Big data Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une visualisation des données créée par IBM[1] montre que les big data que Wikipedia modifie à l'aide du robot Pearle ont plus de signification lorsqu'elles sont mises en valeur par des couleurs et des localisations[2]. Croissance et Numérisation de la Capacité de Stockage Mondiale de L'information[3]. Dans ces nouveaux ordres de grandeur, la capture, le stockage, la recherche, le partage, l'analyse et la visualisation des données doivent être redéfinis. Certains supposent qu'ils pourraient aider les entreprises à réduire les risques et faciliter la prise de décision, ou créer la différence grâce à l'analyse prédictive et une « expérience client » plus personnalisée et contextualisée. Dimensions des big data[modifier | modifier le code] Le Big Data s'accompagne du développement d'applications à visée analytique, qui traitent les données pour en tirer du sens[15]. Volume[modifier | modifier le code] Variété[modifier | modifier le code]
La connaissance client, clé d'une relation plus profitable Dans un environnement digitalisé où le consommateur a pris le pouvoir, un bon marketing produit n'est plus suffisant pour acquérir et engager ses cibles. Il s'agit désormais de converser avec chaque client pour lui proposer une expérience unique et cohérente sur tous les points de contact. Dans ce contexte, la connaissance client devient un facteur clé de différenciation. Mieux connaître son client, mieux le comprendre, c'est être capable de l'intéresser avec le bon message, au bon moment et sur le bon canal. C'est finalement alimenter un dialogue de qualité pour poser les bases d'une relation pérenne et profitable. Avec l'explosion des données disponibles (90 % des données existantes dans le monde ont été créées ces deux dernières années), cette quête de connaissance client devient un parcours complexe. Pour aller plus loin, téléchargez le livre blanc Les 10 commandements de la Connaissance Client
Facebook s'invite (discrètement) dans les rayons des magasins avec des QR codes Le smartphone constitue l'élément clé pour réunir le monde du online et celui du offline. Ce constat n'a pas échappé à Facebook, qui, lui aussi, se lance dans l'omnicanalité. Le réseau social, qui frôle désormais les 2 milliards d'utilisateurs mensuels dans le monde, teste une nouvelle fonctionnalité au sein de son application mobile. Repérée par le site américain TechCrunch, cette option baptisée "Rewards" permet aux utilisateurs de scanner avec leur smartphone des QR codes déployés dans des points de ventes physiques d'enseignes partenaires du programme. Contacté par la rédaction de TechCrunch, Facebook a reconnu expérimenter cette solution depuis quelques mois : "Pour aider les entreprises à se connecter à leurs clients là où ils se trouvent, nous menons un petit test qui permet aux utilisateurs d’utiliser l’appli Facebook pour cumuler et proposer des récompenses lorsqu’ils réalisent un achat dans un magasin membre du programme".
Le probabilisme, nouveau dogme ? Fallait-il 16 milliards de dollars pour que la perplexité gagne enfin les consommateurs quant à leur utilisation non protégée des technologies de la communication et de l’information ? Le rachat de WhatsApp, application de messagerie instantanée, par Facebook a alerté les plus naïfs. WhatsApp, c’est plus de 450 millions d’utilisateurs, chaque mois. Devant tant de ferveur non dissimulée de la part de Facebook, autre grand apôtre du big data, les groupes de défense de la vie privée ont décidé de déposer un recours contre ce rachat auprès de la Federal Trade Commission (États-Unis) pour vérifier quelles sont les protections mises en place contre « les pratiques injustes et trompeuses de collecte de données ». Big data. Explication : « Avec les big data, il ne s’agit pas d’apprendre à un ordinateur à penser comme les êtres humains, mais d’appliquer des règles mathématiques à des ensembles de données pour en inférer des probabilités (…).
Parcours client unifié : mode d'emploi en 3 étapes A vos calculettes : le panier moyen d'un client omnicanal est 2 à 3 fois supérieur à celui d'un client monocanal. La preuve par le chiffre que la clé du succès pour le commerçant traditionnel réside bien dans la création d'une logique d'achat où le consommateur interagit où il veut et quand il veut avec lui. Mais reconnaissons que proposer un parcours client unifié ne relève pas du parcours de santé ! L'heure n'est plus à tergiverser : 59% des consommateurs utilisent au moins 2 canaux pour leurs achats (Source : étude ECR- Kinali 2015). Identification du client en amont Prenons exemple sur les pures players. Adaptation à de multiples scénarii S'ouvre alors le champs des possibles. Au commerçant de s'adapter pour répondre à toutes les situations. Désilotage obligatoire Pour cela, il faut en finir avec la création de stocks par entité (magasin, web...). Manhattan Associates pousse un cran plus loin avec la fonction " Available to Commerce(TM). * Etude OCC, 2015
Maîtrisez les réglages « vie privée » de votre smartphone Réglez la géolocalisation en fonction de vos besoins Pourquoi c’est important ? Environ 30 % des applications utilisent la géolocalisation, parfois plusieurs fois par minutes. Ces informations pourraient permettre de déduire des informations sur les habitudes et modes de vie des utilisateurs (lieux de vie, de travail, habitudes de fréquentation, mobilité, fréquentation d’établissements de soins ou de lieux de culte) Si vous voulez avoir un aperçu de l’impact de l’activation permanente de l’outil de géolocalisation sur votre smartphone androïd, rendez- vous sur Google Location Pour désactiver ce service, rendez vous sur la page google location. Si vous ne souhaitez plus que la localisation soit enregistrée à l’avenir, il vous faudra désactiver l’option « partager ma localisation » dans les paramètres google de votre téléphone. Comment faire ? Sur Androïd, le paramétrage de la géolocalisation est global pour l’ensemble du téléphone. Limitez le suivi publicitaire Comment faire ?
Pourquoi nos métadonnées sont-elles plus personnelles que nos empreintes digitales A l’occasion du colloque « la politique des données personnelles : Big Data ou contrôle individuel « organisé par l’Institut des systèmes complexes et l’Ecole normale supérieure de Lyon qui se tenait le 21 novembre dernier, Yves-Alexandre de Montjoye (@yvesalexandre) était venu présenter ses travaux, et à travers lui, ceux du MediaLab sur ce sujet (Cf. « D’autres outils et règles pour mieux contrôler les données » ). Yves-Alexandre de Montjoye est doctorant au MIT. Il travaille au laboratoire de dynamique humaine du Media Lab, aux côtés de Sandy Pentland, dont nous avons plusieurs fois fait part des travaux. Nos données de déplacements sont encore plus personnelles que nos empreintes digitales Faire correspondre des empreintes digitales n’est pas si simple, rappelle Yves-Alexandre de Montjoye. Image : illustration de l’unicité de nos parcours repérés via des antennes mobiles. Et Yves-Alexandre de nous inviter à retrouver un de ses collègues du Media Lab. Hubert Guillaud
Rachel Marouani (Sephora) : "L'application MySephora déploie en magasin tout notre CRM personnalisé" L'enseigne a conçu un moteur de recommandation de produits basé sur son programme de fidélité, dont disposeront bientôt les vendeuses en magasin. Sa directrice e-commerce dévoile le projet. JDN. Vous annoncez le lancement de MySephora, un dispositif de relation client totalement multicanal. En quoi consiste-t-il ? Rachel Marouani. Vous avez donc développé votre propre moteur de recommandation... Tout à fait. Quel rythme de déploiement prévoyez-vous ? Le dispositif est en test depuis fin juillet 2011 dans cinq magasins de la région parisienne. Que permet de faire cette application ? Tout d'abord, ce dispositif concerne les porteurs de la carte de fidélité de Sephora, qui sont 8 millions en France. L'application donne aussi accès à son historique d'achats. MySephora regroupe-t-il d'autres fonctionnalités ? Oui, cet outil n'a pas pour unique fonction de suggérer des produits. L'application permet aussi de modifier les coordonnées du client, donc de qualifier notre base très facilement.
Facebook, la machine à flatter En dix ans, le succès planétaire rencontré par Facebook a généré une myriade de discours. Des discours qui, tous, semblent avoir occulté le ressort fondamental qui structure de part en part la méta plateforme : Facebook représente dans les faits un dispositif technique hautement élaboré, prioritairement destiné à flatter “l’individu-roi” contemporain. C’est du côté de “l’expérience utilisateur” que l’on peut décrypter – comme à la trace – la formation d’un sujet érigé en maître absolu de son environnement social en ligne. Chaque usager est appelé à nouer des “affinités sélectives”, par la transmission de requêtes ou par l’acceptation de demandes “d’amitié”. Si la dimension de sollicitation que recouvre l’envoi d’une invitation peut parfois relever d’un exercice délicat – puisque non fondé sur une réciprocité immédiate -, chaque proposition reçue est perçue comme une forme d’estime manifestée à l’égard de sa propre personne. Du facebooker-maître au facebooker-tyran La cruauté du réel
Big data : l’enjeu est moins la donnée personnelle que la disparition de la personne Cet article est publié en collaboration avec TheConversation. Un nouvel « Entretien autour de l’informatique ». Antoinette Rouvroy, chercheure au Fond National de la Recherche Scientifique Belge, rattachée au Centre de Recherche Information, Droit et Société de l’Université (CRIDS) de l’Université de Namur répond à nos questions sur les algorithmes et la gouvernementalité algorithmique. Elle nous conduit aux frontières du droit et de la philosophie. Antoinette Rouvroy, site personnel Binaire : Antoinette Rouvroy, qui êtes-vous ? Le problème de la protection des données personnelles se pose aujourd’hui de façon aigüe ? Aujourd’hui, toute donnée numérique est potentiellement susceptible de contribuer à nous identifier ou à caractériser très précisément nos comportements singuliers si elle est croisée avec d’autres données même peu « personnelles ». C’est la quantité plus que la qualité des données traitées qui rend le traitement éventuellement problématique. Darpa Big data.
Sephora lance sa carte de fidélité, avec l'expertise de Soft Computing Communiqué de Presse / Press Releases Une démarche d’accompagnement, pour un programme de fidélisation sur mesure Soft Computing a mis en place une démarche pour concevoir, avec Sephora, un programme de fidélisation qui réponde aux attentes spécifiques de ses clientes et de ses points de vente, tout en respectant les valeurs essentielles de la marque. Cette démarche repose sur cinq points clés : Un renforcement de la proximité entre Sephora et ses clientes Ces actions ont permis d’aboutir rapidement à l’élaboration d’un programme basé sur des avantages financiers mais aussi qualitatifs, renforçant la différenciation de Sephora et permettant à l’enseigne de mieux connaître et fidéliser ses clientes. Un lancement en mai 2003 dans 160 magasins Soft Computing a assisté Sephora jusqu’au lancement du programme de fidélisation le 2 mai, sur l’ensemble des procédures magasin, la formation, la logistique, et en déterminant les indicateurs pour le reporting et le suivi des retours sur investissement.