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Thermes romains

Thermes romains
Les thermes romains (en latin thermæ, du grec θερμός / thermós, « chaud ») sont des établissements abritant les bains publics (en latin : balnea) de la Rome antique qui participent au maintien de la santé publique en permettant aux populations de se laver régulièrement. Leur ouverture progressive à toutes les couches sociales en fait des lieux de grande mixité. Durant l'Empire romain, la pratique du thermalisme dans des établissements dédiés accessibles à tous et offrant plus de services que la simple fonction de bain devient une caractéristique de la culture romaine. De manière générale, il semble que ce soit la taille et l'intégration de l'établissement dans le paysage urbain qui soient les critères permettant de distinguer les balnea des thermae après le Ier siècle. Les premiers sont des établissements privés mais ouverts au public, de taille réduite et qui s'intègrent tant bien que mal dans les espaces réduits du tissu urbain. Maquette des thermes de Chassenon, Charente. Related:  Thermes

Thermes Romains Les thermes romains faisaient partie intégrante de la vie romaine. Prendre un bain tous les jours, ou presque tous les jours, était très commun à Rome dans l'antiquité. Dans la Rome antique, les pauvres allaient aux bains publics plusieurs fois par semaine. Par contraste, dans l'Europe du 18e siècle, même les personnes appartenant à l'aristocratie se baignaient rarement. Les origines des thermes romains Les thermes romains suivaient la tradition de la Grèce antique. Comment les Romains de l'antiquité se baignaient Pour la plupart des Romains, prendre son bain se faisait en public. Une autre différence par rapport aux saunas et spas modernes: ces saunas ou thermes étaient des lieux où les Romains socialisaient, traitaient des affaires, faisaient la cour aux femmes ou tout simplement se détendaient. Les gens se baignaient non seulement pour l'hygiène corporelle mais aussi pour les bienfaits pour la santé associés à ces bains. Comment les bains romains étaient construits Disparition

Le Reseau Hydrique de Pompei Quant au Troisième Réseau C, il existe une incertitude sur la trajectoire initiale; le Rasmussen lui-même, poussé par de vieilles théories, fait passer la première voie d'eau par le début du second canal B, puis un bâtiment d'accumulation aurait distribué les eaux vers la zone ouest, mais (!), dans ce quartier aucun édifice de stockage ou réservoirs n'a pas été notifié. (!) Nous savons, cependant, qu'un canal plus ancien a été trouvé sur la partie nord à côté des murs, en commençant par la porte du Vésuve, qui faisait sans aucun doute partie de cet ancien canal trouvé à la Porte de Capue qui continuerait sans doute vers occident, on peut penser que la dernière partie de ce réseau a été utilisée ici pour desservir la partie ouest de la ville. Nous savons qu'au carrefour entre la Rue Consulaire et la Rue de Narcisse, il y a un réservoir d'accumulation en position [6,1,19], assez profond et donc de grande capacité, qui était entre autres un puits pour l'usage en eau du quartier.

Apodyterium Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Thermes urbains d'Herculanum, avec un apodyterium pour chaque section Apodyterium des bains anciens à ¨Pompéi, Harpers Dictionary of Classical Antiquities, 1898 L’apodyterium (du grec ancien : ἀποδυτήριον, « déshabilloir »), ou apoditerium, est la pièce la plus richement décorée des thermes romains car c'est un passage obligé, première étape du parcours de l'utilisateur dans le circuit thermal. Cette salle constitue un vestiaire disposant de nombreuses niches au sein des murs, où l'on déposait ses effets personnels.

Les plaisirs du bain dans l’antiquité romaine Les plaisirs du bain dans l’antiquité romaine avec : Jean Noël Robert Latiniste, historien de Rome pour son ouvrage Les plaisirs à Rome , aux éditions Payot La pratique du bain à Rome est importée de Grèce, mais les Romains ne les ont pas imités… Les Romains ont développé un art singulier du bain. Si les Romains construisent d’abord des bains c’est par obsession de la propreté corporelle… Dans les premières décennies de Rome, l’hygiène reste très rudimentaire. On se lave chaque matin les bras et les jambes. Dans la République et l’Empire romain, l’un des moments privilégiés de la journée du citoyen romain c’est la fréquentation des thermes. C’est une institution essentielle dans la vie quotidienne du Romain qui y passe une à deux heures par jour…. Au IIème siècle avant notre ère, apparaissent les bains publics, distincts pour les hommes et pour les femmes. Les bains ne deviennent mixtes qu’à la fin de l’Empire. Ces bains publics étaient très accessibles, d’abord ouvert les jours de marché.

/etacitus1.htm Les archéologues ont trouvé à Pompéi des traces de cette rixe : une fresque la représente de manière saisissante, reproduite dans Pompéi, La Cité ensevelie, de Robert Etienne, Découvertes Gallimard n°16, pp 108 & 109. Le texte de Tacite, bien que d'une syntaxe régulière, peut paraître difficile aux élèves. Il vaut mieux donc l'utiliser pour appuyer un cours, par exemple sur l'ablatif absolu, ou/et sur l'ellipse du verbe être. Traduction approximative A la même époque, pour des causes futiles, il se produisit un affreux massacre entre les habitants des colonies de Nucérie et de Pompéi, lors d'un spectacle de gladiateurs donné par Livineius Regulus, qui, comme je l'ai déjà dit, avait été exclu du Sénat.

Hypocauste L'hypocauste[1] (hypocaustum) est le nom donné au système de chauffage par le sol utilisé à l'époque romaine, dans l'ensemble de l'Empire, et notamment par les Gallo-romains dans les thermes romains et les bains. Ce principe de construction était déjà connu de la civilisation de la vallée de l'Indus (ville de Mohenjo-daro, abandonnée au XVIIIe siècle av. J.-C.) et des Grecs dès le IVe siècle av. J. Par leur utilisation intensive de ce système, ce sont les Romains qui le perfectionnèrent, notamment pour le caldarium des thermes. Le site gallo-romain de Champlieu comporte les vestiges d'un hypocauste datant du IIe siècle, dont la structure et le fonctionnement sont décrits par Achille Peigné-Delacourt[2]. Un grand foyer, le praefurnium, situé à l'extérieur de la pièce, avait la forme d'une petite chambre circulaire ou rectangulaire voûtée, avec une ouverture pour l'allumage, et communiquait par une seconde ouverture avec l'hypocauste. Jean-Pierre Adam, La Construction romaine.

Entretien avec Bertrand Roussel, directeur des musées d’archéologie de Nice | La Vie des Classiques La vie des Classiques s'est entretenue avec Bertrand Roussel (photographie ci-contre, crédits : Musée d’Archéologie de Nice / Cimiez). Comment vous présenter ? Je m’appelle Bertrand Roussel et je suis le directeur des musées d’archéologie de Nice, ce qui comprend le musée de préhistoire de Terra Amata et le musée d’Archéologie de Nice / Cimiez, depuis 2012. Remontons le temps et arrêtons-nous d’abord dans une ferme niçoise de la colline de Cimiez dans les années 1950, une ferme particulière car l’édifice est…romain ? En effet, le frigidarium (salle froide) des thermes de Nord de l’antique Cemenelum, a été transformé, après l’abandon de la ville, en ferme, ce qui a permis la bonne conservation en élévation (10 m) de ses murs. Cette ferme a été démolie par les archéologues pour ne laisser visible que les murs romains. Depuis combien de temps le site a-t-il intéressé les archéologues ? Il faut attendre ensuite les années 1940 et l’occupation italienne pour que le site soit de nouveau étudié.

Baia | Vita Abroad Welcome to Baia Archaeological/Roman Bath Houses! There are two parts of Baia Archaeological, one is above ground and the other is underwater. This post will cover the above ground portion of this magnificent ancient Roman ruin. Location: The address to the Roman Baths is: Via Sella di Baia, 22 80070 Bacoli, Province of Naples, Italy. Click photo to enlarge. If you have trouble finding which train ticket to purchase or anything else please feel free to comment or send me a message. This is the entrance to the baths. Two thousand years ago the rich of antiquity came to Baia, the richest and smartest holiday resort in the Roman Empire. Landing place of the powerful Cuma, it was the most praised and patronized for its environmental delights and for its thermal springs. Baia was a place of ” fun and games” according to Ennius. Due to frequentations Baia became an important cultural center, to such an extent Cicero (106 BC – 43 BC) defined it as “pusilla (little) Roma”. I was here! Face Time

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