http://www.youtube.com/watch?v=Pl16R_V3l2I
Related: philo • Todo ! • philosophie • philoPhilosophie de soin de l’Humanitude® et Méthodologie de soin Gineste-Marescotti ® - La philosophie de l’Humanitude Pour environ 10% de la population agée de plus de 65 ans, le vieillissement s’accompagne de situations de handicap et de maladies qui portent atteinte à l’autonomie. Aujourd’hui, nous savons : - qu’il est possible d’aider les "hommes vieux" en situation de handicap en veillant à respecter leur équilibre et leurs désirs ; - que toutes les difficultés et toutes les pertes auxquelles les personnes atteintes de syndrome cognitivo-mnésique sont confrontées ne les empêchent pas de ressentir du plaisir et du bien-être. Pour rester en relation avec ces personnes et partager avec elles émotions et sentiments, il faut un prendre-soin fondé sur sur toutes les caractéristiques qui permettent aux hommes de se reconnaître les uns les autres : l'Humanitude. De tout temps, il s'est trouvé des soignants qui se sont occupés des personnes avec humanité.
L'assistant personnel intelligent - une nouvelle aliénation @JLAvec un peu de bon sens, vous comprendrez que cette immigration est la réponse du berger africain à la bergère occidentale. => Ce n’est pas du tout une réponse de qui que ce soit. C’est une fuite en avant vers l’Eldorado de la consommation et de la blondasse facile. Et pour alimenter cette fuite, la propagande tourne à plein régime, surtout sur le web, porno compris. Bon, les Africains immigrés ne sont pas les derniers à s’équiper, pour téléphoner au bled.
Une seconde vie : rencontre avec François Jullien Peut-on encore vivre heureux à l’époque de la paradoxale injonction au bonheur ? Une apologie du décalage. Peut-on encore vivre heureux à l’époque de la paradoxale injonction au bonheur ? Pour le philosophe François Jullien, qui s'attache à renouveler l'éthique européenne grâce à un long détour par la Chine, la réponse est oui. De la science à la politique : quand le débat perd la raison. Avec Dan Sperber et Hugo Mercier Dans le double contexte sanitaire (celui de la crise du coronavirus) et politique (celui des futures élections présidentielles) qui est le nôtre, la raison est au centre des débats. Là où la majorité des candidats et des partis prétendent incarner le « camp de la raison », cette dernière subit pourtant de multiples formes de critiques, visant tantôt ses errements moraux, en particulier l’implacable froideur par laquelle elle contribue à l’exploitation de la nature, tantôt ses errements théoriques, comme sa capacité à s’aveugler et à valider ses déductions les plus biaisées, ce dont témoigne le scandale du Lancet sur l’hydroxychloroquine. Comment alors résoudre cette « énigme de la raison » ?
Mieux comprendre la problématique du suicide « Revenir à l'archive des nouvelles 10 septembre 2015 Pour souligner la Journée mondiale de la prévention du suicide, le chanteur Lenni-Kim (14 ans) a lancé la chanson Pourquoi tout perdre. Expositions virtuelles Mundaneum Avec le projet Mundaneum, Paul Otlet et Henri La Fontaine avaient pour objectifs de collecter et partager l'ensemble des connaissances du monde. A l'heure d'Internet et du web 2.0, le Mundaneum poursuit l'idéal de ses fondateurs et vous propose de découvrir ces expositions virtuelles thématiques ! Les origines de l'Internet en Europe L’égalité des chances, cheval de Troie du néo-libéralisme – Les infiltrés Dans un article récent [1], Barbara Stiegler nous rappelle opportunément que « le nouveau libéralisme transforme nécessairement la démocratie élective en un régime autoritaire ». Autoritaire et brutal doit on encore ajouter, particulièrement au lendemain de ce 1er mai. Mais ce n’est pas là, selon elle, ce qui fait encore la nouveauté du néo-libéralisme — ce qui le distingue par exemple de l’ultra-libéralisme. Au travers de son injonction propre « il faut s’adapter » qui exige qu’il doive maintenir le cap — quoi qu’il puisse donc en coûter pour les libertés publiques — le néo-libéralisme vise à instaurer, nous dit Barbara Stiegler, les conditions d’une « compétition juste » de manière à ce que « tous puissent, avec un maximum d’égalité des chances, participer à la grande compétition pour l’accès aux ressources et aux biens ».
Qui était le Bouddha ? - Ép. 2/4 - Bouddhisme Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois.
Les enfants non religieux sont plus altruistes que ceux élevés dans une famille de croyants Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Hervé Morin Certains observateurs attentifs de l’actualité des derniers millénaires l’avaient déjà noté : la religion n’est pas toujours un gage de concorde et de fraternité. Une étude publiée jeudi 5 novembre dans la revue Current Biology suggère que le mode de transmission des valeurs et des pratiques religieuses d’une génération à l’autre risque de faire perdurer cette situation. Menée dans six pays auprès de 1 170 enfants de cinq à douze ans, elle montre que l’altruisme n’est pas la chose la mieux partagée chez ceux issus de familles pratiquant une religion. Ils présenteraient aussi une prédilection pour l’application de châtiments plus sévères que les rejetons de familles se définissant comme « non religieuses ».
Et si on enseignait l’histoire avec YouTube ? [callout]L’utilisation des TIC est rapidement chronophage. Et si on y remédiait, à l’aide de Sofia Coppola (Marie-Antoinette) à Lady Gaga en passant par la série Gossip Girl : L’élite de New York, en récupérant des productions sur YouTube pour les intégrer à son enseignement de l’histoire et en prenant en compte la culture médiatique de nos élèves? Le tout en prenant soin de développer la pensée historique chez ces derniers.[/callout] Cet ExplorCamp est axé sur les aspects pédagogiques et didactiques d’une intégration de médias numériques en histoire sans omettre quelques aspects techniques (récupération de vidéos ou minis projets d’élèves publiés sur YouTube).
Le paradigme énactif à l’épreuve de sa pragmatique expérientielle en première personne tion visuelle » .3 Par contraste, C. Lenay prend son point de départ dans une expérimentation de «substitution sensorielle » (nommée ici «suppléance perceptive » et issue du travail inaugural de Bach y Rita), qu’il redécrit de façon neutre durant les huit premières pages de l’article avant de montrer dans un second temps comment cette expérimentation confirme la théorie enactive de la perception. Les stratégies des deux auteurs sont donc très différentes, argumentative critique pour le premier, descriptive confirmatrice pour le second. Mes interrogations se situent aux deux bords de chacune des explorations, dans un mouvement de radicalisation critique de leur position : d’une part, je voudrais réinterroger l’énaction à la lumière de son avancée ultérieure – collégiale – chez F. Varela lui-même, dans le cadre de qui a été nommé par lui et ses collaborateurs une “ pragmatics of experiencing” 4.
"L'argent ne fait pas le bonheur" - Ép. 6/4 - L’économie en proverbes Dès ses origines, la littérature économique a très vite été dominée par l'idée selon laquelle les individus feraient preuve de rationalité dans leur choix de consommation ou d'investissements. Reprise par les économistes néo-classiques, la conception théorique d'un Homo œconomicus dont les processus de décisions seraient simplement guidés par la raison et la maximisation des profits semble pourtant s'être invalidée au regard d'une nature humaine emplie d'émotions et de contradictions. Dès le XVIIIème siècle, l'économiste et philosophe libéral Jeremy Bentham apparait comme le précurseur de "l'économie du bonheur", c'est à dire d'un champ d'étude qui prend alors pleinement en compte l'influence des émotions, positives ou négatives, dans la poursuite d'intérêts économiques. Il s'agit d'un élément important qui montre que le modèle de l'individu Homo economicus est trop parfait pour être vrai. Plus on est riche, plus il apparait évident que l'on est heureux. Références sonores
LES GROS CAILLOUX Cette histoire, vous la connaissez probablement car elle est un "best seller" à l'occasion des formations, souvent racontée avec enthousiasme par les formateurs. Pourtant, je vous invite à l'écouter , à la lire avec un regard neuf. En vous mettant dans la peau de ce vieux professeur. Florian Forestier ⋆ Prospéro Né à Bâle (Suisse) en 1981, Florian Forestier est Docteur en philosophie. Après des classes préparatoires de mathématique, d’économie et de philosophie, il a poursuivi la philosophie en maîtrise puis en doctorat. Sa thèse, dirigée par Alexander Schnell, et soutenue en 2011, était consacrée aux fondements spéculatifs de la phénoménologie.