Comment rendre un portail de bibliothèque accessible à tous? L’an passé, Tosca consultants et pixFL ont conduit une étude de l’accessibilité numérique de 133 portails de bibliothèques aboutissant à un constat sans nuance : aucune de ces bibliothèques ne s’est mise en conformité avec les exigences du RGAA (référentiel général d’accessibilité de l’administration) et cela malgré le caractère obligatoire de l’application de ce référentiel. Ainsi bon nombre de personnes en situation de handicap (déficients visuels, dyslexiques, personnes à mobilité réduite…) vont rencontrer d’importantes difficultés pour consulter le portail de leur bibliothèque. Cette étude a également permis d’identifier les principaux points d’amélioration des sites de bibliothèque. Enfin, elle a révélé une relative méconnaissance des démarches à mettre en œuvre pour disposer d’un portail accessible : les bibliothèques ne savent pas trop comment s’y prendre. 1. Les 5 conditions d’accessibilité numérique d’un portail de bibliothèque Une charte graphique accessible. 2. 3.
PriceSniper : Comparez les prix sans interrompre votre shopping ! — Price Sniper Analyses de fond et études Médiamétrie sur les usages et l'audience des médias auduiovisuels et interactifs, ainsi que les comportements du public à leur égard Les jeunes transmettent à leurs aînés leur maîtrise du digital Les 15-24 ans ne se servent pas de leur smartphone, de leur ordinateur ou de leur tablette uniquement pour communiquer entre eux. Dans leur quasi-totalité, ils les utilisent aussi pour communiquer avec leurs parents ou leurs grands-parents. Leur motivation est notamment d’éviter de recevoir des appels (85% le disent) aussi bien que le plaisir de faire un clin d’oeil (71%), voire de s’amuser (54%). En côtoyant les jeunes à l’aise avec les technologies digitales, bon nombre de parents ou de grands-parents ont eu l’occasion de s’en apercevoir : ils aident volontiers leurs aînés à surmonter les difficultés face à la nouveauté et à la complexité parfois du numérique. 90% des jeunes apportent ainsi une aide digitale, à leur famille d’abord, mais à l’extérieur largement aussi. Les modes de consommation médias diffèrent d’une génération à une autre, surtout chez les 15-24 ans. Le smartphone, l’outil multitâches indispensable
Boîte à outils pour protéger la vie privée sur son smartphone Ce n’est plus un secret pour personne, nos données personnelles sont de plus en plus exposées quand nous surfons sur Internet. Le développement majeur des smartphones contribue à accentuer le risque d’exploitation de nos précieuses données. Heureusement, tout cela n’est pas inéluctable et il existe des stratégies pour limiter l’exploitation de données personnelles et l’irruption dans notre vie privée des GAFAM mais aussi des pouvoirs publics. Des bibliothécaires américains ont rapidement compris que les bibliothèques avaient un rôle à jouer pour sensibiliser les usagers à ces questions et accroître leurs compétences en littératie numérique. A ce titre on peut citer, le Library Freedom Project dont j’ai déjà parlé. Alison Macrina du LFP a publié un Mobile Privacy Toolkit pour aider à protéger sa vie privée en utilisant un smartphone.
Etude Ipsos : les jeunes, Internet et les réseaux sociaux L’institut Ipsos a réalisé une étude pour mieux cerner l’usage des nouvelles technologies par les jeunes de moins de 19 ans. Le constat est sans appel : l’hyper-connexion des jeunes s’intensifie. 13h30 par semaine sur Internet pour les 13-19 ans Les adolescents (13-19 ans) passent en moyenne 13h30 par semaine sur Internet en 2015, contre 12h20 en 2012. Cette augmentation est également décelée chez les plus jeunes : 5h30 pour les 7-12 ans contre 4h50 en 2012, et même 3h40 contre 2h10 en 2012 pour les enfants de 1 à 6 ans. Les enfants de plus en plus équipés Malgré l’augmentation de la taille des écrans de smartphones, les tablettes ont toujours la cote dans les foyers qui accueillent des enfants. Du côté des autres appareils, les 13-19 ans sont particulièrement mieux lotis que les plus jeunes pour le smartphone (68% vs. 12%), la télévision (41% vs. 17%) et l’ordinateur (73% vs. 20%). Les 13-19 ans sur les réseaux sociaux Étude Ipsos Junior Connect 2015
[APP][5.0+] Rootless Pixel 2 Launcher with G… Rootless Pixel 2 launcher for Android N & O The Pixel 2 Launcher was released not long ago. But some features only work when installed as a system app so I decided to make this. Features - Enable google now and weather without installing as a system app - Enable notification badges for M & N - Add pull down to open notifications drawer - Fix blue folders on Xperia devices - Change accent color to Pixel blue - Add circle icon shape for Nexus on stock O - Dark theme Here's a little video of it in action. Install How to install? Download - Pixel 2 Launcher modded v2.0.apk [mirror] Changelog Code: Known bugs - Date not showing on L and M - Grey Google logo is not a bug - White gradient is not a bug FAQ Q: Notification badges is not working A: Read the instructions here. Q: It's crashing for me A: Attach a logcat when reporting issues or it will be ignored. Q: Weather/At A Glance not working A: Make sure your Google app is the latest version and installed as a system app then try this.
L’usage des médias sociaux chez les jeunes : les deux côtés de la médaille Utiliser les médias sociaux représente l’une des activités les plus courantes chez les jeunes d’aujourd’hui. Un récent sondage mené aux États-Unis démontre que 51 % des adolescents se connectent à leur réseau social favori au moins une fois par jour et que 22 % des jeunes le font plus de 10 fois quotidiennement (Common Sense Media, 2009). Les sites comme Facebook, YouTube ou Twitter, qui se sont développés à grande vitesse au cours des dernières années, s’avèrent hautement populaires auprès des jeunes, notamment parce qu’ils leur offrent l’opportunité de se divertir, mais également de communiquer entre eux (O’Keeffe et Clarke-Pearson, 2011). Il demeure cependant essentiel que les jeunes sachent en faire une utilisation saine et appropriée, sans quoi, certains problèmes pourraient survenir. Un rapport clinique paru dans la revue américaine Pediatrics (2011) met en perspective les différents impacts des médias sociaux sur les enfants, les adolescents et les familles. Vie privée Références
Outils de veille : catalogue de solutions gratuites ou peu coûteuses Je souhaitais revenir dans cet article sur le document slideshares Outils de veille. Ce document a été beaucoup partagé sur les médias sociaux mais la durée de l’information y est tellement éphémère qu’il se pourrait que vous soyez passés à côté. Or c’est une mine d’informations utiles. Ce document est l’œuvre de Raphaël Rey, Assistant d’enseignement à la Haute Ecole de Gestion de Genève (HEG). Raphaël Rey dresse un inventaire de solutions de veilles gratuites ou peu coûteuses dans un plan de classement de neuf rubriques : agrégateurs de flux RSS, agents d’alerte, agents de surveillance, outils de bookmarking et de capitalisation, outils de curation et de diffusion, plateformes multifonctionnelles, services d’automatisation, outils de visualisation et de traitement des données. L’ensemble de l’étude fait 47 pages/écrans. A la fin des trois plus grosses rubriques, un tableau récapitulatif permet de comparer les différents outils selon les critères de sélection étudiés.
Site littérature jeunesse de Lille 3 Réseaux sociaux :: Jeunes et médias Férus de réseaux sociaux comme Facebook, Instagram, Snapchat, Google+, Netlog, Twitter, Tumblr, Pinterest, Flickr, etc., les jeunes y consacrent beaucoup de temps.80 % d’entre eux se rendent sur les réseaux sociaux tous les jours ou plusieurs fois par semaine (étude JAMES 2016). Les réseaux sociaux appartiennent à la génération du Web 2.0. Autrement dit, à la différence de l’Internet traditionnel, l’utilisateur n’est pas seulement consommateur, mais aussi acteur, puisqu’il crée du contenu (textes, vidéos ou photos). 94 % des jeunes ont un profil Les réseaux sociaux sont particulièrement appréciés parce qu’ils permettent de nouer des contacts aux quatre coins de la planète, de trouver des personnes partageant ses intérêts et de communiquer avec elles en temps réel.
Ados, nés sous une belle toile L’avènement d’Internet et la propagation des mobiles n’ont pas seulement musclé les pouces et permis à de nouveaux mots –ou embryons de mots– de parsemer les conversations de la jeunesse («lol», «mdr» et autres «hashtag»). Les moins de 18 ans ont muté en arborescence humaine, capable de surfer simultanément sur leur portable ou leur tablette tout en changeant les chaînes de la télévision (le multitasking), embrassant avec toujours plus d’aisance les dernières technologies, mettant chaque jour un peu plus à l’amende leurs chers parents. Dans les sociétés industrialisées, le portable est désormais et, dès le plus jeune âge, un prolongement de soi, le premier objet vers lequel on se tourne en se réveillant et le dernier qu’on explore avant de rejoindre Morphée. Beaucoup ont d’abord perçu cet attachement au Net et à tout ce qui lui est connecté, comme un danger potentiel, pointant la vanité des réseaux, l’addiction qu’ils créeraient, l’égocentrisme de la nouvelle génération. Moins de télé
Littérature jeunesse et bibliothèque : ressources pour le médiateur