Le Thé de Compost Aéré Activé ou TCAA - Substrat et amendement - Guides - Guides de culture du cannabis (Soumis : 20/08/2014 14:50 - Dernière mise à jour : 21/03/2015 14:22) IntroductionLe Thé de Compost Aéré Activé ou TCAA est une recette permettant de recomposer ou dynamiser la vie microbienne du substrat. Ce n’est pas un engrais mais un concentré de vie microbienne bénéfique. On verra par la suite qu’on peut dévier de ce principe et en profiter pour y ajouter des amendements qui fertiliseront aussi le sol.Mais le but 1er d'un thé de compost c'est de multiplier par milliers les micro organismes contenus dans une poignée de compost.Ce procédé a pour intention de constituer un environnement qui va protéger et nourrir votre plante. A qui s’adresse ce procédé ? CompostLe compost est la matière première qu’on va « travailler » pour en extraire et multiplier la vie microbienne bénéfique à la plante. La quantité idéale de compost à utiliser dans un thé est de 2.4% du volume d'eau. NB. Le bullageOn se lance ! Fermer le filet et le disposer dans l’eau juste au-dessus du bulleur : Quand récolter ? NB.
Le Jardin de Némo, une ferme située à six mètres sous la surface de l'océan Cultiver des fraises sous la mer, ça semble impossible et pourtant c'est ce que fait Sergio Gamberini. Cet amoureux de la plongée sous-marine s'est mis en tête d'utiliser les propriétés de l'océan pour faire pousser des plantes en milieu aquatique, à 6 mètres sous la surface de l'eau. Les fans des Beatles seront contents de savoir qu'il y a des champs de fraises accessibles en sous-marin... Cet extraordinaire jardin situé à Noli en Italie est fait de cloches immergées gardant les cultures à la température constante de 26°C et maintenant un taux d'humidité de l'ordre de 83 %. Pallier l'absence de terres cultivables Dans ce jardin immergé, on peut trouver du basilic, des haricots, de la laitue, et même des fraises. Mais si l'océan est considéré comme un allié de taille, il peut tout aussi bien se muer en un dangereux adversaire, puisqu'il peut, en un instant, détruire l'ensemble des précieuses cultures. Vous êtes déjà abonné ?
Un "bordel" organisé: Energie 6) Jean Pain > Réalisation III Cet article est en plusieurs partiesPartie 1 Jean PAIN et ses travauxPartie 2 Faisabilité pour nos besoinsPartie 3 PréparationPartie 4 Réalisation IPartie 5 Réalisation IIPartie 6 Réalisation III (vous êtes ici)Partie X Annexes Jour J Grosse émotion.... Cet après midi j'ai branché 2 mois de travail acharné, plus de 200 heures de travail, des années d'études et d'insomnies. En sortie de collecteur A 10 cm du sommet avec seulement 3 étages Vu d'ensemble du chantier Hommage à vous monsieur Jean Pain, merci à dame nature This is a short description in the author block about the author.
A l’assaut des villes avec le seed bombing | La brèche urbaine Encore peu connu en France, le seed bombing est une pratique de végétalisation qui commence à faire parler d’elle. Une enseigne bio la met aujourd’hui en lumière et propose à ses visiteurs de se lancer dans la confection de bombes végétales. Le seed bombing consiste à végétaliser des espaces citadins ou vierges de toute plante par l’envoi de petites boules d’argile chargées en graines qui germeront à l’arrivée de la pluie. Cette pratique a notamment été popularisée par des mouvements de végétalisation sauvage, telle que la Guerilla Gardening, dont l’objectif est de réintégrer la végétation dans des espaces où elle est absente, qu’il s’agisse de zones semi bétonnées, de friches urbaines ou d’interstices. Quand le marketing popularise une cause écolo Jusqu’alors assez méconnu, le seed bombing était accompli de façon marginale et aucune communication d’envergure n’avait promu cette pratique. Mais pourquoi enfermer les graines dans une boule de terre plutôt que de les semer à la volée ?
Le compost magique de Jean Pain, vieille invention française (presque) oubliée Des tomates qui poussent par -35°C, en janvier, le tout sans « un sou d’électricité ». La prouesse a fait grand bruit au Canada. Fin mars, l’agronome Vincent Leblanc a enfin expliqué au Journal de Montréal comment il a procédé : « J’ai récupéré du fumier d’une écurie du coin et j’ai ajouté des copeaux de bois pour avoir un bon compost. Sur sa page Facebook, l’homme dit s’inspirer d’un système en vogue ces derniers mois en Amérique du Nord, appelé « méthode Jean Pain ». Ben Falk se chauffe grâce à la méthode Jean Pain Anglais sous-titré français Une 2CV qui roule au compost J’ai demandé à Ben Falk d’où il avait tiré cette idée géniale. En interrogeant ce dernier, je découvre que le récent attrait pour la méthode Jean Pain est décidément une histoire de vidéos. Un film sur Jean Pain publié sur Youtube en 2008 Allemand sous-titré anglais C’est donc l’invention d’un Français, datant des années 70, qui passionne aujourd’hui les maraîchers d’Amérique du Nord. « Toutes des héritières de Jean Pain »
l'hypertechnologie au service des plantes Bienvenue dans le futur. Plutôt devrais-je dire, Bienvenue au futur, car en réalité, il est déjà là. Découvrez les derniers projets technologiques qui vont révolutionner votre approche du jardin. Image par Aclinea Demain, tous des robots ? Quand la Nasa himself s’inquiète du futur de notre civilisation, certains prennent les devants et passent à l’action. Un extrait de l’excellent documentaire d’ARTE sur le transhumanisme résume bien la pensée de ce mouvement, décrit comme une « ambition mortifère » par le philosophe français Jean-Michel Besnier. L’alimentation urbaine, un défi : La question alimentaire revient régulièrement sur le devant de la scène. Photography by Iwan Baan via Design Boom Selon les technophiles, nos villes seront amenées à muter, intégrant de la technologies directement dans les infrastructures, à l’image des fermes urbaines et tours agricoles. Alors, futur ou présent ? Nombre des concepts ci-dessous existent déjà, quand je vous dit que le futur est là. Niwa sproutsIO
Des poissons qui font pousser des légumes L’aquaponie vous dit-elle quelque chose ? Non, il ne s’agit pas de poneys dans une piscine, mais bien d’une technique d’agriculture urbaine hors sol qui mélange l’aquaculture et l’hydroponie. Assez populaire dans les pays anglo-saxons, cette discipline est arrivée en Belgique voici deux ans. « En réalité cette technique était déjà employée par les Aztèques, explique Jérôme Veriter, chargé de projet pour Groupe One. Ils fabriquaient des radeaux sur lesquels poussaient quelques légumes et, en dessous, ils fixaient une nasse avec des poissons. Cette technique a toujours très bien marché dans des conditions extrêmes, que ce soit le manque d’eau ou les variations de températures très importantes. » Au Village partenaire de Saint-Gilles, l’association Aquaponiris, a installé une petite serre avec un bassin d’un mètre cube et 6 m² de culture. Ici il s’agit d’une serre d’une taille familiale, mais qui sert essentiellement de vitrine à la discipline. « Cela nous permet d’expliquer la technique.
La plus grande ferme en intérieur du monde est au Japon et elle produit 10,000 laitues par jour En pleine COP21, DozoDomo vous invite à découvrir le projet de cette entreprise japonaise. Vous avez probablement entendu parler de la culture en intérieur mais vous ne l'avez probablement jamais vu à ce niveau. Les sécheresses de plus en plus longues et fréquentes, les catastrophes naturelles elles aussi nombreuses, ont en effet incité les chercheurs à développer de nouvelles techniques agricoles pour satisfaire les besoins en légumes de l'humanité. En cela, la culture en intérieur a le mérite d'offrir des conditions pouvant être plus facilement contrôlées et optimisées. Impressionnante, l'installation située dans la région de Miyagi, dévastée par le tsunami, n'a pas été construite pour le projet. Les conditions à l'intérieur de la ferme encouragent les plantes à prospérer naturellement. Qu'en est-il des saisons ? Les villes également pourraient aussi bénéficier de ces installations, le manque d'espace étant leur principal défaut.
Growing Power raises 100,000 fish and 1 million pounds of food year-round on just 3 acres | Inhabitat - Green Design, Innovation, Architecture, Green Building Gardeners and farmers who live in colder climates are well aware of the limitations posed by a short growing season. But these challenges often yield outstanding innovative practices, such as those used by Growing Power in Milwaukee, Wisconsin. Growing Power harnesses natural cycles to power a farm that produces over one million pounds of food every year. Because of its ultra efficient greenhouse system, Growing Power is able to continue its harvest even through the frigid Great Lakes winters. Will Allen, the founder of Growing Power, created an aquaponics system that captures energy produced by natural systems. The greenhouses are heated by indoor compost piles, which generate heat as they break down organic matter. Before waste water is applied directly to plants, it must first go through a gravel bed where bacteria breaks down impurities in the water. Related: Detroit’s largest urban farm to grow 60 acres of fresh produce Via OffGridWorld
#COP21 - À Montréal, on cultive sur les toits De jeunes plants de vigne poussent sous une serre Lufa, à Laval (Canada) ©Lufa farms À Montréal, la deuxième plus grande ville du Canada, les salades, les tomates et les poivrons ne parcourent que quelques kilomètres avant d’arriver dans l’assiette. Et pour cause : ils poussent sous de grandes serres, situées sur les toits de deux immeubles de la ville et de sa périphérie. Ces serres Lufa (du nom des courges que cultivait le créateur sur son toit) sont un remède au manque d’espace urbain. Elles permettent d’avoir une production toute l’année. Lorsque la température baisse trop – en février 2015, Montréal a connu une température moyenne de -15 °C -, des rideaux thermiques protègent les cultures. Vue aérienne de la serre Ahunstic, en hiver ©Lufa farms Ces serres ont une autre caractéristique étonnante : on n’y trouve pas de terre. Paris commence à suivre l’exemple de Montréal. Par Carine Mayo Découvrez en kiosques notre numéro spécial #COP21 : Vivre sur une planète plus chaude
Risebox - Faites pousser du bio chez vous Description : Risebox veut de révolutionner l’agriculture en permettant à chacun de faire pousser des légumes sains et savoureux directement chez lui. Nous pensons que grâce à la technologie (LEDs, capteurs et big data notamment) il est aujourd'hui possible d'inventer de nouveaux systèmes de production agricole individualisés et accessibles à tous. Pour cela nous avons mis au point un meuble connecté recréant un éco-système naturel : la Risebox. Voici en quelques mots comment ça marche: Les poissons, par leur respiration et leur digestion rejettent dans l'eau de l'ammoniaque et des substances solides. Les avantages sont multiples:- Excellente productivité: les plantes poussent 2 à 3 fois plus vite qu'en culture classique- Faible consommation d'eau: 90% d'eau consommée en moins- Garanti biologique: l'usage de pesticides, engrais complémentaires ou antibiotiques est impossible car l'écosystème n'y survivrait pas. Nous avons auto-financé notre progression jusqu'ici.
L'aquaponie, le futur eldorado de l'agriculture urbaine ? C’est au coeur de Toulouse, au sein du Fablab Artilect qu’Ugo Bagnarosa expérimente depuis juillet 2014 avec quatre autres passionnés l’aquaponie, une alternative durable à l’agriculture conventionnelle, qui pourrait révolutionner l’agriculture urbaine. « L’aquaponie est une combinaison de l’aquaculture et de l’hydroponie, l’agriculture hors sol. Autrement dit, l’association d’un aquarium et d’une serre », explique Ugo Bagnarosa. Un système de pompe achemine l’eau de l’aquarium riche en excréments de poissons, donc en engrais, vers un substrat où poussent des légumes de tous types. De quoi faire entrer donc l’agroalimentaire dans l’économie circulaire, surtout que les poissons d’eau douce peuvent être nourris avec les lombrics du compost. Economies d’eau et rendements, sans pesticides
I have a dream : l'aquamobile ! - Aquaponie France Salut les aquaponistes! Vous savez que je suis un créatif sur les bords et pour ne pas changer de registre, j’ai encore eu une petite idée folle : l’aquamobile, une petite camionnette aquaponique ambulante! L’idée m’est venue lorsque nous avons déplacé mes tours Zipgrow d’un lieu de culture à un autre avec l’équipe Myfood (cf photo) : On déplace les tours Zipgrow vers la serre aquaponique connectée! L’aquamobile : vendre ses productions et des kits aquaponiques simultanément Imaginez que vous avez une serre maraîchère en aquaponie, classiquement, vous pensiez à couper les légumes des tours, les mettre en cagettes, les stocker à la cave durant la nuit pour pouvoir les charger tôt le lendemain direction le marché. L’aquamobile : la première camionnette maraîchère mobile du monde! En effet, vous allez pouvoir charger directement vos tours Zipgrow dans votre camionnette juste avant le marché. Des tournées quotidiennes dans les villages A bientôt, vive l’aquaponie! Pierre Harlaut