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Philosophie politique

Philosophie politique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La philosophie politique est la branche de la philosophie qui étudie les questions relatives au pouvoir politique, à l'État, au gouvernement, à la loi, à la politique, à la paix, à la justice et au bien commun entre autres. Elle est considérée comme une des branches de la philosophie pratique à côté de la philosophie du droit et de la philosophie morale. En tant que recherche philosophique, elle se distingue de celles menées par les sciences humaines et sociales (sociologie, histoire, psychologie, science politique) en ce que, à la différence de celles-ci qui s'attachent à ce qui existe historiquement et particulièrement, elle est fondée sur la recherche d'un universel, guidée par la question du juste, du meilleur et du légitime[1]. De nos jours, la science politique est devenue inséparable de la philosophie politique. Définition[modifier | modifier le code] Historique[modifier | modifier le code] Antiquité[modifier | modifier le code] Related:  Philosophie politique

Portail:Anarchisme Fille naturelle d'une servante et d'un bourgeois (qui prendra en charge son éducation d'institutrice), Louise Michel enseigne quelques années avant de monter à Paris en 1856. Là, elle développe une activité poétique, pédagogique en créant une école alternative et se lie avec le milieu révolutionnaire blanquiste du Paris des années 1860. En 1871, elle participe activement à la Commune de Paris. Louise Michel, femme de courage, de conviction et d'engagement, est devenue une légende de la Commune de Paris au point, hélas, de rejeter au second plan les biographies de dizaines de femmes qui payèrent de leur vie leur croyance dans une révolution sociale d'essence proudhonienne. Lire la suite Autres articles sélectionnés au sein du portail Anarchisme Modifier

Synarchie Dans les années 1970, le grand Maître spirituel bulgare Omraam Mikhaël Aïvanhov fit de nombreuses révélations sur l'Agartha et l'organisation de la communauté installée dans la Terre Creuse suivant la Loi Synarchique. Il a prophétisé que la Synarchie serait prochainement importée de l'Agartha et remplacerait la démocratie sur toute la surface de la Terre, après l'effondrement brutal des valeurs capitalistes. Omraam Mikhaël Aïvanhov Voici un extrait de l'un de ses livres où il révèle la structure politique du gouvernement en Agartha : « Maintenant, de plus en plus, on commence à parler et à écrire sur l'Agartha, mais il y a des années, c'était une question peu connue. Il y avait le livre d'un Russe, Ossendwski : Bêtes, hommes et dieux, qui raconte tout ce qui lui a été dit à ce sujet dans les monastères du Tibet. Saint-Yves d'Alveydre était un écrivain, un érudit et même un Initié. Tout ce qui se passe dans le monde depuis son commencement est enregistré et conservé dans ces archives.

Petit cours de novlangue Connaissez-vous la novlangue? Il s’agit d’une langue inventée par Georges Orwell dans le roman 1984 qui bizarrement, n’a jamais été adapté au cinéma en tant que super-production alors que le roman l’aurait largement mérité, tout juste un téléfilm très mauvais et mal joué….mais c’est une opinion toute personnelle…Un sujet sur le forum abordait déjà ce sujet mais de manière si succincte qu’un rappel plus complet est utile. Par extension, on peut dire que ce langage est très utilisé par les politiciens en général qui peuvent ainsi nous raconter n’importe quoi tout en nous faisant croire que ce qu’ils disent est très intéressant (ou pas…), et qui permet également de nous dire quelque chose tout en signifiant réellement le contraire, cela sans être explicite (ça va? Pas trop dur à suivre?). Le sujet du jour donc, la novlangue dont voici la définition exacte:

Matérialisme historique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le matérialisme historique, ou conception matérialiste de l'histoire, est une méthode marxiste d'analyse de l'histoire, dans une optique matérialiste. Elle induit l’idée, présente dans les écrits de Karl Marx et Friedrich Engels, que les événements historiques sont influencés par les rapports sociaux, en particulier les rapports entre classes sociales, donc par la situation réellement vécue par les êtres humains. Cette conception accorde une part essentielle à l'économie dans les transformations du monde[1]. Maximilien Rubel définit la conception matérialiste de l'histoire comme un « instrument de connaissance et d'explication de la réalité sociale et historique »[2]. Définition[modifier | modifier le code] L'idée fondamentale de Marx est que « Les hommes font leur propre histoire, mais ils ne la font pas arbitrairement, dans les conditions choisies par eux, mais dans des conditions directement données et héritées du passé. »[10]

Sophocratie Engagements typiques – l’exemple de l’Irak Je vais tenter ici de démontrer que l’organisme dévoué à la bonne gouvernance (ci-après l’«entreprise»), tel qu’il est défini et en partie décrit sur ce site, constitue une solution crédible pour imposer la démocratie dans une situation comme celle prévalant actuellement en Irak. J’utilise à dessein le terme «imposer», car le premier constat à faire est celui, trop négligé jusqu’à présent par les forces d’intervention, du refus, viscéral et volontaire à la fois, (des principes de base) de la démocratie par une large part (une majorité même, peut-être) de la population Irakienne. Pour ce faire, je vais commencer par exposer les raisons les plus évidentes pour lesquelles la démocratie n’est pas la bienvenue en Irak. Pourquoi la démocratie peine-t-elle dans le monde arabe? Commençons par l’évolution des dernières années: l’Irak vit en situation de guerre et d’oppression depuis une trentaine d’années. Car qu’est la démocratie, entre gouvernants?

"La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre contre les Etats-Unis. [...] Socialisme scientifique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définitions et historique[modifier | modifier le code] Dans le Manifeste du Parti communiste, Marx et Engels jugent sévèrement les formes de socialisme et de communisme « critico-utopiques » présente dans les œuvres d'auteurs comme Saint-Simon, Owen ou Fourier : à leurs yeux, ces idées se sont perdues dans la réalisation expérimentale de leurs utopies, en négligeant la lutte des classes[2]. Le premier auteur à utiliser l'expression « socialisme scientifique » - ainsi que celle de « socialisme utopique » - n'est cependant pas Marx, mais un adversaire politique de ce dernier, Pierre-Joseph Proudhon[4], qui forge le terme en 1840 dans Qu'est-ce que la propriété ? Marx pense son œuvre à l'aune de la science : Le Capital se veut un traité scientifique. Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Friedrich Engels. Notes et références[modifier | modifier le code]

"Le monde se divise en trois catégories de gens: [...]" Socialisme Le mot socialisme entre dans le langage courant à partir des années 1820, dans le contexte de la révolution industrielle et de l'urbanisation qui l'accompagne : il désigne alors un ensemble de revendications et d'idées visant à améliorer le sort des ouvriers, et plus largement de la population, via le remplacement du capitalisme par une société plus juste. L'idée socialiste, sous de multiples formes, se développe au long du XIXe siècle et donne naissance dans le monde entier à des partis politiques s'en réclamant sous diverses dénominations (socialiste, mais également social-démocrate, travailliste, etc.)[3]. La plupart des partis socialistes européens accélèrent, notamment après la Seconde Guerre mondiale, leur évolution vers un réformisme éloigné du marxisme, tandis que les régimes communistes alignés sur l'URSS, et qui se disent eux-mêmes socialistes, se multiplient dans le monde. Définitions[modifier | modifier le code] Usages politiques[modifier | modifier le code]

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