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Les 37 projets d’Elon Musk contre les dangers de l’intelligence artificielle

Les 37 projets d’Elon Musk contre les dangers de l’intelligence artificielle
Le patron de Telsa et de SpaceX a donné près de 7 millions de dollars à des organismes de recherche pour prévenir les risques de l’intelligence artificielle. Avec Bill Gates et Stephen Hawking, le milliardaire américain Elon Musk fait partie des grandes figures qui ont exprimé, ces derniers mois, leur inquiétude vis-à-vis des progrès de l’intelligence artificielle (IA). En guise de passage à l’acte, le célèbre PDG du constructeur de voitures électriques Telsa et de SpaceX a attribué la semaine dernière des millions de dollars dans 37 projets de recherche destinés à prévenir les risques liés à l’IA. Lire : Des scientifiques américains s’inquiètent de l’évolution de l’intelligence artificielle Berkeley, Stanford, Oxford Sept mois plus tard, 37 équipes de recherche ont été sélectionnées, parmi près de 300 candidates, pour recevoir une partie de cette somme. Lire aussi Elon Musk, le capitaine d’industrie qui veut mourir sur Mars « Scénario Terminator » Related:  `test 1014`test 1014

Les 5 vérités de l’Intelligence Artificielle et du Machine Learning L’Intelligence Artificielle et sa déclinaison dans le Machine Learning ont fait l’objet de nombreux développements récents, et d’une forte médiatisation qui les a placés au centre de l’actualité IT. Qu’en est-il exactement ? Et quelle sera la place de l’homme ? L’Intelligence Artificielle (IA) et le Machine Learning (ML) sont aujourd’hui l’objet d’un fort engouement des organisations et de gros investissements. Pour autant, entre le discours des acteurs du marché, les acquisitions des GAFA, et le buzz généré par les médias, il est difficile de s’y retrouver. Le Club de la presse IT B2B a réuni 5 de ces acteurs de premier plan – Teradata, Oracle, Capgemini, Unit4, et Accenture – autour d’un témoin prestigieux, Bertrand Braunschweig, directeur du centre INRIA de Saclay, pour évoquer ce sujet. Source INRIA Vérité 1 : L’Intelligence Artificielle n’est pas aussi simple qu’on veut nous le faire croire L’IA est un domaine extrêmement large dont on a du mal à mesurer la superficie.

Stephen Hawking et Elon Musk réclament l’interdiction des « robots tueurs » Plus d’un millier de personnes, parmi lesquelles de nombreux chercheurs en intelligence artificielle, ont signé un appel pour faire interdire les armes autonomes. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual C’est une nouvelle charge portée contre les dangers potentiels de l’intelligence artificielle (IA). Dans une lettre ouverte publiée lundi 27 juillet, plus d’un millier de personnalités, dont une majorité de chercheurs en IA et en robotique, ont réclamé l’interdiction des armes autonomes, capables « de sélectionner et de combattre des cibles sans intervention humaine ». Parmi les signataires, on retrouve Elon Musk, le célèbre PDG du constructeur de voitures électriques Tesla et de SpaceX, et l’astrophysicien britannique Stephen Hawking, qui avaient déjà fait part publiquement de leurs inquiétudes concernant l’IA. « Une course à l’armement » L’IA pourrait en pâtir Mais ce texte ne se veut pas une charge contre l’intelligence artificielle.

Des scientifiques américains s'inquiètent de l'évolution de l'intelligence artificielle Plus de 700 scientifiques et chefs d'entreprises, comme Elon Musk, le milliardaire fondateur de SpaceX, ont lancé un appel ce week-end pour s'assurer que les futures avancées dans le domaine de l'intelligence artificielle bénéficient en priorité à la société. Leur lettre ouverte a été publiée dimanche par le Future of Life Institute (FLI), un organisme américain à but non lucratif qui compte parmi ses membres le physicien britannique Stephen Hawking, Elon Musk, George Church, professeur de génétique à l'université de Harvard, ou encore l'acteur américain Morgan Freeman. Stephen Hawking, qui s'exprime grâce à un ordinateur en raison d'une paralysie, avait averti début décembre contre le risque présenté par le développement de l'intelligence artificielle. Dans un entretien avec la BBC, le physicien avait déclaré que ce type de technologie pouvait évoluer rapidement et dépasser l'humanité, un scénario comparable à celui de la saga Terminator.

Le W3C publie une nouvelle norme d'authentification, qui permet de se connecter de manière sécurisée aux applications Web sans saisir de mots de passe Les mots de passe ont toujours été parmi les principaux points faibles de la sécurité des utilisateurs en ligne. Un mot de passe volé par un hacker peut être utilisé par ce dernier pour essayer de se connecter à d'autres comptes de sa victime. Vu que les utilisateurs peuvent avoir à gérer de nombreux comptes en ligne, certains n'hésitent pas réutiliser le même mot de passe sur plusieurs sites pour éviter de se retrouver dans l'impossibilité d'accéder à l'un des comptes, après avoir oublié son mot de passe. Et c'est une faiblesse que cherchent très souvent à exploiter les hackers. Malheureusement, on a assisté ces dernières années à de nombreuses violations de sécurité qui ont touché des sites populaires et réseaux sociaux. WebAuthn vient d'être publié en tant que recommandation W3C, l'étape finale du processus de ratification par le World Wide Web Consortium (W3C), et est donc officiellement une norme. Le support de WebAuthn est déjà ajouté dans Firefox. Sources : W3C, Vice Et vous ?

Hawking : « L'intelligence artificielle pourrait mettre fin à l'humanité » Dans un entretien à la BBC, l'astrophysicien britannique Stephen Hawking craint que les humains, limités par une lente évolution biologique, ne puissent rivaliser avec l'intelligence artificielle. L'astrophysicien britannique Stephen Hawking, qui s'exprime par l'intermédiaire d'un ordinateur en raison d'une maladie, met en garde contre le développement de l'intelligence artificielle. Dans un entretien à la BBC, le scientifique affirme que ce type de technologie pouvait évoluer rapidement et dépasser l'humanité, un scénario comparable à celui des films Terminator. « Les formes primitives d'intelligence artificielle que nous avons déjà se sont montrées très utiles. Atteint de la maladie de Charcot, autrement appelée sclérose latérale amyotrophique ou SLA, Stephen Hawking se déplace en fauteuil roulant et parle à l'aide d'un ordinateur. M.

Intelligence artificielle : quel impact en 2030 L’intelligence artificielle ne menace pas le genre humain. C’est une des conclusions du rapport de 27 pages titré “Intelligence artificielle et vie en 2030”. Première d’une longue série, cette étude est l’aboutissement d’un an de recherche du AI100, un projet hébergé par Stanford qui vise à étudier les implications de l’intelligence artificielle. Les transports, la santé, la sécurité ou encore l’éducation sont tout autant de secteurs concernés par les avancées en matière d’intelligence artificielle. Quel changements peut-on anticiper pour 2030 ? Les impacts seront positifs disent-ils, mais transformeront profondément le marché de l’emploi et la société. Parallèlement, l’intelligence artificielle pose également de nombreuses questions d’ordre éthique et social en particulier, de respect de la vie privée notamment. Le milieu médical sera également impacté.

Les Certifications dans la Sécurité Informatique De nos jours, la sécurité informatique est primordiale pour les entreprises et ce, peu importe leur taille. Il est important de s’assurer d’un certain niveau de sécurité envers des menaces grandissantes. Pour cela, les entreprises recherchent des profils ayant pour formation principale « la sécurité informatique ». Les recruteurs doivent faire un choix important entre plusieurs profils et vont souvent faire la distinction entre une personne ayant ou non des certifications. De nos jours, il existe de multiples certifications : constructeurs, systèmes, indépendantes, etc… Nous présenterons ici un rapide panorama des certifications possibles dans le domaine de la sécurité. CISM : La certification CISM (Certified Information Security Manager) a été lancée en 2003 par l’ISACA et vise essentiellement la population des Responsables Sécurité des Systèmes d’Information, mais aussi celle des auditeurs/consultants en sécurité, désireux de démontrer leurs expériences et compétences en la matière. 1.

Le jeu de go, paroxysme de la guerre entre Facebook et Google sur l’intelligence artificielle Facebook et Google travaillent tous deux sur des technologies capables de battre l’humain au go. Avec le succès de son programme AlphaGo, Google porte un coup dur à son rival. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual En annonçant mercredi 27 janvier la première victoire d’un programme informatique contre un joueur professionnel de go, Google a marqué une étape dans l’histoire de l’intelligence artificielle (IA). Lire aussi Fan Hui, champion européen de go : « L’ordinateur joue comme un humain » Mark Zuckerberg tente d’occuper le terrain Cependant, l’annonce de mercredi représente déjà une immense victoire pour Google sur ses rivaux, et notamment sur Facebook, qui a tenté, tout au long de la journée, d’exister sur le plan médiatique en communiquant abondamment sur ses progrès en intelligence artificielle. « L’année dernière, l’équipe de recherche en IA de Facebook a commencé à créer une IA qui apprenne à jouer au go. Des avancées compréhensibles du grand public

Mythes et enjeux de l'intelligence artificielle : rencontre avec Jean-Gabriel Ganascia. Dans le cadre de son intervention au TEDx organisé par l’école de commerce de l’Istec sur la thématique du jeux (Play the Game), j’ai a eu l’occasion d’interviewer Jean-Gabriel Ganascia, professeur d’informatique à l’université Pierre et Marie Curie, sur l’intelligence artificielle. Spécialiste de l’IA, ses recherches portent actuellement sur le versant littéraire des humanités numériques, sur la philosophie computationelle et sur l’éthique des technologie de l’information et de la communication. Il a été question des enjeux sociétaux que créait cette technologie, mais surtout dans la veine de son dernier ouvrage (Le mythe de la Singularité) du problème de la démystification de l’IA et de toutes les peurs qu’elle engendrait. Le mythe de Terminator ou Frankenstein, celui de la créature qui finirait par prendre le dessus sur son créateur est-il possible aujourd’hui avec l’intelligence artificielle ? Exactement. C’est un peu tout ça qu’il s’est passé aux USA.

Le transhumanisme: ce qui est possible n’est pas toujours souhaitable | Humanités numériques Sommaire Qu’est que le transhumanisme ? Passage de l’homme au posthumain. État de l’art : aujourd’hui ou en est on ? Qui sont les acteurs du transhumanisme? Innovation très controversée : extrait des arguments des partis Qu’est ce que le transhumanisme ? Dans cette partie je m’attacherais à définir la notion de transhumanisme pour pouvoir ensuite m’intéresser aux problématiques liées à l’intégration du numérique dans le corps humain. « Le transhumanisme est une classe de philosophies ayant pour but de nous guider vers une condition posthumaine. Les transhumanistes s’engagent dans des approches interdisciplinaires pour comprendre et évaluer les possibilités de dépasser les limitations biologiques. Il existe plusieurs sous catégories de courant de pensées dans le transhumanisme. (Schéma de Marc Roux, président de l’association française de transhumanisme, Passage de l’homme au post humain. Sources:

L’intelligence artificielle sans alternative « Ce que le moteur à vapeur a fait pour nos muscles, l’intelligence artificielle va le faire pour nos cerveaux », prédit Hannes Gassert en introduisant la session des conférences Lift consacrée à ce sujet. L’intelligence artificielle n’est plus un sujet de prospective. C’est un sujet d’aujourd’hui. Elle est déjà là. Nous l’utilisons déjà tous les jours, comme nous utilisons Facebook tous les jours. Qu’est-ce que l’ajout d’intelligence va transformer dans nos rapports aux machines et aux autres ? Demain, l’intelligence artificielle dans nos conversations Ca tombe bien. Image : Alexandre Lebrun sur la scène de Lift, photographié par Ivo Naepflin. Les premiers agents virtuels, comme ceux de VirtuOz, étaient limités à orienter les utilisateurs sur les sites web des entreprises notamment pour les aider à trouver les services qu’ils recherchaient. On ne sait pas trop non plus ce que signifie l’intelligence artificielle, souligne Alexandre Lebrun. L’ordinateur apprend lui-même. Hubert Guillaud

Les langages informatiques à l'aube de l'intelligence artificielle Cette discipline, dont l'aspect le plus marquant se traduit par la fabrication de machines ayant la capacité de simuler une intelligence au point qu'elle serait indiscernable du comportement d'un être humain, trouve ces dernières années un écho particulièrement fort en raison des évolutions technologiques. Big data, machine learning (apprentissage automatique), deep learning (apprentissage profond), digitalisation des entreprises : toutes ces notions conduisent à une mutation très importante du marché du travail - dans l'informatique certes, mais pas seulement - et à des évolutions de comportement au sein de nombreuses entreprises, parfois pour des applications inattendues. A l'heure actuelle, l'intelligence artificielle n'en est toujours qu'à ses débuts, mais pourtant ses applications sont déjà nombreuses. L'intelligence artificielle au service des entreprises Le Data Scientist et les langages informatiques appliqués à l'I.A. Le futur de l'intelligence artificielle

Quelles technologies pour apprendre à apprendre Il n'y a pas de questions plus récurrentes (et plus lassante, il faut bien le dire) que celle de l’introduction des nouvelles technologies au sein de l'école. Quel peut être leur apport, et surtout, leur valeur pédagogique ? Nous permettront-elles d'apprendre différemment ? La réalité virtuelle pour comprendre les systèmes complexes Au fameux VHIL (Virtual Human interaction Lab) de Stanford (que nous avons plusieurs fois mentionné), on essaie d'utiliser la VR afin de stimuler l'empathie pour accroître la compréhension de phénomènes liés au développement durable. Le principal inconvénient de la réalité virtuelle est l'isolement qu'elle impose au corps, séparé par des lunettes de son environnement immédiat. Le "monde virtuel" est projeté sur les murs et les sols de la salle. A noter que dans les deux expériences mentionnées, le travail du VHIL et l'expo new-yorkaise, se consacrent toutes les deux à l’exploration de systèmes écologiques. Connected Worlds from Design I/O on Vimeo.

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