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Ziggurat

Ziggurat
Une ziggurat (ou ziggourat) est un édifice religieux mésopotamien à degrés présent aussi en Élam, constitué de plusieurs terrasses supportant probablement un temple construit à son sommet. Le terme vient de l'akkadien ziqqurratu(m) (féminin, parfois abrégé en ziqratu, en Assyrie siqurratu ou sequrattu, en idéogrammes sumériens U6.NIR[1]), dérivé du verbe zaqāru, « élever », « construire en hauteur »[2]. On peut donc le traduire par « la très haute »[3]. Il s'agit du monument le plus spectaculaire de la civilisation mésopotamienne, dont le souvenir a survécu bien après sa disparition grâce au récit biblique de la tour de Babel, inspiré par la ziggurat de Babylone. Depuis la mise au jour des grandes capitales mésopotamiennes, plusieurs de ces bâtiments ont pu être analysés, même s'il n'en reste plus d'intacts, beaucoup étant très délabrés et se présentant sous l'aspect de collines, tandis que d'autres ont complètement disparu. La fin des ziggurats[modifier | modifier le code] A. Related:  Occultisme / Ésotérisme / Religion

Ville en Mésopotamie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les principales villes de Mésopotamie au IIe millénaire av. J.-C. Aux origines des villes mésopotamiennes[modifier | modifier le code] L'étude de l'apparition de la ville se heurte à la nécessité de définir celle-ci. Les causes de l'apparition des villes, comme de la « civilisation » en général, sont débattues. La quasi-totalité des villes est bâtie près de cours d'eau, d'autant plus nécessaires que la ressource hydrique est peu abondante dans le sud mésopotamien. La ville, au cœur de la civilisation mésopotamienne[modifier | modifier le code] Dès la fin du IIIe millénaire, les textes littéraires sumériens nous permettent de voir combien le milieu urbain était porté en haute estime, car on estimait que les villes avaient été créées par les dieux avant toute autre chose, et qu'elle est donc nécessaire à l'apparition d'une société, dont elle assure la stabilité par rapport au monde au-delà des murailles, la steppe, symbolisant le chaos. F.

Antéchrist L’Antéchrist (« avant le Christ ») ou Antichrist (« contre le Christ ») est une figure commune à l'eschatologie chrétienne et islamique[1], mais dans un sens différent. Elle apparaît dans les épîtres de Jean et dans la deuxième épître aux Thessaloniciens de Paul de Tarse sous des formes variables mais puise ses origines dans la notion d'« anti-messie » déjà présente dans le judaïsme[2]. Le terme désigne parfois un individu — souvent monstrueux —, parfois un groupe ou un personnage collectif. Cette figure d'imposteur maléfique qui tente de se substituer à Jésus-Christ a nourri de nombreuses spéculations et interprétations dès les premiers développements du christianisme à travers la littérature patristique, qui se sont enrichies encore au fil des siècles, situant l'intervention de l'Antéchrist lors des dernières épreuves précédant la fin du monde[3]. Étymologie et définition[modifier | modifier le code] Les manuscrits de la mer Morte et la notion d'Antéchrist[modifier | modifier le code]

Cités mésopotamiennes, les premières cités. Plans, histoire, photographies, fouilles. Durant l’Antiquité, la Mésopotamie fut le berceau d’une florissante civilisation. Inventeurs de la roue et de l’écriture, les Mésopotamiens bâtirent aussi des cités qui sont parmi les plus anciennes de l'humanité. Certaines d’entre elles, comme Ur, vivent encore dans notre mémoire. La première ville à être fouillée systématiquement fut Dûr Sharrukîn, capitale fondée par Sargon II (721-705 av. Il fallut attendre le déchiffrement de l’akkadien par Henry Creswicke Rawlinson en 1850 pour pouvoir identifier avec certitude ces cités. Malgré ces fabuleuses découvertes, la Mésopotamie réservait d’autres surprises… Avant le 3 décembre 1872, il aurait été blasphématoire d'affirmer que Dieu n’avait pas inspiré tous les mots de la Bible. Ce fut donc dans un climat d’effervescence intellectuelle qu’au milieu du XIXe siècle, les sites de Mésopotamie furent identifiés et fouillés pour la première fois. haut de page

Mahdi Le Mahdi ou Muhammad al-Mahdi (arabe : al-mahdi, المهدي, muhammad al-mahdi : محمد المهدي, " le guidé (par Dieu)") est un rédempteur eschatologique attendu de l'ensemble des confessions musulmanes, à l'exception des coranistes, et identifié au dernier imam dans le chiisme duodécimain. Le nom du calife al-Mahdi est Muhammad ibn 'Abd-Allah. Généalogie[modifier | modifier le code] Son nom est Muhammad ; selon un des hadiths : « Le Mahdi portera le même nom que moi ». Selon un hadith de ("Mahomet") rapporté par Al-Tirmidhî : « S’il ne restait qu’un jour avant la fin de ce monde, Allah allongerait ce jour jusqu’à ce qu’une personne de ma famille, dont le nom sera le même que le mien, gouverne le monde. »[1] Pour les chiites duodécimains la généalogie des imams est la suivante : Chiisme duodécimain[modifier | modifier le code] Le chiisme duodécimain tient son nom de sa foi en le retour du 12e imam et son règne à vocation eschatologique. Ismaëlisme[modifier | modifier le code]

Cités-Etats sumériennes Il a belle lurette que Sumer a été supprimée des programmes d'histoire de sixième et des concours de recrutement de l'Éducation nationale. On ne l'aborde plus que dans quelques universités. Jean-Louis Huot, directeur de l'IFAPO, nous permet aujourd'hui de pallier cette méconnaissance et de découvrir les Sumériens apparus, au IVe millénaire dans le sud de la Mésopotamie et initiateurs de la première grande civilisation historique du Proche-Orient. Contrairement au monde égyptien, toujours si attirant aux yeux d'un public jamais lassé, semble-t-il, celui des Sumériens a disparu de notre mémoire. Au mieux sait-on qu'il s'agit d'un peuple de l'ancienne Mésopotamie, l'actuel Irak. Notre culture est pétrie des traditions classiques, lesquelles ignorent les Sumériens, qui n'ont été redécouverts qu'au XIXe siècle. Un peuple connu d'abord linguistiquement La période des dynasties archaïques Agriculture et métallurgie, sources de prospérité Une grande inégalité sociale Jean-Louis Huot Mars 2001

Célestin V Saint Célestin V (Pietro Angeleri, également connu sous le nom de Pietro de Morrone), né en 1209 ou au début de 1210 dans le Molise en Italie et mort le 19 mai 1296 à Fumone, était un moine-ermite italien appartenant à l'ordre des bénédictins. Il en fonda une nouvelle branche, qui prit par la suite le nom de célestins. Élu pape le 5 juillet 1294 à l'âge de 85 ans, il devient le 192e pape de l'Église catholique sous le nom de Célestin V, avant de renoncer à sa charge le 13 décembre de la même année. Il fut canonisé le 5 mai 1313. Biographie[modifier | modifier le code] Moine bénédictin[modifier | modifier le code] Né d'Angelerius et Maria, paysans, Pietro est l'avant-dernier d'une famille de douze enfants[1]. Bien que la congrégation se rattache à la règle bénédictine, elle est profondément influencée par les franciscains[2], et en particulier le mouvement des Spirituels, disciples de Joachim de Flore, comme le montrent les nombreuses dédicaces de monastères au Saint-Esprit[3].

Succinct Ecriture cunéiforme En terme géographique la Mésopotamie regroupe les civilisations des Assyriens, Akkadiens, Babyloniens et Sumériens, qui se sont développées entre les grands fleuves le Tigre et l'Euphrate et se situe actuellement dans la réplublique d'Iraq. Assyrie : région septentrionale de la Mésopotamie dont Ninive, Ashur, Kalhu, Dûr Sharrukin étaient des villes principales. Akkad : région septentrionale du sud de la Mésopotomie dont la ville pricipale est Akkad fondée par Sargon au XIVe siècle avant notre ère. Les civilisations urbaines de Mésopotamie ont exercé une grande influence sur l'ensemble de l'Asie occidentale, mais comme elles englobaient des tribus non sédentaires, des bergers migrants et des travailleurs de la terre issus de groupes ethniques et linguistiques divers, elles n'ont jamais constitué un groupe culturel très homogène. Mésopotamie Palais de Nimroud à Ninive par A.H.

Mirabilis liber Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il parut pour la première fois en 1522 sous son nom latin qui signifie « Livre Merveilleux » ou encore « Livre des Prodiges ». En 1561, le recueil parait en français sous le titre " La premiere partie du recueil des propheties et revelations, tant anciennes que modernes : Laquelle contient un sommaire des revelations de saincte Brigide, saint Cirille, & plusieurs autres saincts & religieux personnages : nouvellement reveüe & corrigée oultre les precedentes impresisons" Publication : A Paris, pour Vincent Sertenas, en la rue neuve Nostre Dame, à l'image S. Jean l'Evangeliste, & en sa boutique au Palais, en la gallerie par ou on va à la Cnacellerie. 1561. . Composition[modifier | modifier le code] Il est composé de deux parties. Le Mirabilis Liber ne comporte aucune vignette prophétique à la différence de ses sources qui en sont truffées, comme chez Lichtenberger[4], probablement pour éviter que l'ouvrage ne puisse toucher le peuple. prédiction

Aspects religieux 1.1. Généralités A l’aube de son histoire, la religion sumérienne était déjà ancienne. Les dieux sont des êtres célestes, ils rayonnent d’une grande lumière. Ils étaient anthropomorphiques, aussi bien physiquement que dans leur caractère et leurs actions. Liée aux divinités ouraniennes, la symbolique taureau–cornes a une grande importance. Les dieux sumériens paraissent plus immergés dans la nature que ceux des babyloniens. On constate 3 sortes de divinités, qui trahissent un sentiment de communion intense avec la nature : Les dieux correspondant aux diverses parties du monde (le ciel, la terre, les enfers). L’amour entre les dieux était la source de toute vie sur terre, et les poètes sumériens le décrivaient de façon très explicite. Mais à l’image d’un souverain, la communication avec les plus grands dieux étant difficile, les sumériens préféraient s’adresser à des dieux plus proches, les dieux « personnels ». A chaque nouvel an, les dieux fixent le sort des 12 prochains mois. 1.2. 1.3.

Révélation privée L’Église catholique parle de la révélation privée ou de révélation spéciale, pour indiquer des visions ou des révélations faites par Jésus, Marie ou d'autres saints, qui auraient eu lieu après la rédaction du Nouveau Testament. Ces révélations, dont le caractère « privé » les distingue des révélations « publiques », n'ont été reconnues que dans un nombre limité de cas par l’Église catholique et ne font pas partie du dépôt de la foi. Tout au long de l'histoire du christianisme, il y a eu de nombreuses révélations rapportées, des prophéties du Montanisme (IIe siècle) au « miracle du soleil » (XXe siècle). Au cours des siècles, l’Église a établi des règles « de discernement » pour vérifier si « la révélation » (ou l'apparition), sont de nature « surnaturelle » ou non. Ces enquêtes sont menées d'abord par l'évêque du lieu, puis éventuellement par les autorités du Vatican. D'après la théologie de l’Église catholique[modifier | modifier le code] Définitions[modifier | modifier le code]

Mythologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Principaux personnages de la mythologie mésopotamienne. Il est à noter que toutes les analyses faites ici et les commentaires ainsi que les conclusions tirées parfois ne représentent qu'une manière de voir ces récits sumériens de l'Enumah Elish qui apparaissent en réalité comme des comptes rendus précis de mémoires Intégrisme L'intégrisme est un courant au sein de l'Église catholique romaine, particulièrement en France[1], dont l'appellation remonte au début du XXe siècle, lors de la crise moderniste, lorsque le courant conservateur de cette Église oppose aux partisans d'une ouverture au monde moderne un catholicisme dit « intégral » qui défend le maintien des vérités catholiques traditionnelles telles qu’elles ont, selon eux, toujours été enseignées. Ces tenants de la « Tradition », se désignant eux-mêmes comme des « catholiques intégraux »[2], seront appelés « intégristes » par le courant progressiste qui se verra, lui, désigné sous le vocable de « moderniste » dans des appellations qu'aucun des deux courants ne revendique ni n'assume[3]. L'intégrisme se distingue du fondamentalisme. Celui-ci regroupe les courants réactionnaires – particulièrement protestants – qui se réfèrent à la littéralité des textes sacrés, même s'il partage avec l'intégrisme des processus comparables[4].

Religion mésopotamienne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Au cours de cette histoire longue et complexe, les Mésopotamiens n'ont jamais recherché l'abstraction ni établi de cloison entre les cultes et les différents aspects de leur vie sociale. Ils n'ont pas plus que les autres peuples de la Haute Antiquité élaboré un concept de « religion » : la religion de la Mésopotamie antique a donc été reconstruite par les travaux des historiens modernes à partir du XIXe siècle et la redécouverte de cette civilisation dont la plupart des traits avaient été oubliés. La redécouverte de la religion de l'ancienne Mésopotamie a longtemps été marquée par la recherche des parallèles et informations que celle-ci pouvait fournir sur la Bible, notamment sur ses origines. Les anciens Mésopotamiens vénéraient de nombreux dieux, conçus comme créateurs et ordonnateurs de l'univers et de l'humanité. Conditions d'étude[modifier | modifier le code] Les sources[modifier | modifier le code] Tablette d'Uruk (c. 3200-3000 av.

André de La Franquerie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. André Lesage (1901-1992) (de son nom de plume Marquis de La Franquerie) est un écrivain monarchiste et catholique français, auteur d'ouvrages « politico-mystiques ». Il représente un courant « providentialiste » voire apocalyptique proche de l'intégrisme, qui joint à la défense d'un ordre politique catholique traditionnel la croyance dans les prophéties et les révélations privées. Biographie[modifier | modifier le code] Fils d'Henri Lesage, docteur en droit, et d'Eugénie Martin, il appartient à une famille de juristes parisiens. Il prend l'habitude d'adjoindre à son patronyme le nom « de La Franquerie » puis « de La Tourre », s'arrogeant le titre de « marquis de La Franquerie de La Tourre »[1], mais ne dispose pas de réel titre nobiliaire. En 1926, il est nommé rédacteur en chef de la Revue Internationale des Sociétés Secrètes[2]. Théories[modifier | modifier le code] Publications[modifier | modifier le code]

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