Écofascisme L'écofascisme ou écototalitarisme est un régime autoritaire d'inspiration fasciste mis en place pour préserver l'environnement ou dans lequel la protection de l'environnement justifie l'emploi de méthodes autoritaires. Cette désignation relève pour lors du domaine d'une conjecture théorique, puisqu'un tel régime n'a encore jamais vu le jour, et n'a jamais constitué un programme politique officiel. Si certains activistes d'extrême droite ont pu s'approprier des discours écologistes, le terme demeure essentiellement utilisé comme insulte, aucun parti politique significatif ne se réclamant de cette idéologie. Usages[modifier | modifier le code] Cette expression peut avoir plusieurs usages très différents[1] : Dans l'Allemagne du début du XXe siècle[modifier | modifier le code] L'Allemagne hitlérienne a cependant rapidement délaissé sa doctrine écologiste à la fin des années 1930 pour se tourner vers le productivisme et l'industrie lourde. Il ajoute : La Deep ecology[modifier | modifier le code]
Indifférentisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’indifférentisme est une attitude d'indifférenciation envers les doctrines religieuses, philosophiques ou éthiques. Elle se caractérise par une indécision permanente et volontaire, qui consiste à laisser une question ouverte par manque d'intérêt. En philosophie, il s'agit d'une liberté de ne pas choisir qui s'oppose au déterminisme. En religion, notamment dans l'acception que lui donne l'Église catholique, il s'agit de l'idée que l'on peut faire son salut dans toutes les religions, sans tenir compte des croyances et des dogmes, et dont l'origine se situe dans l'indifférence spirituelle. Indifférentisme philosophique[modifier | modifier le code] Pour Leibniz, l'indifférentisme est une liberté d'indifférence[1] selon laquelle, « rien ne nous nécessite pour l'un ou l'autre parti »[2]. Pour Kant, il s'agit de l'indifférence volontaire aux questions métaphysiques. Indifférentisme religieux[modifier | modifier le code]
Un mouvement écolo radical se déclare officiellement “en rébellion” en France Ce dimanche 24 mars, le mouvement Extinction Rebellion France s'est officiellement déclaré en rébellion contre l'extinction du vivant. Sa stratégie : la désobéissance civile non violente. Pour eux, les marches pour le climat, les grèves scolaires et étudiantes le vendredi, et la pétition “L'Affaire du siècle” signée par plus de deux millions de personnes ne suffisent pas. >> A lire aussi : [Dossier] Génération climat : l'avenir leur appartient “Je cherchais quelque chose de plus coup de poing, et j'ai trouvé” Dans la petite foule chauffée à blanc par l'Orchestre debout (souvenir de Nuit debout), des “rebelles” venus de tout le pays se retrouvent pour la première fois. L'association, dont l'emblème est un sablier noir symbolisant l'urgence dans un rond représentant la Terre, s'est fait connaître par une action spectaculaire : en novembre dernier, 6000 rebelles anglais ont bloqué les ponts de Londres en chantant “Ne doute pas qu’un petit groupe de gens puisse changer le monde”.
Philon d'Alexandrie Portrait de Philon d'Alexandrie selon André Thevet (Les vrais pourtraits et vies des hommes illustres grecz, latins et payens, 1584) Dans son œuvre, Philon interprète la Bible à travers la philosophie grecque principalement à l'aide de Platon et des stoïciens. Il en résultera dans les siècles qui suivront non pas une soumission de la théologie à la philosophie, mais au contraire de la philosophie aux Écritures. Si la pensée de Philon imprègne les Pères de l'Église, dont Origène, Ambroise de Milan et Augustin d'Hippone, son influence est faible sur la tradition juive, notamment sur la tradition rabbinique qui prendra naissance un ou deux siècles après sa mort. Cela tient pour partie au fait qu'il utilise la Septante (Bible traduite en grec) plutôt qu'une Bible en hébreu, et pour partie au fait qu'il interprète la Torah de façon allégorique. Son œuvre donne aussi des indications sur des mouvements religieux aujourd'hui disparus comme les Thérapeutes d'Alexandrie. Philon naît en 20 av.
Oubliez les douches courtes ! Derrick Jensen (né le 19 décembre 1960) est un écrivain et activiste écologique américain, partisan du sabotage environnemental, vivant en Californie. Il a publié plusieurs livres très critiques à l’égard de la société contemporaine et de ses valeurs culturelles, parmi lesquels The Culture of Make Believe (2002) Endgame Vol1&2 (2006) et A Language Older Than Words (2000). Il est un des membres fondateurs de Deep Green Resistance. Plus de renseignements sur l’organisation Deep Green Resistance et leurs analyses dans cet excellent documentaire qu’est END:CIV, disponible en version originale sous-titrée français en cliquant ici. Article source: Une partie du problème vient de ce que nous avons été victimes d’une campagne de désorientation systématique. Ou bien parlons de l’eau. Ou bien parlons de l’énergie. Ou bien parlons des déchets. Soyons clairs. La bonne nouvelle, c’est qu’il y a d’autres options. Derrick Jensen
Polémologie La polémologie (littéralement « science de la guerre », du grec ancien polemos, « guerre », et logos, « étude ») est une branche de la théorie des relations internationales mettant l'accent sur la compréhension des conflits, de leur origine et de leur fonctionnement. Le terme français, qui en fait une discipline distincte de l'irénologie (alors que l'anglais tend à fusionner les peace and conflict studies), provient du sociologue Gaston Bouthoul (1896-1980) qui utilisa ce terme après la Seconde Guerre mondiale pour proposer un nouveau champ d'investigation[1]. Fondements et développement[modifier | modifier le code] Les chercheurs de l’Institut français de polémologie, créé par Gaston Bouthoul et la journaliste et écrivain Louise Weiss, et ceux des revues Guerres et paix dès la fin des années 60, puis Études polémologiques se sont efforcés de dresser des tableaux de fréquence du « phénomène guerre », et de mettre au point de véritables baromètres des violences collectives.
« La désobéissance augmentera tant que la réponse politique sera inexistante » Yann Le Lann est maître de conférences en sociologie à l’université de Lille et coordinateur de Quantité critique. Depuis un an, ce collectif étudie le profil des manifestants qui se joignent aux marches pour le climat pour mieux comprendre les ressorts de ces mobilisations qui rassemblent de plus en plus de monde. Radicalité «Dans le mouvement écologiste, elle renvoie à des dimensions très diverses : celle des actions que l’on soutient, de sa pratique au quotidien ou des changements politiques que l’on espère. Système et initiatives individuelles «La nécessité d’une transition écologiste en rupture avec le mode de fonctionnement capitaliste est majoritaire dans l’ensemble des mobilisations que l’on a pu étudier depuis un an. Nouvelles formes de mobilisation Jeunes «Les radicalités se ressemblent beaucoup entre les différentes générations. Nelly Didelot Yann Le Lann est maître de conférences en sociologie à l’université de Lille et coordinateur de Quantité critique. Radicalité Jeunes
Différentialisme Le différentialisme considère qu'il existe une différence de nature entre des groupes : de sexes, de races, de peuple, d'espèces (spécisme), etc. De cette présupposition découle la considération et le traitement des êtres d'abord en fonction de leur appartenance (réelle ou supposée) à un groupe et non en fonction de leurs traits individuels et avérés. Le mot désigne communément deux mouvements de pensée. Selon Pierre Tevanian, dans La Mécanique raciste (page 13), « Ce terme désigne toutes les idéologies qui se fondent sur des différences réelles ou imaginaires pour justifier une différence dans les droits reconnus aux uns et aux autres. L'ethno-différentialisme[modifier | modifier le code] Il est décrit dans la page qui lui est consacrée : ethno-différentialisme. Le féminisme différentialiste[modifier | modifier le code] « Les féministes différentialistes postulent une différence de nature entre le masculin et le féminin[1]. » « L'égalité dans la différence »[modifier | modifier le code]
Climat, justice et politique : on ne peut même plus dire n’importe quoi ! Par Michel Gay et Jean-Pierre Riou. Repris de l’interview de Jean-Pierre Riou dans Atlantico Le 25 juin 2019, le tribunal de Montreuil (Seine-Saint-Denis) a reconnu l’inaction de l’État, visé pour « carence fautive » dans la lutte contre la pollution de l’air en Île-de- France. Ainsi, il pourrait aussi être reproché à l’État le non-respect de ses promesses politiques inscrites dans la loi, même si elles se révèlent intenables (abandon partiel du nucléaire, de la voiture thermique sans alternative crédible…). Un cadre contraignant Le Cadre européen pour le climat et l’énergie à horizon 2030 impose l’objectif contraignant de réduire les émissions de CO2 de 40 % par rapport à 1990. Or, étrangement, la France a choisi de mobiliser la plus grosse part de l’investissement public de sa Stratégie nationale bas carbone (SNBC) dans la restructuration de sa production d’électricité pourtant déjà décarbonée. Où est la cohérence ? Le politique et la loi… La gestion du risque Raisonnement et sensibilisation
Ethno-différencialisme L’ethno-différencialisme (ou différencialisme ou ethno-pluralisme[1]), appelé aussi néo-racisme ou racisme différentialiste[2], est un modèle hypothétique d'extrême droite et néofasciste selon lequel des régions indépendantes divisées par ethnies devraient être établies[3],[4]. Le concept a été théorisé par la Nouvelle Droite, courant issu du GRECE. Antithèse de l'universalisme qui s'oppose aux différences et aux particularismes, il prône la reconnaissance d'un héritage culturel propre à chaque ethnie qui mérite d'être reconnu et préservé par les institutions politiques. Définition[modifier | modifier le code] Le but de cette théorie est d'identifier chaque ethnie, dans un territoire géographique déterminé, à un peuple qui ne serait pas « ethniquement pur », mais dont la continuité ethnique serait préservée présentant ainsi une vision historique relativement figée des sociétés. Avis sur ce courant de pensée[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code]
Faisons groover Aurélien Barrau Ce weekend marque la fin du printemps et la fête de la musique. Pour fêter l’arrivée de l’été, faisons groover les mots d’Aurélien Barrau ! Pop culture et urgence climatique La musique comme porte-parole des préoccupations climatiques : c’est justement une tendance de ces derniers mois, qui ne risque pas de se tarir. Bien sûr, les artistes n’ont pas attendu 2020 pour s’emparer de l’écologie. Mais il semble que ce mouvement connaisse aujourd’hui un renouveau, à au moins deux égards : 1 – Sur le fond, une attention croissante est portée plus spécifiquement au dérèglement climatique plutôt qu’à « l’environnement » en général (ou à d’autres causes spécifiques comme la pollution). Il est donc logique que la sphère musicale, et artistique en général, suive un mouvement similaire. C’est bien ce qu’il semble commencer à se produire. Pas d’engagements véritables sans clivage Les mesures consensuelles ne peuvent plus être les priorités Dès lors,