Tiers inclus
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La notion de Tiers inclus est propre à la Logique dynamique du Contradictoire de Stéphane Lupasco. Elle désigne le moment logique de la contradiction maximale ou, de façon immédiate, l'état le plus contradictoire de la matière-énergie (état T) : ce qui est en soi contradictoire. Lupasco interprète avec cette notion le vide quantique et les états neuronaux qui rendent compte du psychisme. Tiers exclu ou Tiers inclus[modifier | modifier le code] Le Tiers inclus s'oppose au principe du tiers exclu de la logique "classique": dans une logique à deux valeurs (vrai ou faux), deux propositions contradictoires (p et ¬p) ne peuvent être vraies ensemble, mais elles ne peuvent non plus être fausses ensemble. La logique dynamique du contradictoire ne s'occupe pas particulièrement de propositions, susceptibles d'être vraies ou fausses, bien qu'elle puisse s'appliquer aussi à ce problème. Tiers inclus et complexité[modifier | modifier le code]
SYSTEMIQUE et COMPLEXITE
Comprendre l'économie par l'analyse systèmique: La théorie des systèmes appliquée à l'économie La synthèse la plus brillante est celle de Chris Freeman et de Francisco Louçà "As Time Goes By". Je renvoie le lecteur à mon cours de management public. Mais le père de la systémique comme explication du moteur du développement des sociétés est sans aucun doute Adam Smith, (Darwin l'avait lu, ainsi que Malthus, pour formuler sa théorie de l'évolution) comme le montre brillament la thèse de Michaël Biziou , "Adam Smith et l'origine du libéralisme" . D'après Schumpeter (Histoire de l'analyse économique), Smith n'a pas inventé ni découvert grand'chose, sa contribution a surtout été d'être un professeur qui a formé des professeurs et unifié un corps de doctrine préexistant. Comment les technologies évoluent-elles ? Pourquoi certaines nations savent-elles mieux tirer profit des opportunités qu'offre la technologie? Richesse et pauvreté des nations. Une nouvelle
Complexité
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Illustration métaphorique de la complexité. Les objets (tuyaux) intègrent de nombreux facteurs (taille, diamètre, situation, interconnexion, robinets, ...), ce qui rend la compréhension ardue. La complexité est une notion utilisée en philosophie, épistémologie (par exemple par Anthony Wilden ou Edgar Morin), en physique, en biologie (par exemple par Henri Atlan), en écologie[1], en sociologie, en informatique ou en sciences de l’information. La définition connaît des nuances importantes selon ces différents domaines. La complexité du point de vue de la théorie de l’information[modifier | modifier le code] Une notion de complexité est définie en Théorie algorithmique de l'information. Complexité algorithmique[modifier | modifier le code] La théorie de la complexité des algorithmes étudie formellement la difficulté intrinsèque des problèmes algorithmiques. Complexité de Kolmogorov[modifier | modifier le code] Système complexe. Portail de la physique
Approche systémique
L’approche systémique parfois nommée analyse systémique est un champ interdisciplinaire relatif à l'étude d'objets dans leur complexité. Pour tenter d'appréhender cet objet d'étude dans son environnement, dans son fonctionnement, dans ses mécanismes, dans ce qui n'apparait pas en faisant la somme de ses parties, cette démarche vise par exemple à identifier : la « finalité » du système (téléologie),les niveaux d'organisation,les états stables possibles,les échanges entre les parties,les facteurs d'équilibre et de déséquilibreles boucles logiques et leur dynamique, etc. Le plus souvent les principes sont utilisés sans être nommés, voire sans être identifiés. Les terminologies « approche systémique » et « analyse systémique » sont donc employées plus couramment dans certains domaines d'application que dans d'autres, pour y faire expressément référence, mais il existe bien une unité dont on peut identifier les articulations historiques[1]. Histoire[modifier | modifier le code] m:systemes
Mème
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l'article concernant les phénomènes Internet, voir Mème Internet. Un mème (de l'anglais meme ; calqué sur gène, sans rapport et à ne pas confondre avec le français même) est un élément culturel reconnaissable répliqué et transmis par l'imitation du comportement d'un individu par d'autres individus. L'Oxford English Dictionary définit le meme comme « un élément d'une culture (prise ici au sens de civilisation) pouvant être considéré comme transmis par des moyens non génétiques, en particulier par l'imitation »[1]. L'étude des mèmes a donné naissance à un nouveau discours : la mémétique. Définition[modifier | modifier le code] Mème et mémétique sont analogues à gène et génétique, appliqués aux éléments des cultures et non aux individus biologiques. On parle par exemple de « communication virale » (William Seward Burroughs) pour la diffusion de bouche-à-oreille d'information et de concepts. Voir aussi[modifier | modifier le code]
Le village systémique
Pensée visuelle
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] L'histoire de la psychologie comprend toute une série de travaux sur cette question. Ils se sont intéressés à cette forme de pensée depuis les aspects les plus fréquents aux plus anormaux ou extrêmes, dans l'autisme par exemple. Il est ainsi possible de citer, entre autres : le travail de Binet sur les approches différentes qu'ont les enfants à propos d'un objet à décrire ;le travail de Piéron à propos du calculateur prodige Jacques Inaudi qui se servait d'images pour résoudre des problèmes numériques ;les recherches sur la mémoire eidétique ou « photographique » et les techniques mnémotechniques anciennes s'appuyant sur des images ;le travail de différenciation des caractéristiques de la « pensée auditive » et de la « pensée visuelle » par Antoine de la Garanderie. Des troubles divers ont ainsi été décrits par des personnes atteintes : Imaginez un dessinateur qui caricature l'un de vos proches.
Pensée verbale
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La pensée verbale, pensée linguistique ou réflexion indexée désigne la pensée à travers le langage, par opposition à la pensée visuelle. Encore à l'étude, le principe n'est pas universellement accepté, et les termes ci-dessus sont des traductions littérales de l'anglais et du néerlandais. Origine[modifier | modifier le code] Étant accepté comme une logique naturelle, il n'a pas semblé nécessaire de la nommer jusqu'à ce qu'apparaisse l'idée d'une autre forme de pensée, la pensée visuelle, dans un premier temps uniquement à travers des pathologies. Différenciation[modifier | modifier le code] La pensée verbale, comme le langage, possède deux dimensions. Les penseurs verbaux[modifier | modifier le code] C'est par déduction par rapport aux penseurs visuels que l'on peut les définir. Bien qu'il n'y ait pas de preuve quant au rapport physique, on peut imaginer la pensée comme le résultat de la somme du travail des deux hémisphères cérébraux.
Pensée complexe
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce concept exprime une forme de pensée acceptant les imbrications de chaque domaine de la pensée et la transdisciplinarité. Le terme de complexité est pris au sens de son étymologie « complexus » qui signifie « ce qui est tissé ensemble » dans un enchevêtrement d'entrelacements (plexus). Définition d'Edgar Morin[modifier | modifier le code] Nuage de tags « complexe » « Quand je parle de complexité, je me réfère au sens latin élémentaire du mot "complexus", "ce qui est tissé ensemble". Principes[modifier | modifier le code] Il convient davantage de parler de pensée complexe que de « pensée critique », puisque la pensée complexe englobe les trois modes de pensée : critique, créative et responsable. Principes sous-jacents[modifier | modifier le code] Edgar Morin invite à réformer la pensée et à entrer dans un paradigme de complexité ou encore à se doter d'une épistémologie complexe. [réf. nécessaire] Le tiers inclus[modifier | modifier le code]