Kémalisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Kémalisme également connu sous le nom d'idéologie Kémaliste est fondé sur les principes d'Atatürk. Il se résume en six principes fondamentaux appelés les six flèches. Six flèches[modifier | modifier le code] Républicanisme[modifier | modifier le code] Les réformes kémalistes représentent une révolution politique : un changement de l'État multinational ottoman en établissement de l'État nation turc, et de la réalisation de l'identité nationale de la Turquie moderne. Populisme[modifier | modifier le code] La révolution kémaliste a également été une révolution de la population. Laïcité[modifier | modifier le code] La laïcité kémaliste n'a pas simplement signifié la fin de l'intrusion de la religion dans les domaines des affaires juridiques, culturelles et éducatives ainsi qu'une séparation; elle a imposé l'indépendance de la domination religieuse et des établissements religieux. Révolutionnarisme[modifier | modifier le code] Réformes kémalistes
Illyrie Illyrie, province romaine. Le mot Illyrie peut désigner, en français : le pays habité dans l'Antiquité par les Illyriens ;plus spécifiquement, un royaume fondé à Shkodër, en Albanie actuelle, en -385, par le roi illyrien Bardylis (-385/-358) ;la province romaine d'Illyrie créée à l'issue des guerres d'Illyrie ;dans le cadre de l'Empire romain, la préfecture prétorienne d'Illyrie (Praefectura praetoriana Illyricum), qui subsiste dans l'Empire romain d'Orient après la division de l'Empire romain en 395 (ὑπαρχία τῶν πραιτωρίων, Ἐπαρχότης Ἰλλυρικοῦ) ;les Provinces illyriennes de l'Empire français (1808-1814). La grande difficulté pour la connaissance de l'histoire des Illyriens réside en l'absence de texte écrit dans la langue illyrienne. Toutes les sources sont issues de la littérature gréco-romaine. Histoire[modifier | modifier le code] En −229, Rome s'aventura pour la première fois à l'est de l'Adriatique. Fiction[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]
Empire byzantin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Empire byzantin Empire romain d'OrientImperium Romanum Orientale (la) Βασιλεία Ῥωμαίων / Basileía Rhōmaíōn (grc) L'Empire byzantin (en violet) et ses vassaux (en rose) à son apogée en 555, durant le règne de Justinien le Grand. Empire byzantin (en grec moderne : Βυζαντινή αυτοκρατορία / Byzantinè[N 1] autokratoría) est le nom donné depuis l'époque moderne par les historiens occidentaux[7], à l’un des deux États issus du partage au IVe siècle de l’Empire romain : l’Empire romain d'Orient (en latin Imperium Romanum Orientale, en grec médiéval Ἀνατολική Βασιλεία Ῥωμαίων / Anatolikè Basileía Rhômaíôn), avec pour capitale Constantinople, anciennement appelée Byzance, et lors de sa fondation Nova Roma (Nouvelle Rome)[réf. nécessaire]. En effet, à la fin du IIIe siècle, l’Empire romain est séparé en deux par Dioclétien et il est définitivement divisé à la mort de Théodose Ier en 395. Histoire de l'Empire byzantin[modifier | modifier le code]
Le traité de Sèvres et l’accord tripartite 6) Le traité de Sèvres et l’accord tripartite Le traité de Sèvres, signé le 10 août 1920, sanctionna les décisions de la Conférence de San Remo. Dès lors, la zone d’influence bleue prévue par les accords de 1916 ne passa pas tout entière sous le mandat français et l’Italie n’obtint aucun mandat en Asie Mineure. L’accord qui consacra ces « intérêts spéciaux » ou « particuliers » est intitulé : « Accord tripartite entre l’Empire britannique, la France et l’Italie relatif à l’Anatolie », et il fut signé le même jour que le traité de Sèvres (10 août 1920). La zone française comprenait la Cilicie et la partie occidentale du Kurdistan limitrophe de la Syrie jusqu’à Djezire-Ibn-Omar. Mandelstam, André.
Kosovo République du Kosovo (sq) Republika e Kosovës (sr-Latn) Republika Kosova Le Kosovo (en albanais : Kosova ou Kosovë, en serbe : Kosovo, Косово), en forme longue, la république du Kosovo (en albanais : Republika e Kosovës, en serbe : Republika Kosovo, Република Косово), également appelé officiellement par les autorités serbes Kosovo-et-Métochie (en serbe : Kosovo i Metohija, serbe : Косово и Метохија)[9], est un territoire au statut contesté situé en Europe du Sud, plus particulièrement dans les Balkans et en ex-Yougoslavie. Sa déclaration d'indépendance le 17 février 2008, avec Pristina comme capitale, est contestée par la Serbie pour qui il s’agit d’une province autonome, et n’est reconnue ni par l’Organisation des Nations unies, ni par l’Union européenne. Dénomination Le terme « Kosovo », en serbe, désigne la vaste plaine constituant la partie orientale du pays telle qu’on le connaît actuellement. Histoire De la Préhistoire à l'Empire romain De l’Empire serbe médiéval à l’Empire byzantin Vin
Empire britannique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’Empire britannique ou Empire colonial britannique était un ensemble territorial composé des dominions, colonies, protectorats, mandats et autres territoires gouvernés ou administrés par le Royaume-Uni. Il trouve son origine dans les comptoirs commerciaux puis les colonies outre-mer établis très progressivement par l'Angleterre, à partir de la fin du XVIe siècle. Elle était la première puissance mondiale[3] à son apogée en 1922, avec un quart de la population mondiale, soit environ 400 millions d'habitants[4] et s'étendait sur 29,8 millions de km² (environ 22 % des terres émergées)[5],[6]. En conséquence, son héritage dans les domaines de la politique, du droit, de la linguistique et de la culture est colossal. La montée en puissance de l'Allemagne et des États-Unis éroda la domination économique britannique vers la fin du XIXe siècle. Origines (1497–1583)[modifier | modifier le code] Le Fort St. Défaite des navires français à Québec en 1759
L'Égypte coloniale, L'accession à l'indépendance • Persistance de l'occupation militaire Le sultan Fu'ād prend le titre de roi, le 15 mars 1922, afin de marquer le nouvel état d'indépendance légale. Le 19 avril, une Constitution est promulguée, remettant le pouvoir exécutif au roi, chef suprême de l'armée, et à ses dix ministres et le pouvoir législatif au Parlement formé du Sénat et de la Chambre des députés. Entre les deux guerres mondiales, le développement des ventes de coton favorise la constitution d'une épargne dans un groupe social hétérogène formé de commerçants, de propriétaires terriens et de représentants des professions libérales. En 1920, certains d'entre eux fondent la banque Misr, drainant les capitaux locaux et constituant une nouvelle bourgeoisie de la finance. Cette nouvelle bourgeoisie est représentée par le parti du Wafd, dont le chef prestigieux, Zaghlūl, était devenu Premier ministre dès l'indépendance en 1923. Le règne du roi Fu'ād sera désormais marqué par sa lutte contre le Wafd qui lui dispute le pouvoir.
Guerre du Kosovo Usine d'armement de Zastava après un bombardement. Civils : 11 609 morts (dont 8 676 Albanais, 2 488 Serbes et 445 Roms et autres)[4],[5] Total : 13 535 morts[4],[5],[6] Guerres de Yougoslavie Batailles Košare La guerre du Kosovo, une des guerres de Yougoslavie, a eu lieu du 6 mars 1998 au 10 juin 1999, sur le territoire de la république fédérale de Yougoslavie, opposant l'armée yougoslave à l'Armée de libération du Kosovo (UÇK). L'UÇK, formée au début des années 1990 pour lutter contre la persécution serbe des Albanais du Kosovo, a commencé sa première campagne en 1995 lorsqu'elle a lancé des attaques contre les forces de l'ordre serbes au Kosovo. Après l'échec des tentatives de solution diplomatique (en France : Xhevat Bislimi), l'OTAN intervient militairement, principalement sous la forme d'une campagne de bombardements de la Serbie, justifiant la campagne au Kosovo comme une « guerre humanitaire ». Origine des revendications nationalistes[modifier | modifier le code]
Empire allemand Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Reich allemandDeutsches Reich (de) Carte du Reich allemand sous l’Empire L’Empire fédéral allemand est un régime politique fondé le dans la galerie des Glaces du château de Versailles après la défaite française lors de la guerre franco-prussienne de 1870. Il prend fin le , deux jours avant l'armistice qui met fin à la Première Guerre mondiale, par l'abdication de l’empereur Guillaume II et la proclamation de la république de Weimar. L'Empire allemand est parfois appelé le « Deuxième Reich »[1],[2],[3], dénomination sans doute politisée, succédant au Saint-Empire romain germanique et précédant le « Troisième Reich ». Histoire[modifier | modifier le code] La période de fondation[modifier | modifier le code] L'Empire allemand résulte d'une extension de la Confédération de l'Allemagne du Nord et de son changement de dénomination. Ces traités sont : La période wilhelmienne[modifier | modifier le code] La chute de l’Empire[modifier | modifier le code]
Accords Sykes-Picot En 1915, en même temps que des négociations sont entamées entre le chérif Hussein de La Mecque et la Grande-Bretagne, cette dernière négocie avec la France le partage des provinces arabes de l’Empire ottoman. Les négociations commencent en novembre 1915 et sont menées par François Georges-Picot, ancien consul de France à Beyrouth et délégué à l’ambassade de France à Londres, et par sir Mark Sykes, parlementaire britannique et spécialiste de l’Empire ottoman. Pour la France, les négociations portent sur la Syrie naturelle, territoire s’étendant de la Cilicie au Sinaï, et du littoral méditerranéen à Mossoul. Négociés par Sykes et Georges-Picot, les accords qui portent leurs noms font l’objet d’un échange de lettre entre l’ambassadeur de France à Londres Paul Cambon et le ministre britannique des Affaires étrangères sir Edward Grey. Bibliographie