Directive DEEE - 2002 - Exemple de logistique inversée Directive 2002/96/CE du Parlement européen et du Conseil du 27 janvier 2003 relative aux déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE) - Déclaration conjointe du Parlement européen, du Conseil et de la Commission relative à l'Article 9 Journal officiel n° L 037 du 13/02/2003 p. 0024 - 0039 Directive 2002/96/CE du Parlement européen et du Conseil du 27 janvier 2003 relative aux déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE) vu le traité établissant la Communauté européenne, et notamment son article 175, paragraphe 1, vu la proposition de la Commission(1), vu l'avis du Comité économique et social(2), vu l'avis du Comité des régions(3), statuant conformément à la procédure prévue à l'article 251 du traité(4), au vu du projet commun approuvé par le comité de conciliation le 8 novembre 2002, considérant ce qui suit: (7) La quantité de DEEE produits dans la Communauté croît rapidement. Article premier Objectifs Article 2 Champ d'application 1. 2. 3. Article 3 Définitions Article 4 1.
80% des utilisateurs satisfaits du support fourni par la DSI D'après une étude menée par Landesk, 8 utilisateurs sur 10 sont satisfaits du support fourni par la DSI. PublicitéDepuis le temps que l'on dit que les utilisateurs sont mécontents, voici une enquête qui va faire chaud au coeur des DSI. En effet, d'après Landesk, 8 utilisateurs sur 10 sont satisfaits ou très satisfaits du support assuré par la DSI. L'informatique ne serait responsable que d'un quart d'heure de travail par mois pour 34% des répondants français 46% au niveau mondial, 80% pour moins de trois heures. 88% des utilisateurs confirment que les problèmes sont résolus en moins de 24 heures. Mais ce délai reste jugé comme trop long. Les règles de sécurité imposées par la DSI ne sont pas nécessairement non plus très bien respectées. Article rédigé par Franck Salien, Journaliste Partager cet article
La logistique en amélioration continue - Dossiers LSA Conso LSA a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés LSA.fr. Découvrez nos offres d’abonnement Le fait qu’Amazon connaisse si bien les habitudes d’achats et les goûts de ses clients, grâce aux données de navigation, ne lui sert pas seulement à leur formuler des suggestions d’achats. Ces mêmes algorithmes constituent la partie invisible de sa puissance logistique. « Dans la supply chain, une grande partie du travail est effectuée par nos algorithmes, indique Stefano Perego, qui dirige les centres de distribution Amazon en France, Italie et Espagne. Ils fournissent les prévisions de vente, déterminent le type de stock qu’il est le plus pertinent de détenir dans les différents entrepôts, ou le schéma logistique le plus adapté et le moins coûteux pour fournir le meilleur service au client. » Un bazar apparent Ce « bazar » apparent masque une organisation ultraprécise. Un million de colis, 34 erreurs… Jusqu’à 70% 30 jours Source : Amazon Et demain
L'IoT as a service, le nouveau Business Model des objets connectés Le groupe IT Magellan Consulting propose un concept innovant : ce dernier s’occupe de vos projets d’objets connectés de A à Z et ne facture… que la maintenance des objets ! Analyse du Business Model innovant de l’IoT As A Service. Magellan Partners créé Cybeel Le groupe IT fondé en 2008 vient de créer une nouvelle entitée, batpisée Cybeel visant à fournir des solutions de développement d’objets connectés. De l’analyse de besoin au déploiement des objets en passant par leur conception et leur construction, le groupe entend accompagner startups et entreprises souhaitant développer des objets connectés. Le choix du Business Model IoT as a service Cybeel va donc accompagner ses clients dans la réalisation de leurs projets IoT, en se finançant uniquement par la location et la maintenance des objets connectés déployés. “Nous ne tariferons pas le conseil et la mise en œuvre, mais le droit d’utiliser les réseaux d’objets et leur maintien en condition opérationnelle.
Quand les géants du Net se mettent à la logistique... La logistique reste le talon d’Achille du e-commerce Bits contre atomes. Numérique contre physique. Dans la Longue Traîne (2004), Chris Anderson énonçait les avantages du premier sur le second : dans un monde physique où l’offre est limitée par des contraintes matérielles, l’objectif des distributeurs est de minimiser le stock immobilisé et maximiser la rentabilité de chaque m2. La rareté de l’espace impose la rareté du choix. Le nombre de produits en vente est limité. Les prédictions de Chris Anderson se sont vérifiées principalement pour les biens immatériels – musique, vidéo, presse, livres – que l’on peut charger ou consommer à distance. Le commerce électronique a surtout amélioré l’expérience client, alors que la logistique reste le point faible du modèle économique. D’où l’invention des concepts “click and collect” ou “click and mortar”, appelés “Drive” en France : je commande en ligne et je passe prendre mes courses dans un lieu situé idéalement sur mon parcours quotidien.
Il n’est désormais plus possible de se rétracter avant la livraison d’un bien acheté en ligne Depuis l’entrée en vigueur de la loi Macron, les consommateurs ayant acheté un bien sur Internet ne peuvent plus exercer leur droit de rétractation avant que celui-ci leur soit livré. Une évolution jugée guère favorable aux consommateurs, dans la mesure où les frais de retour (à la charge du client insatisfait) sont habituellement une forte barrière psychologique et financière. En vertu de l’article L 121-21 du Code de la consommation, chaque consommateur dispose depuis l’année dernière « d'un délai de quatorze jours pour exercer son droit de rétractation d'un contrat conclu à distance, à la suite d'un démarchage téléphonique ou hors établissement, sans avoir à motiver sa décision ni à supporter d'autres coûts [que ceux relatifs aux éventuels frais de renvoi, ndlr] ». Ce délai de deux semaines commence à courir au moment de la réception du bien, afin que le client ait le temps de se faire une idée sur le produit qu’il a commandé, notamment sur Internet. Xavier Berne
Processu de Réception de marchandise et mise en stock Finalité du processus Planifier la livraison, réceptionner et stocker les marchandises livrées par un fournisseur identifié Début du processus Appel du fournisseur pour planification de la livraison Fin du processus Marchandise stockée en entrepôt Activités décrites Planification du rendez-vous avec le fournisseur Attribution du quai de déchargement au transporteur Vérification de l'ordre de livraison Déchargement en zone d'attente Contrôle de la livraison Signature du bon de livraison Pré-stockage Mise en stock
Cour de Cassation, Chambre sociale, du 16 mai 2007, 05-43.455, Inédit Références Cour de cassation chambre sociale Audience publique du mercredi 16 mai 2007 N° de pourvoi: 05-43455 Non publié au bulletin Rejet Président : M. CHAUVIRE conseiller, président Texte intégral LA COUR DE CASSATION, CHAMBRE SOCIALE, a rendu l'arrêt suivant : Sur le moyen unique : Attendu, selon l'arrêt attaqué (Paris, 12 mai 2005), que M. Attendu que M. Mais attendu, d'abord, que la cour d'appel, qui n'avait ni à procéder à une recherche que ses constatations rendaient inutile ni à répondre à des conclusions inopérantes sur l'appellation usuelle d'un dossier informatique, a fait ressortir que les fichiers dont le contenu était reproché au salarié n'avaient pas été identifiés par lui comme personnels, ce dont il résultait que l'employeur pouvait en prendre connaissance sans qu'il soit présent ou appelé ; D'où il suit que le moyen n'est pas fondé ; REJETTE le pourvoi ; Condamne M. Vu l'article 700 du nouveau code de procédure civile, rejette les demandes ; Analyse
« Dans les entrepôts, le préparateur de commandes, c’est le mineur d’il y a trente ans » – Commencer mission ok ? – Ok – 250 colis, volume 1 400 dm3, dites ok – Allée 4 – Emplacement 17 – Numéro correspondant ? – 4 [pour 4 colis] C’est un dialogue qui se répète, en boucle. Comment s’est développée la logistique ? David Gaborieau : L’émergence du secteur est liée aux transformations du monde industriel. Dans les années 1980, ces évolutions ont été accompagnées d’un discours de valorisation de la logistique, présentée comme un secteur clé, le « trésor caché » de l’industrie qui pouvait être une vraie source de profits. Aujourd’hui, l’e-commerce contribue à l’essor de la logistique, même s’il ne représente encore que 8 % de l’activité. Comment se déroule une journée type dans un entrepôt ? Lorsque l’on arrive à l’entrepôt, qui est devenu un lieu sécurisé, on badge pour entrer dans le parking, puis pour entrer dans le bâtiment. A partir de là, la voix annonce les colis à prendre, un à un. Tous les ordres sont donnés par la machine, on peut passer presque toute sa journée seul.
Fany Péchiodat, cofondatrice de My Little Paris et "championne de l'influence digitale" A 36 ans, elle a déjà un parcours hybride. Elle a été salariée, a créé son entreprise... Puis l'a revendue il y a dix mois, tout en conservant les rênes. Alors, salariat, entrepreneuriat ? Avoir vécu les deux lui permet d'avoir un avis bien tranché. Près de 24 millions d'euros. A croire que Fany Péchiodat avait l'entrepreneuriat dans le sang. Management : En septembre, vous lancez My Little Box à Londres, après le Japon il y a un an. Management : Pourquoi avoir choisi ce groupe plutôt qu'un autre ?
Logistique : le modèle humanitaire Tout le monde connaît Médecins Sans Frontières (MSF). Qui se doute de la machinerie logistique qui se trouve derrière la première organisation humanitaire du monde ? Quelques chiffres : - Plus de six millions de donateurs qui fournissent les neuf dixièmes des ressources de l'organisation ; - 24 sections nationales dans les cinq continents qui mènent des activités dans près d'une centaine de pays ; - Une diversité des opérations, avec au moins six catégories selon que les pays sont en paix, en guerre ou frappés d'une catastrophe naturelle, et qu’ils connaissent ou non une situation d’urgence ; - Pas moins de 10 000 catégories d'articles pour répondre à toutes les situations avec pour les plus complexes, des Kits d'urgence pouvant répondre aux besoins de groupes de 5 000 personnes en cas d'épidémie ou de seuils critiques de survie ; - Enfin 40 000 salariés de par le monde, soit l’effectif des plus grandes entreprises mondiales. Les enjeux financiers pour MSF sont de taille.
Infographies du Marketing Digital et des réseaux sociaux - Page 1 Stress lié au travail : les principales causes en Europe Pour anticiper et gérer les risques psychosociaux et le stress au travail, l'EU-OSHA a organisé un colloque, le 6 novembre 2014, dans le cadre d'une campagne européenne. Chefdentreprise.com a synthétisé les éléments majeurs d'un sondage réalisé en 2013 consacré à cette problématique. Le retrait en magasin, une option rentable pour les vendeurs en ligne 15% des e-shoppers changeraient d'enseigne si celle qu'ils ont choisie pour une commande ne proposait pas de retrait en magasin. Sécurisation des données : les salariés ont encore des pratiques à risque Alors que 72 % des salariés se considèrent bien sensibilisés à la protection des données professionnelles, ils sont tout autant (77 %) à déclarer transporter des fichiers professionnels sur une clé USB ou un disque externe, selon l'étude Hiscox/Ifop. Les PME, championnes du CIR Les PME ont massivement recours au CIR, pointe l'Observatoire du CIR 2014 d'Acies Consulting Group. 15,6.
Caroline Prodhon - Les nouveaux outils d’optimisation de la chaîne logistique Les dernières émissions d'Université de technologie de Troyes (UTT) Les dernières émissions Toutes les dernières émissions Xerfi Business TV Accéder à Xerfi Canal Économie Accéder à Precepta Stratégiques Abonnez-vous à la newsletter Les nouvelles émissions Xerfi Canal TV Toutes les dernières émissions Xerfi Canal TV Les incontournables