@l'horizon Epistémologie Estime de soi: reconnaître ses accomplissements Chaque jour nous commettons bévues et boulettes, erreurs de jugement, interprétations erronées, ratés de toutes sortes. Certes. Cependant, dans le même temps, nous accumulons des pelletés de réussites, immenses ou minuscules, tout aussi significatives, et qui pourtant ont une tendance bien supérieure à finir aux oubliettes que leurs antonymes. Renouons avec nos propres accomplissements! En lecture ou en podcast Lecteur audio Au risque de passer pour une vieille radoteuse, je vais me répéter: nous consacrons beaucoup trop de temps à nous passer au moulin à légume de nos propres jugements et manquons souvent cruellement de la politesse et de l’indulgence les plus rudimentaires vis-à-vis de nous-mêmes. Nous aspirons à une reconnaissance bien légitime, que nous espérons des autres, que nous leur accordons volontiers, mais pour ce qui nous concerne, nous reconnaissons bien davantage nos petits manquements que nos beaux accomplissements. Valorisation, humilité et arrogance Voir aussi
Ennéagramme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’ennéagramme est, à l'origine, une figure ésotérique (le mot a été construit avec la racine grecque ennea qui signifie neuf et gramma dont le sens est figure) utilisée et probablement conçue par Georges Gurdjieff. L'ennéagramme, dans des conceptions dérivées, s'est diffusé comme une méthode de développement personnel (alors appelé « ennéagramme des neuf types de personnalité ») au travers de divers auteurs à partir des années 1970 aux États-Unis dans le courant de la psychologie humaniste. Cette méthode est aujourd'hui également utilisée dans le domaine du management, et fait l'objet de nombreux séminaires, livres, magazines et DVD[1],[2]. Origine de l'ennéagramme[modifier | modifier le code] L'origine de l'ennéagramme reste floue et diverses thèses plus ou moins étayées ont vu le jour à ce sujet. Selon Laleh Bakhtiar (en), historienne de l'Islam, l'ennéagramme trouverait son origine dans le soufisme. L'ennéagramme est constitué de :
Expérience de Milgram Graphique montrant que 65 % des sujets de l'expérience infligent des souffrances maximales si on le leur ordonne. L'expérience de Milgram est une étude de psychologie sociale menée par Stanley Milgram en 1963. Elle a pour but d'étudier le comportement humain face à l'autorité et la soumission à celle-ci, et consiste à tester la capacité des individus à obéir, même si cela implique d'infliger des souffrances à autrui. La majorité des variantes de l'expérience a lieu dans les locaux de l'université Yale (New Haven, Connecticut). un élève (learner), qui s'efforce de mémoriser des listes de mots et reçoit une décharge électrique en cas d'erreur ;un enseignant (teacher), qui dicte les mots à l'élève et vérifie les réponses. L'expérimentateur et l'élève sont en réalité deux comédiens. L'élève est placé dans une pièce distincte, séparée par une fine cloison, et attaché sur une chaise électrique (en apparence). Les réactions aux chocs électriques sont simulées par l'apprenant.
Hypothese sur le temps. Méthode de mesure en physique. Estime de soi: renouer avec notre merveilleuse singularité (1) J’aime bien l’adjectif “singulier” qui évoque l’unicité autant que la bizarrerie, un peu comme si chacun d’entre nous était forcément étrange aux yeux de l’autre : étrange dans son altérité curieuse… là aussi dans son double sens: désireuse d’apprendre et digne d’intérêt à la fois. Et si l’estime de soi se nichait tranquillement là, dans l’exploration délicieuse de notre singularité comme un cabinet de curiosités? En toute indiscrétion à soi-même? Allez venez, je vous emmène en voyage au centre de votre être;) Je suis sans cesse fascinée par la fabuleuse complexité de chacun de nous, les sentiers sinueux de nos méninges, ce qu’ils disent de nous et de notre identité… Et je suis tout autant fascinée par notre immense impuissance à mettre en mots ce que nous sommes, à nous accepter et à parler de nous-mêmes avec douceur et légèreté. J’aime aussi le mot désir qui m’évoque l’élan vers quelque chose ou quelqu’un, l’aspiration qui rejoint l’action et qui se meut vers le plaisir. Voir aussi
Elégance relationnelle: ne pas faire de mal Une part de l’élégance relationnelle consiste à ne pas alourdir nos interactions de brutalités et de bassesses supplémentaires, sous prétexte que nous en subissons tous les jours. La non violence est une force d’âme et Christophe André en parle merveilleusement bien, dans l’une de ses délicieuses 3 minutes à méditer, si joliment écrites et si joliment dites. Cet épisode des chroniques 3 minutes à méditer m’a particulièrement touchée car il y a une grande noblesse d’âme à s’attacher à ne pas rajouter à la peine du monde et à l’alléger de maladresses évitables, des petites incivilités qui nous échappent, des retours de bâtons que nous distribuerions volontiers. En voici un podcast et une transcription. Lecteur audio Ne pas faire de mal “Ne pas faire de mal à autrui est une principe fondamental, commun à toutes les cultures et indispensable à toute vie en société. C’est pourquoi vivre plus souvent en pleine conscience peut nous aider à faire moins de mal autour de nous. Ne pas faire de mal.
Expérience de Stanford L’expérience de Stanford (parfois surnommée effet Lucifer) est une étude de psychologie sociale menée par Philip Zimbardo en 1971 sur les effets de la situation carcérale, ayant eu un très grand écho social et médiatique. Elle fut réalisée avec des étudiants qui jouaient des rôles de gardiens et de prisonniers. Elle visait à étudier le comportement de personnes ordinaires dans un tel contexte et eut pour effet de montrer que c'était la situation plutôt que la personnalité autoritaire des participants qui était à l'origine de comportements parfois à l'opposé des valeurs professées par les participants avant le début de l'étude. Les 18 sujets avaient été sélectionnés pour leur stabilité et leur maturité, et leurs rôles respectifs de gardiens ou de prisonniers leur avaient été assignés de manière ostensiblement aléatoire. Les problèmes éthiques soulevés par cette expérience la rapprochent de l'expérience de Milgram, menée en 1963 à l'Université Yale par Stanley Milgram.