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La « barge méduse » produit des légumes bio et purifie l’eau

Quand l’humain s’inspire de la nature pour coopérer avec elle, des choses magnifiques peuvent se construire. En témoigne la Jellyfish Barge, un projet durable totalement hors du commun. Saviez-vous que d’ici 2050, la demande globale de nourriture aura augmenté de 60 à 70% ? La nature, modèle et partenaire C’est conscient de ce problème majeur que Pnat, un think-tank de biologistes, chercheurs et designers, s’est penché sur diverses solutions pratiques et économiques. C’est après une observation minutieuse de la nature et de ces problématiques que les chercheurs de Pnat ont mis au point la « barge méduse » , un module flottant de culture biologique et autonome, qui ne repose ni sur une source d’eau potable, ni sur des intrants chimiques, ni sur une source d’énergie externe. Écologique de A à Z La structure étudiée dans les moindres détails est capable de purifier l’eau salée, marécageuse ou polluée avec la simple énergie du soleil. Un prototype fonctionnel a déjà été testé par l’équipe. Related:  AquaponieGROWING FOOD

Le Thé de Compost Aéré Activé ou TCAA - Substrat et amendement - Guides - Guides de culture du cannabis (Soumis : 20/08/2014 14:50 - Dernière mise à jour : 21/03/2015 14:22) IntroductionLe Thé de Compost Aéré Activé ou TCAA est une recette permettant de recomposer ou dynamiser la vie microbienne du substrat. Ce n’est pas un engrais mais un concentré de vie microbienne bénéfique. On verra par la suite qu’on peut dévier de ce principe et en profiter pour y ajouter des amendements qui fertiliseront aussi le sol.Mais le but 1er d'un thé de compost c'est de multiplier par milliers les micro organismes contenus dans une poignée de compost.Ce procédé a pour intention de constituer un environnement qui va protéger et nourrir votre plante. A qui s’adresse ce procédé ? CompostLe compost est la matière première qu’on va « travailler » pour en extraire et multiplier la vie microbienne bénéfique à la plante. La quantité idéale de compost à utiliser dans un thé est de 2.4% du volume d'eau. NB. Le bullageOn se lance ! Fermer le filet et le disposer dans l’eau juste au-dessus du bulleur : Quand récolter ? NB.

La Liste de Noël de la French Tech Semences tardives et accaparement des terres Encore cette année, le printemps tardif a retardé le temps des semences dans à peu près toutes les régions du Québec, mais la chaleur des derniers jours a enfin permis aux agriculteurs du sud de la province de redémarrer leur machine de production. C’est toutefois encore avec un nombre de joueurs en baisse que s’ouvre la nouvelle saison agricole. D’année en année, le nombre de fermes diminue au Québec. Depuis l’atteinte de ce sommet, le nombre de fermes n’a plus cessé de décliner, en raison notamment de l’urbanisation tentaculaire et de l’augmentation de la superficie moyenne des exploitations agricoles qui est passée de 47 hectares, en 1941, à 114 hectares en 2011. Depuis 20 ans, le phénomène s’est poursuivi ; selon Statistique Canada, le nombre de fermes est passé de 36 000, en 1996, à 30 675, en 2006, puis à 29 000, selon les plus récentes statistiques colligées par l’UPA. Le nombre de fermes diminue au Québec tandis que l’âge moyen des exploitants augmente.

Le Jardin de Némo, une ferme située à six mètres sous la surface de l'océan Cultiver des fraises sous la mer, ça semble impossible et pourtant c'est ce que fait Sergio Gamberini. Cet amoureux de la plongée sous-marine s'est mis en tête d'utiliser les propriétés de l'océan pour faire pousser des plantes en milieu aquatique, à 6 mètres sous la surface de l'eau. Les fans des Beatles seront contents de savoir qu'il y a des champs de fraises accessibles en sous-marin... Cet extraordinaire jardin situé à Noli en Italie est fait de cloches immergées gardant les cultures à la température constante de 26°C et maintenant un taux d'humidité de l'ordre de 83 %. Pallier l'absence de terres cultivables Dans ce jardin immergé, on peut trouver du basilic, des haricots, de la laitue, et même des fraises. Mais si l'océan est considéré comme un allié de taille, il peut tout aussi bien se muer en un dangereux adversaire, puisqu'il peut, en un instant, détruire l'ensemble des précieuses cultures. Vous êtes déjà abonné ?

Un "bordel" organisé: Energie 6) Jean Pain > Réalisation III Cet article est en plusieurs partiesPartie 1 Jean PAIN et ses travauxPartie 2 Faisabilité pour nos besoinsPartie 3 PréparationPartie 4 Réalisation IPartie 5 Réalisation IIPartie 6 Réalisation III (vous êtes ici)Partie X Annexes Jour J Grosse émotion.... Cet après midi j'ai branché 2 mois de travail acharné, plus de 200 heures de travail, des années d'études et d'insomnies. En sortie de collecteur A 10 cm du sommet avec seulement 3 étages Vu d'ensemble du chantier Hommage à vous monsieur Jean Pain, merci à dame nature This is a short description in the author block about the author.

Et si l'action locale pouvait changer le monde ? A Bristol, à Fukushima, en France, des héros ordinaires se battent pour rendre la vie meilleure. Et inventer une autre ère énergétique et économique. Ils sont français, brésiliens, allemands ou canadiens. Ils créent des monnaies locales, des jardins communautaires, des parcs éoliens citoyens, des entreprises coopératives. Ces « lanceurs d'avenir », comme les appelle Marie-Monique Robin dans son dernier documentaire, Sacrée Croissance !, s'aventurent dans de nouvelles façons de vivre, consommer ou produire, à l'heure où les promesses de l'abondance capitaliste s'évanouissent. Ils préfèrent le « mieux » au « plus », sèment les graines de ce que pourrait être une société « post-croissance », et revitalisent les questions de l'écologie, de la démocratie et de la politique. « Partout en France, dans l'angle mort des médias, des gens ordinaires prouvent que la transformation sociale n'est pas le privilège des puissants, analyse Emmanuel Daniel, auteur du Tour de France des alternatives.

La détresse est dans le pré On a déploré son désengagement vis-à-vis de la santé mentale de ses membres. On l’a accusée de laisser traîner les choses. L’Union des producteurs agricoles (UPA) passe maintenant à l’action et mise sur une approche durable. Depuis plusieurs mois, un comité travaille à mettre en place un réseau de répondants dans toutes les régions pour prévenir la détresse chez les agriculteurs. On souhaite aussi implanter un programme de sentinelles en prévention du suicide bien à l’affût de la réalité agricole. « On se préoccupe de cette problématique [détresse] depuis un certain temps, mais les producteurs n’aiment pas en parler. L’UPA mise sur une approche d’écoute et de référence. « On ne veut pas se substituer aux professionnels », précise M. L’UPA souhaite développer un réseau de sentinelles en prévention du suicide propre au milieu agricole. Depuis 2008, entre 13 000 et 15 000 personnes ont suivi la formation de sentinelle conçue par l’Association québécoise de prévention du suicide (AQPS).

A l’assaut des villes avec le seed bombing | La brèche urbaine Encore peu connu en France, le seed bombing est une pratique de végétalisation qui commence à faire parler d’elle. Une enseigne bio la met aujourd’hui en lumière et propose à ses visiteurs de se lancer dans la confection de bombes végétales. Le seed bombing consiste à végétaliser des espaces citadins ou vierges de toute plante par l’envoi de petites boules d’argile chargées en graines qui germeront à l’arrivée de la pluie. Cette pratique a notamment été popularisée par des mouvements de végétalisation sauvage, telle que la Guerilla Gardening, dont l’objectif est de réintégrer la végétation dans des espaces où elle est absente, qu’il s’agisse de zones semi bétonnées, de friches urbaines ou d’interstices. Quand le marketing popularise une cause écolo Jusqu’alors assez méconnu, le seed bombing était accompli de façon marginale et aucune communication d’envergure n’avait promu cette pratique. Mais pourquoi enfermer les graines dans une boule de terre plutôt que de les semer à la volée ?

Le compost magique de Jean Pain, vieille invention française (presque) oubliée Des tomates qui poussent par -35°C, en janvier, le tout sans « un sou d’électricité ». La prouesse a fait grand bruit au Canada. Fin mars, l’agronome Vincent Leblanc a enfin expliqué au Journal de Montréal comment il a procédé : « J’ai récupéré du fumier d’une écurie du coin et j’ai ajouté des copeaux de bois pour avoir un bon compost. Sur sa page Facebook, l’homme dit s’inspirer d’un système en vogue ces derniers mois en Amérique du Nord, appelé « méthode Jean Pain ». Ben Falk se chauffe grâce à la méthode Jean Pain Anglais sous-titré français Une 2CV qui roule au compost J’ai demandé à Ben Falk d’où il avait tiré cette idée géniale. En interrogeant ce dernier, je découvre que le récent attrait pour la méthode Jean Pain est décidément une histoire de vidéos. Un film sur Jean Pain publié sur Youtube en 2008 Allemand sous-titré anglais C’est donc l’invention d’un Français, datant des années 70, qui passionne aujourd’hui les maraîchers d’Amérique du Nord. « Toutes des héritières de Jean Pain »

La collection Conscious Denim par H&M Après avoir lancé il y a quelques temps sa « Conscious Collection », H&M lance désormais une ligne vêtements en denim, eux aussi produits de façon éco-responsable. La Conscious Collection, est la ligne de vêtements lancée il y a quelques années par H&M, dans laquelle on ne trouvait que des vêtements fabriqués de façon et dans des matériaux éco-responsables. Aujourd’hui, c’est au monde du denim écolo que la marque s’intéresse, avec une collection de pièces en jean bio ! Pour monter cette ligne, H&M a fait appel à la société espagnole de conseil en denim Jeanologia, un organisme qui a évalué les procédés de lavage du jean, notamment la consommation en eau et électricité. H&M a décliné des modèles de vestes, de chemises, et de jeans pour hommes, femmes et enfants, disponibles à partir du 2 octobre en magasin et sur l’e-shop de la marque !

La détresse est dans le pré EDMUNDSTON, Nouveau-Brunswick — Un matin, c’était au printemps 2006, Jean-Paul Ouellet a roulé jusqu’au sommet de la côte Pelletier, à Saint-François-de-Madawaska. Puis, il a coupé le moteur de son camion. Il a regardé longuement ses nombreuses fermes sises au pied des vallons. « Pourquoi est-ce que je fais tout ça ? », s’est-il demandé, exaspéré. Souhaitant chasser les doutes, il a ensuite loué un avion et survolé ses installations réparties dans 16 municipalités, essentiellement dans la région d’Edmundston. Le mors aux dents et la rage au cœur, Jean-Paul Ouellet a bâti en 30 ans une des productions d’œufs et de volailles les plus prospères au pays. « Pendant toutes ces années, je n’ai jamais pris le temps d’écouter le chant des oiseaux, de contempler la nature. — Jean-Paul Ouellet Il a vendu 70 % de son entreprise. Des idées suicidaires, il en a eu plus d’une fois. C’était le 12 octobre 2001, un vendredi soir. « Quand ça m’a pogné, je ne trouvais plus rien de beau. « J’aide la relève.

l'hypertechnologie au service des plantes Bienvenue dans le futur. Plutôt devrais-je dire, Bienvenue au futur, car en réalité, il est déjà là. Découvrez les derniers projets technologiques qui vont révolutionner votre approche du jardin. Image par Aclinea Demain, tous des robots ? Quand la Nasa himself s’inquiète du futur de notre civilisation, certains prennent les devants et passent à l’action. Un extrait de l’excellent documentaire d’ARTE sur le transhumanisme résume bien la pensée de ce mouvement, décrit comme une « ambition mortifère » par le philosophe français Jean-Michel Besnier. L’alimentation urbaine, un défi : La question alimentaire revient régulièrement sur le devant de la scène. Photography by Iwan Baan via Design Boom Selon les technophiles, nos villes seront amenées à muter, intégrant de la technologies directement dans les infrastructures, à l’image des fermes urbaines et tours agricoles. Alors, futur ou présent ? Nombre des concepts ci-dessous existent déjà, quand je vous dit que le futur est là. Niwa sproutsIO

Des poissons qui font pousser des légumes L’aquaponie vous dit-elle quelque chose ? Non, il ne s’agit pas de poneys dans une piscine, mais bien d’une technique d’agriculture urbaine hors sol qui mélange l’aquaculture et l’hydroponie. Assez populaire dans les pays anglo-saxons, cette discipline est arrivée en Belgique voici deux ans. « En réalité cette technique était déjà employée par les Aztèques, explique Jérôme Veriter, chargé de projet pour Groupe One. Ils fabriquaient des radeaux sur lesquels poussaient quelques légumes et, en dessous, ils fixaient une nasse avec des poissons. Cette technique a toujours très bien marché dans des conditions extrêmes, que ce soit le manque d’eau ou les variations de températures très importantes. » Au Village partenaire de Saint-Gilles, l’association Aquaponiris, a installé une petite serre avec un bassin d’un mètre cube et 6 m² de culture. Ici il s’agit d’une serre d’une taille familiale, mais qui sert essentiellement de vitrine à la discipline. « Cela nous permet d’expliquer la technique.

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