommation d’antibiotiques prescrits par les médecins n’est rien comparée à la quantité ingérée via l’alimentation. Une étude publiée par la revue médicale Clinical Infectious Diseases en 2011 révèle ainsi que la moitié de la viande de bœuf, de poulet, de porc et de dinde vendue dans les grandes surfaces aux États-Unis contient des germes résistants aux antibiotiques (le staphylocoque SARM). La France détient le record de résistance aux antibiotiques Agnès Rousseaux Photo : CC John Donges Notes
Ce qui change en juillet : tiers payant, allergènes, Mobib et SNCB Tiers payant obligatoire pour les généralistes Le régime de tiers payant (remboursement des prestations des médecins directement par les mutuelles), que les médecins généralistes doivent appliquer pour leurs patients qui bénéficient de l'intervention majorée de l'assurance soins de santé, entre en vigueur le 1er juillet. Toutefois, le processus se fera "en souplesse", avec une application définitive au 1er octobre. Tous les médecins ne sont, en effet, pas encore équipés pour pouvoir facturer électroniquement. En vertu de l'accord de gouvernement, le régime du tiers payant obligatoire chez le médecin généraliste sera d'abord instauré pour les patients qui bénéficient de l'intervention majorée, car ces personnes constituent le groupe le plus vulnérable, soit environ 1,9 million de personnes. Le régime du tiers payant s'applique déjà à tous les patients dans les hôpitaux, chez les infirmiers à domicile et dans les laboratoires. Limitation aux suppléments d'honoraires en hôpital de jour
L’industrie laitière, comme celle du sucre, dit aux élèves ce qu’il faut manger (et boire) Comme le CEDUS, l'industrie laitière dispense, avec la bénédiction de l'Education nationale, son "information nutritionnelle" dans les écoles et collèges, histoire "d'éduquer" les "futurs consommateurs". Un sacré fromage ! LaNutrition.fr a révélé le 29 janvier 2013 l'étonnant partenariat entre l'industrie du sucre (CEDUS) et l'Education nationale pour prodiguer des "conseils de nutrition" aux élèves, aux enseignants et même aux familles. L'affaire tourne aujourd'hui au scandale. Nous écrivions à ce propos que l'Education nationale avait confié au renard les clés du poulailler. Aujourd'hui nous pouvons assurer les parents que le poulailler est vraiment bien gardé. Car outre le renard de l'industrie du sucre, celui de l'industrie laitière veille à ce que les élèves reçoivent le "bon" message : des produits laitiers pour tous, chaque jour, et pas qu'un peu ! Sucre, lait... "12 millions de futurs consommateurs", a calculé l'industrie laitière Alors pourquoi se gêner ? Dans le terrier du renard
Histoire des poisons histoire des poisons [1] s'étend de 4500 av. J.-C. à nos jours. Les poisons ont été utilisés à de nombreuses fins, au fil de l’histoire humaine, plus communément comme arme, antidote au venin et médicament. Le poison a été découvert dans l’antiquité et a été utilisé par les tribus et les civilisations anciennes comme outil de chasse pour accélérer et assurer la mort de leurs proies ou de leurs ennemis. Dans l’Europe médiévale, le poison est devenu une des méthodes d'assassinat les plus populaires, même si des antidotes sont apparus pour beaucoup de substances parmi les poisons les plus largement répandus. Au cours des siècles, l'usage de poisons à des fins répréhensibles a continué à se répandre. Antiquité et préhistoire[modifier | modifier le code] Strychnos toxifera, une plante utilisée pour empoisonner les pointes de flèches. Le poison est d'usage au sein de nombreuses royautés du monde antique. Pline l'Ancien a décrit plus de 7 000 poisons différents. Inde[modifier | modifier le code]