Fracture numérique
La fracture numérique désigne le plus souvent l'inégalité d'accès aux technologies numériques, [dont principalement l'ordinateur,] et parfois le clivage entre « les info-émetteurs et les info-récepteurs »[1]. Cette inégalité est fortement marquée entre les pays (Pays vient du latin pagus qui désignait une subdivision territoriale et tribale d'étendue restreinte (de l'ordre de quelques centaines de km²), subdivision de la civitas gallo-romaine. Comme la civitas...) développés d'occident (L'Occident, ou monde occidental, est une zone géographique qui désignait initialement l'Europe. L'extension de l'espace considéré a varié au cours de l'Histoire. À une...) et les pays du Sud (Le sud est un point cardinal, opposé au nord.), dits en voie de développement. Problématiques La Journée mondiale de la Société de l'information qui prend place tous les ans le 17 mai depuis 2006 a été créée avec pour but de sensibiliser sur le sujet mais aussi sur les ouvertures que peut offrir l'internet. Conclusion
Avis inclusion numérique – Conseil National du Numérique
Le Conseil National du Numérique a remis ses conclusions sur l’inclusion numérique à Fleur PELLERIN, ministre déléguée chargée des Petites et moyennes entreprises, de l’Innovation et de l’Économie numérique, le mardi 26 novembre lors des journées de l’AVICCA. Adopté par les membres du CNNum, le rapport intitulé « Citoyens d’une société numérique – Accès, Littératie, Médiations, Pouvoir d’agir: pour une nouvelle politique d’inclusion » s’appuie sur des concertations organisées tout au long du printemps et de l’été 2013. Ces rencontres contributives ont rassemblé environ 60 personnes : associations, élus, médiateurs, représentants d’entreprises, fédérations professionnelles, administrations, experts et chercheurs. Les travaux ont été portés par une dizaine de membres du CNNum, coordonnés par Valérie PEUGEOT, vice-présidente. A l’issue de ce travail, le CNNum a voté un rapport recommandant : Télécharger le Rapport: Le rapport Les annexes Lien vers la vision/diagnostic Presse: Contact presse :
Contre la fracture numérique, le gouvernement veut former 13 millions de Français
Comment faire pour envoyer un mail? Ou déclarer ses impôts en ligne? Ces démarches, simples pour beaucoup, ne sont pas évidentes pour tout le monde. Le plan pauvreté, présenté jeudi par Emmanuel Macron, comprend un volet pour faciliter l'inclusion au numérique en France. Le gouvernement compte y investir entre 75 et 100 millions d'euros. Aujourd'hui, 94% des Français sont équipés d'un téléphone mobile, dont 73% d'un smartphone, et 81% d'un ordinateur, d'après l'ARCEP, l'autorité de régulation des télécoms. 85% disposent d'un accès fixe à Internet. «20% des Français ne savent pas utiliser les outils numériques», explique Mounir Mahjoubi, secrétaire d'État chargé du numérique, dans un entretien accordé à Ouest-France. Le public visé est large. SERVICE: SFR rembourse vos frais de résiliation à hauteur de 100€, profitez-en!
Les oubliés du numérique, un défi pour l’Etat
Fracture numérique (géographique)
La fracture numérique est la disparité d'accès aux technologies informatiques, notamment Internet. Elle recouvre parfois le clivage entre « les info-émetteurs et les info-récepteurs »[1]. Cette disparité est fortement marquée d'une part entre les pays riches et les pays pauvres, d'autre part entre les zones urbaines denses et les zones rurales. Elle existe également à l'intérieur des zones moyennement denses. Cette notion est calquée sur celle de fracture sociale. Le rapport de la Commission pour la libération de la croissance française[5], dit rapport Attali, propose une définition de la fracture numérique en France, fixe plusieurs objectifs et propose plusieurs décisions pour réduire la fracture numérique : La fracture numérique concerne les inégalités dans l'usage et l'accès aux technologies de l'information et de la communication (TIC) comme les téléphones portables, l'ordinateur ou le réseau Internet. — Elie Michel in « Le fossé numérique. « Bienvenue dans un monde meilleur. »
L'utilisation du numérique et des Tice à l'École
Vers une généralisation du numérique à l'École Espaces numériques de travail : vers un déploiement généralisé Un espace numérique de travail (ENT) est un ensemble intégré de services numériques, choisi, organisé et mis à disposition de la communauté éducative d'une ou plusieurs écoles ou d'un ou plusieurs établissements scolaires dans un cadre de confiance. L'ENT offre des services : pédagogiques : cahier de texte numérique, espaces de travail et de stockage communs aux élèves et aux enseignants, outils collaboratifs, blogs, forum, classe virtuelle, etc.d’accompagnement de la vie scolaire : notes, absences, emplois du temps, agendas, etc.de communication : messagerie, informations des personnels et des familles, visioconférence etc. Élèves, parents, professeurs, personnels administratifs peuvent accéder à ces espaces numériques de travail depuis n'importe quel matériel connecté à internet. Depuis la rentrée 2016 : Ressources et usages du numérique à l’École Des programmes adaptés
Fracture numérique : 14 propositions pour lutter contre l'exclusion des seniors
Une étude du CSA et de l’association Les Petits frères des pauvres a été rendue publique cette semaine. Elle s’attarde sur l’exclusion numérique des seniors et l’absence d’accès à internet pour 27 % des 60 ans et plus. Si la tendance s’améliore depuis ces 10 dernières années, 4 millions de seniors restent coupés de la vie numérique et d’internet. Dans un contexte de digitalisation des services, et notamment des services publics, les personnes âgées et les personnes issues de conditions socio-économiques pauvres tendent, encore une fois, à être mises de côté. Les femmes âgées, seules et sans revenus : ces grands oubliés du numérique L’association Les Petits frères des pauvres tire la sonnette d’alarme et en appelle à un plan national pour lutter contre cette fracture numérique. D’autres, par contre, se veulent plus réfractaires. Internet, vecteur de lien social 14 recommandations des Petits frères des pauvres
Qui sont les utilisateurs de Facebook, Twitter, LinkedIn, Instagram et Pinterest ?
Chaque année, le Pew Research Center réalise une grande étude sur l’usage des réseaux sociaux. Elle permet de mesurer l’importance de chaque réseau social et d’évaluer leur évolution à travers le temps. Des données démographiques précieuses sont également recueillies pour mieux connaître les internautes qui utilisent Facebook, Twitter, LinkedIn et les autres. Seul bémol, toutes les personnes interrogées résident aux États-Unis. Facebook domine ses concurrents mais stagne à 71% Premier constat : Facebook domine largement ses concurrents. Fréquence d’utilisation : Facebook devant, LinkedIn loin derrière Facebook enregistre également les meilleurs chiffres lorsqu’on regarde l’engagement quotidien des utilisateurs : 70% des utilisateurs actifs mensuels accèdent à Facebook tous les jours (contre 63% en 2013) et 45% y vont plusieurs fois par jour. 56% des seniors connectés utilisent Facebook 52% des internautes utilisent plusieurs réseaux sociaux Pinterest, un réseau social réservé aux femmes ?
Les compétences numériques ne s’improvisent pas !
À l’heure où la Coalition française en faveur des compétences numériques se forme, avec l’adoubement du Medef par l’Union européenne, faire l’état des lieux, repérer les blocages et les freins, analyser les référentiels et les nomenclatures, et établir la cartographie des acteurs… est une urgence. Elle relève à la fois d’attentes d’employabilité comme de citoyenneté, comme le précise la très récente recommandation CM/Rec (2017)8 du Conseil de l’Europe sur « Les mégadonnées au service de la culture, du savoir et de la démocratie ». Les résultats de l’ANR TRANSLIT peuvent être vus comme une contribution à cette actualité majeure. Ils sont en phase avec les changements institutionnels et les interrogations des acteurs de terrain. L’observation a porté sur des jeunes de 15 à 18 ans, en situation scolaire (TPE et assimilé) et en situation périscolaire (dans des « tier lieux » comme le PIL, le BAL, le LOREM, le Relais 59, Minecraft). I. II. III. Conclusions