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Herbert Marcuse

Herbert Marcuse
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Herbert Marcuse, en 1955. Herbert Marcuse, né le à Berlin et mort le à Starnberg (Bavière), est un philosophe, sociologue marxiste, américain d'origine allemande, membre de l'École de Francfort avec Theodor Adorno et Max Horkheimer. Carrière[modifier | modifier le code] Fils aîné d'une famille juive aisée, assimilée et installée à Berlin, il est appelé sous les drapeaux dans la Reichswehr après son Abitur (équivalent du baccalauréat français). C'est en 1932 que Marcuse entre pour la première fois en contact avec l'Institut de Recherche sociale de Francfort. Dès 1951, il enseigne dans diverses universités américaines. Sa pensée est fortement inspirée de la lecture de Marx et de Freud : elle est, par bien des aspects, beaucoup plus profonde et plus radicale que celle d'Erich Fromm, dont elle relève certaines insuffisances. En 2003, les cendres de Marcuse sont apportées à Berlin pour être enterrées près de la tombe de Hegel. Related:  Philosophes - psychanalystes (H)personnesPhilo

Maurice Merleau-Ponty Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Maurice Merleau-Ponty Philosophe français Époque contemporaine Biographie[modifier | modifier le code] L'enseignant[modifier | modifier le code] À l'âge de cinquante-trois ans, il meurt d'un arrêt cardiaque le soir du , assis à son bureau, où la Dioptrique de Descartes était encore ouverte[2]. « Il laisse une œuvre considérable, inachevée, et singulièrement un livre auquel il travaillait et qui devait constituer son chef-d'œuvre : “Les aventures de la Dialectique” »[3].Claude Lefort est l'exécuteur testamentaire de l'œuvre de Maurice Merleau-Ponty [4]. La rupture avec Sartre[modifier | modifier le code] Philosophie[modifier | modifier le code] Le primat de la perception[modifier | modifier le code] La corporéité[modifier | modifier le code] René Descartes Le langage[modifier | modifier le code] Voir aussi philosophie du langage. Ferdinand de Saussure Les arts[modifier | modifier le code] Les joueurs de cartes, Paul Cézanne

Max Horkheimer Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Max Horkheimer (né le 14 février 1895 et mort le 7 juillet 1973) est un philosophe et un sociologue allemand, connu pour être le directeur de l'Institut de Recherche sociale (Institut für Sozialforschung), à l'origine de la célèbre École de Francfort de 1930 à 1969, et un des fondateurs de la théorie critique (Kritische Theorie). Biographie[modifier | modifier le code] Horkheimer, qui était issu d'une riche famille industrielle juive, a obtenu l'équivalent du baccalauréat à Munich en 1919. En 1930, il devient le professeur titulaire pour la philosophie sociale à l'Université de Francfort. Extrait d'une lettre de Walter Benjamin à Max Horkheimer à propos de son internement au camp de Vernuche (Paris, 30 novembre 1939). En 1947, il fait publier aux éditions Querido (Amsterdam), avec son collaborateur et ami de longue date Theodor W. Avec les philosophes Theodor W. Bibliographie en langue allemande[modifier | modifier le code] (Zs. mit Theodor W.

Théorème d'impossibilité d'Arrow Le théorème d'impossibilité d'Arrow, également appelé « paradoxe d'Arrow » (du nom de l'économiste américain Kenneth Arrow), est une confirmation mathématique, dans certaines conditions précises, du paradoxe soulevé et décrit dès 1785 par Nicolas de Condorcet. Supposons que chaque électeur ne puisse exprimer son opinion que de manière qualitative, en indiquant comment il classe les unes par rapport aux autres. Entre deux options, l'électeur indique celle qu'il préfère ou s'il est indifférent entre les deux, par contre il ne peut pas exprimer l'intensité de sa préférence. Dans ce cadre, il n'existe pas de processus de choix social indiscutable, qui permette d'exprimer une hiérarchie des préférences cohérente[1] pour une collectivité à partir de l'agrégation des préférences individuelles exprimées par chacun des membres de cette même collectivité. Origine[modifier | modifier le code] Le précurseur : Nicolas de Condorcet[modifier | modifier le code] L'auteur[modifier | modifier le code] 2e 9

John Dewey.PDF Theodor W. Adorno Pour les articles homonymes, voir Adorno. Theodor Adorno en 1964. Theodor W. En tant que philosophe, il est avec Herbert Marcuse et Max Horkheimer l'un des principaux représentants de l'École de Francfort, au sein de laquelle a été élaborée la Théorie critique. Nom et origine[modifier | modifier le code] Timbre pour le 100e anniversaire de la naissance de Theodor W. Theodor Wiesengrund-Adorno est né à Francfort, le 11 septembre 1903, d'un père juif allemand, Oscar Alexander Wiesengrund, commerçant, et d'une mère française catholique, Maria Calvelli Adorno della Piana, cantatrice. L'enfant est baptisé suivant le rite catholique et sa mère joint au patronyme Wiesengrund son propre nom Adorno. En 1943, il est naturalisé américain sous le nom de Theodor Adorno et présente ses excuses à ses parents pour avoir supprimé son prénom Ludwig et jusqu'au W. du nom de famille. L'article Sur le Jazz est publié en 1936 sous le pseudonyme de Hektor Rottweiler. Biographie[modifier | modifier le code]

Adam Ferguson Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Ferguson. Adam Ferguson Il est surtout connu pour son ouvrage publié en 1767 Essai sur l'Histoire de la Société civile. Biographie[modifier | modifier le code] Adam Ferguson est né en 1723 au pied des Highlands, dans une partie pauvre et traditionnelle de l’Écosse[1]. Il quitte ses fonctions en 1754 et revient à Édimbourg[1]. Grâce à ses amis John Homme et David Hume, il est nommé à la chaire de philosophie naturelle de l'université d’Édimbourg en juillet 1759. Essai sur l'histoire de la société civile[modifier | modifier le code] Dans ce livre, il développe une théorie de la sociabilité qui s'oppose à celles développées par les philosophes Thomas Hobbes et Jean-Jacques Rousseau, tout en étant critique de celles développées par David Hume et Adam Smith. Œuvre[modifier | modifier le code] En anglais[modifier | modifier le code] Traductions[modifier | modifier le code] Essai sur l'histoire de la société civile, 1767.

Boris Cyrulnik Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Boris Cyrulnik, le 1er novembre 2011 à Gênes (Italie), lors du Festival della Scienza. Boris Cyrulnik, né le 26 juillet 1937 à Bordeaux, est un psychiatre et psychanalyste français. Il est membre du comité d'honneur de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD)[4]. Boris Cyrulnik est également un homme engagé pour la protection de la nature et des animaux. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Boris Cyrulnik est né dans une famille d'immigrés juifs d'Europe centrale et orientale (son père était russo-ukrainien et sa mère polonaise) arrivés en France dans les années 1930[6]. Formation et carrière[modifier | modifier le code] Boris Cyrulnik fait ses études secondaires au lycée Jacques-Decour à Paris, puis supérieures à la Faculté de médecine de Paris. Depuis 2007, il dispose d'une chronique dominicale sur France Info, Histoire d'Homme avec Marie-Odile Monchicourt et Yves Coppens[21]. Scham.

Célestin Bouglé Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Célestin Bouglé Bouglé le sociologue[modifier | modifier le code] Proche d'Émile Durkheim, il contribua à diffuser sa pensée, bien qu'il en soit resté distant dans ses propres travaux. C'est également avec lui qu'il lança la revue L'Année Sociologique, revue à laquelle est également attaché le nom de Marcel Mauss (le neveu de Durkheim). Bouglé fut aussi influencé par Georg Simmel et son travail sur la différenciation sociale. Il participa en 1928 au premier cours universitaire de Davos, avec de nombreux autres intellectuels français et allemands. Le Centre de documentation sociale[modifier | modifier le code] Bouglé a également été actif dans les conférences internationales d'experts et d'économistes qu'a organisé la Société des Nations dans l'entre-deux-guerres. Œuvres[modifier | modifier le code] Les Sciences sociales en Allemagne. Sur Bouglé[modifier | modifier le code] Alain Policar. Notes et références[modifier | modifier le code]

David Goodhart Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. David Goodhat en 2015. David Goodhart (né le 12 septembre 1956 à Londres) est un journaliste, économiste et écrivain britannique[1],[2],[3]. Biographie[modifier | modifier le code] Il étudie au collège d'Eton puis l'histoire et la politique à l'université d'York[4]. Écrits[modifier | modifier le code] Articles[modifier | modifier le code] « Back from the Ruins of 1990 », dans Fabian Review, n° 104 (1992) (ISSN 1356-1812)« Britain’s Glue. Livres[modifier | modifier le code] En 2013, il publie un essai sur l’immigration intitulé The British Dream : Successes And Failures Of Post-War Immigration dans lequel il dit que la gauche a fait fausse route en négligeant les enjeux liés à l’immigration et à l’identité nationale. Références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

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