Save Social Security from Trump's Sabotage Donald Trump has a new scheme to cut Social Security, and it is up to us to expose his false populism. Ever since seizing office, Trump and his cronies joined the long-running Republican attack on Social Security that one advocate describes as "death by a thousand cuts."1 Now, the Trump Social Security Administration is planning a new fee for replacing a Social Security card that amounts to yet another cut to our earned benefits.2 Paying to access benefits we already earned is nothing more than a cut – one that hurts women the most, since they disproportionately request new cards, usually upon marriage. Tell the Social Security Administration: Stop helping Trump undermine the Social Security system. Trump's latest budget would cut our earned Social Security, Medicaid, and Medicare benefits despite his false promises.3 Trump's repeated claim that he would not cut earned benefits set him apart from other Republicans during the campaign, and helped him win over some skeptics. References:
La Commission européenne prévoit de multiplier par 22 ses financements à l’industrie de l’armement Les nouveaux députés européens auront la responsabilité de se prononcer sur une augmentation sans précédent des subventions européennes à l’industrie de l’armement. La Commission souhaite consacrer 13 milliards d’euros jusqu’à 2027 pour financer des technologies militaires « de rupture ». Cette politique pose de nombreuses questions sur les exportations futures de ces armes vers les zones de conflit et sur le respect des engagements internationaux de l’Union et de ses Etats membres. Les industries de l’armement ne se sont jamais aussi bien portées en Europe. Le « Fonds européen pour la défense » pourrait être multiplié par 22 pour la période 2021-2027, pour atteindre 13 milliards d’euros. Et ce, malgré les scandales liés aux exportations d’armes européennes vers des zones de conflits, comme le Yémen. Une victoire des lobbies de l’armement Cette multiplication par 22 du budget est en partie liée aux pressions des lobbies des industries de l’armement. Eléonore Hughes
Lobbying : comment l’industrie pharmaceutique prend d’« assaut » les institutions européennes Des médicaments trop onéreux qui mettent en péril les systèmes de sécurité sociale : c’est le constat qui a conduit le Conseil européen, en 2016, a demandé de revoir la régulation du marché européen des médicaments. Mais, comme trop souvent avec les institutions européennes, ces velléités de réforme se sont rapidement heurtées aux puissants lobbys de l’industrie pharmaceutique. Un nouveau rapport de l’ONG bruxelloise CEO décrit avec minutie les stratégies d’influence des grands labos pour défendre leurs profits. Des rencontres avec des commissaires européens, des lettres envoyées aux décideurs, une campagne grand public, des scientifiques liés aux entreprises… Un rapport de l’ONG bruxelloise CEO, paru le 10 mai dernier, documente avec minutie le lobbying de l’industrie pharmaceutique auprès des institutions européennes. A la hauteur des moyens déployés par les entreprises du médicament pour garantir leurs énormes profits (lire notre article publié dans les Pharma Papers). Simon Gouin
La fonction tribunienne du PC La question que posait autrefois le politologue Georges Lavau au Parti communiste français est à nouveau d'actualité. La réponse dépend de ce que l'on attend d'un parti politique. Si l'on adopte un point de vue interne et étroit, un parti n'est qu'une organisation ayant pour but la conquête du pouvoir. Le PC, comme tous les autres, cherche avant tout à survivre, à protéger ses élus et militants, à renforcer ses positions, à conquérir de nouvelles ressources. PHOTO: Robert Hue.
« L’utilisation d’armes chimiques montre que le maintien de l’ordre on est totalement dépassé et plus du tout dans du rationnel » Crédit Photo : Facebook Samuel Alexander Alexander Samuel a réalisé une enquête scientifique sur les gaz utilisés dans les manifestations et dénoncé leur nocivité. Avec ce qui s’est passé sur le mouvement des Gilets Jaunes, tu as essayé de faire des recherches, entre autres, sur les gaz lacrymogènes. Est-ce que tu peux nous parler un peu du résultat de tes recherches ? Je ne suis plus chercheur officiellement puisque je suis enseignant. J’ai un doctorat en biologie et j’ai bossé au CNRS. J’ai arrêté la recherche pour avoir un peu plus de libertés. Je n’ai pas fait que de la recherche. Qu’est-ce que tu as trouvé en particulier ? Ce n’est pas moi qui l’ai porté en premier. On a dit « les analyses sur le thiocyanate n’ont aucune valeur, il y a du cyanure à faible dose ». Qu’est-ce que tu en conclues par rapport à la politique de l’État aujourd’hui ? Je pense que l’État a perdu toute responsabilité au niveau de sa gestion d’un maintien de l’ordre, qui est très violent.
Européennes. Six raisons de ne pas se laisser voler l’élection D’ici à dimanche, 427 millions de personnes sont appelées aux urnes pour renouveler leurs représentants au Parlement européen. Une élection qui intéresse peu, mais qui aura pourtant des conséquences concrètes sur la vie quotidienne. En France, plus d’un électeur sur deux qui compte se déplacer entend « sanctionner » Emmanuel Macron. Le chef de l’État, affaibli depuis novembre et la traduction par les gilets jaunes de la crise sociale qui couve, veut éviter que ce scrutin ne se transforme en référendum et ne compromette ainsi la fin de son quinquennat. Tournant - Redonner des couleurs à l’Europe sociale L’Union européenne est au pied du mur. Colère sociale - Des ronds-points aux bulletins L’abstention pourrait atteindre, dimanche, un nouveau record, notamment chez les classes populaires.
STOP au lobby des pesticides en Europe ! – Agir pour l'Environnement Le rôle des partis politiques dans le choix des candidats à l'élection présidentielle - L'élection présidentielle française de 2012 « Les partis se sont présidentialisés, ce qui veut dire qu'ils vivent de plus en plus en fonction de ce grand rendez-vous et que leur leader est en position forte pour être désigné comme candidat présidentiel. (…) D'une part, le candidat qui veut être élu doit rassembler au premier tour le noyau dur de ses partisans puis, au second tour, un électorat nettement plus large que celui de son parti, il doit donc penser à des propositions susceptibles d'attirer au-delà de son cœur de cible. (…) La "monarchie républicaine" qui s'est mise en place depuis cinquante ans n'a cependant pas abouti à laminer les partis politiques. Ceux-ci se sont au contraire plutôt renforcés et transformés en machines électorales, au service de leur leader. » (Pierre Bréchon, "La revanche des partis", in "La Constitution de la Ve République, réflexions pour un cinquantenaire", Les Etudes de la Documentation française, 2008, épuisé). De 2007 à 2012, les partis en campagne Photo Jean-Pierre Muller © AFP Agrandir l'image