Notre affaire a tous – Agir pour la justice climatique Les peuples autochtones portent la parole d'une nature et d'un climat menacés au Bourget Le mode de vie des peuples indigènes est menacé par le changement climatique, mais aussi par les mesures mises en œuvre par les gouvernements pour réduire leur empreinte carbone. Ils veulent que leur rôle soit mieux reconnu dans l'accord. 09 décembre 2015 "Nous voulons que les dirigeants veillent à ce que survive notre terre mère", interpelle Felix Santi, représentant du peuple Quechua (Amazonie), présent à Paris, pour la COP 21. Mais les peuples autochtones sont aussi, et surtout, là pour que leur rôle soit reconnu dans la lutte contre le changement climatique. Leur crainte : que les gouvernements nationaux, sous couvert de lutter contre le changement climatique, mettent en péril leurs communautés : "Il y a encore des politiques nationales qui restreignent notre utilisation des terres et nous criminalisent. Remettre au cœur de l'accord la question des droits humains Et ce combat n'est pas gagné. Les peuples autochtones associés à l'adaptation
Réchauffement climatique : l'Etat français traîné devant la justice ? Marie Toussaint, la présidente de "Notre Affaire à tous", le reconnaît : C'est une démarche très culottée." C'est le moins que l'on puisse dire ! Cette ONG écolo créée en août 2015 par des militants proche d'EELV (dont le conseiller régional Julien Bayou) entend en effet obliger l'Etat français à mettre en œuvre une politique plus ambitieuse en terme de réchauffement climatique, par voie… de tribunaux. Marie Toussaint l'explique : Il existe en effet un arsenal juridique qui nous permet de déposer un recours contre l'Etat français auprès du tribunal administratif. Un tribunal peut en effet estimer et condamner, comme cela a été le cas lors du scandale de l'amiante, le fait que les autorités n'ont pas tout mis en œuvre pour protéger l'intégrité physique de leurs ressortissants. Or, pour "Notre Affaire à tous", c'est le cas de la France, qui en n'est pas engagée avec suffisamment de volontarisme contre le réchauffement et ses conséquences en terme de santé publique. Une entreprise farfelue ?
Les 10 % les plus riches de la planète génèrent 50 % des émissions de CO2 mondiales Dans ce rapport, Oxfam révèle de nouvelles estimations des émissions selon le mode de vie et la consommation de différentes catégories de la population, riches et pauvres, dans plusieurs pays. Alors qu’à Paris, les négociatrices et négociateurs cherchent à parvenir à un accord basé sur le total des émissions de leurs pays respectifs, cette analyse dément l’idée reçue selon laquelle la responsabilité du changement climatique incombe principalement aux pays en développement. Certes les émissions augmentent rapidement dans les pays en développement, mais une grande partie de ces émissions proviennent de la production de biens consommés dans d’autres pays. Pour Romain Benicchio, Responsable des politiques climat à Oxfam France : « le changement climatique et les inégalités économiques sont intimement liés et constituent l’un des plus grands défis du 21e siècle. « Les individus riches et les grands émetteurs de CO2 doivent enfin être tenus pour responsables de leurs émissions.
Justice pour la Terre et pour l'Amitié entre les Peuples En ce 17/02/16, seul l'Etat des îles Fidji a signé l'Accord de Paris. Depuis le 14/12/15, date de clôture de la COP 21, aucune autre signature n'a été réalisée pour en ratifier et mettre en application les termes ! A croire que ni les tempêtes, ni les vagues de migrants ne semblent suffire pour que les multinationales écocideuses qui dirigent le Monde, se mettent sérieusement à réparer les torts qu'elles ont semés sur la planète ! Cela ne reste possible que par le laxisme et l'obsession maladive pour le pouvoir, des gouvernances politiques des 198 autres pays participants à la COP 21 ! Nous devons donc accuser tous ces gouvernements, des mêmes délits composant les chefs d'accusation concernant la France, pays hôte de la COP 21 ! Constat du rôle de l'Etat français, dans les mises en applications des termes de l'accord de Paris, suite à la COP 21, et qui atteste d'une politique de gestion menant au réchauffement climatique. Les chefs d'inculpation seraient définis tels que :
90 milliards de dollars, le coût des catastrophes naturelles en 2015 Publié le lundi 04 janvier 2016 à 16h42 90 milliards de dollars. C’est ce que les catastrophes naturelles ont coûté pour l’année qui vient de s’achever. Un chiffre publié ce lundi par réassureur allemand Munich Re. Selon le rapport, qui annuellement fait référence, il s’agit du chiffre le plus bas depuis 2009. Les raisons sont à chercher du côté du Pacifique sud et de la résurgence d’El Nino. Mais "le montant des dommages contenus", ne doit pas conduire à baisser la garde. En 2015, la catastrophe la plus meurtrière et la plus coûteuse aura été le séisme qui a frappé le Népal au mois d’avril. Mais 94 % des catastrophes naturelles de l’an dernier sont liés à des événements météorologiques.
Environmental Action Tell Your AG To Prosecute Exxon Now Update: At their annual shareholders meeting, Exxon faced a firestorm of protest, but they refused to back down from their "burn it all" climate policy. The one thing they have responded to is investigations by our Attorneys General -- which they've responded to with threats, accusations, and lawsuits. It's understandable that Big Oil companies like Exxon and Shell want to discover, extract and burn all the fossil fuels, that's how they make money and satisfy their investors in order to collect billions of dollars every year. Turns out lying to the public, investors and Congress wasn't legal, either. It's great that the top cops from several states have decided to hold Exxon and other Big Oil corporations accountable, but it's not enough. Tell your AG to open an investigation and deliver justice to the people and the planet. Dear Attorney General: cc USAG Loretta E. Thank You.
Climat d’insécurité LE MONDE | • Mis à jour le | Par Stéphane Foucart C’était bien évidemment la question piège. Samedi 14 novembre, sur la chaîne de télévision CBS, l’animateur du débat entre les prétendants à l’investiture démocrate pour l’élection présidentielle américaine a demandé à Bernie Sanders s’il pensait toujours que le changement climatique était « la menace la plus importante pour la sécurité des Etats-Unis », comme il l’avait déclaré quelques semaines auparavant. La question est presque rhétorique. Bernie Sanders a pourtant répondu qu’il maintenait « absolument » son opinion. « En fait, le changement climatique est directement lié à l’augmentation de la menace terroriste (…), a-t-il expliqué. Tirer un lien entre sécurité et changement climatique en fait sourire certains. « Multiplicateur de menaces » En mars 2008, le haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité transmettait aux Etats membres un rapport sans ambiguïté sur le sujet.
On demande Justice ! Et si le droit venait à la rescousse des défenseurs de l'environnement ? Et si le droit venait à la rescousse des défenseurs de l'environnement ? L'idée séduit, visiblement. Même si les lois ne sont pas vraiment taillées sur mesure pour eux. Mais détail curieux, les institutions, elles, donnent quelques signes d'inquiétude. Avec Marine Calmet, juriste ; François Veillerette, porte-parole de Générations Futures ; Didier Mulliez, faucheur d'OGM, et Christophe Noisette, d'Inf'OGM Générations futures : Inf'OGM : Notre affaire à tous - agir pour la justice climatique : Références musicales : Titre : Hungaria ; Interprète, auteur musique: Alessandro Galati
En France, la politique des transports accélère le réchauffement climatique Trois semaines après l’accord non contraignant de la Conférence de Paris sur le climat, l’année 2016 débute dans une ambiance de total oubli des enjeux climatiques chez les décideurs politiques et économiques en France comme dans le monde. Tout se passe comme si aucun Etat n’était concerné par ce qu’il a promis de signer et de respecter pour contenir le réchauffement à moins de + 2°C par rapport à la période préindustrielle de la fin du XIXème siècle. En France, aucun décideur ne semble se soucier des modifications profondes qu’il faudra introduire dans nos manières de produire et de consommer pour atteindre un tel objectif. J’ai profité de la « trêve de confiseurs » pour lire le tome 1 du « 52ème rapport à la commission des comptes de la nation » sur « les comptes des transports en 2014». L’utilité de ce rapport provient des chiffres qu’il contient, beaucoup plus que des commentaires faits par les gens qui l’ont écrit.
Meet the fixer: This lawyer connects justice and the environment. Nicky Sheats has done his homework. After getting his degree from Harvard Law, Sheats went back to get a PhD in biogeochemistry, also at Harvard, and did a quick post-doc at Columbia. (Did we mention he went to Princeton for undergrad?) When his studies brought him to an environmental justice conference, Sheats saw a cause that united all his interests. Over his career, Sheats has leaned on academic research to write policy initiatives for cleaner air in communities of color, which typically suffer from higher rates of air pollution. Another win: When, in 2014, the Environmental Protection Agency proposed the Clean Power Plan, a set of rules that require electric power plants to reduce greenhouse gas emissions, Sheats saw huge gaps in policy and regulation that could potentially hurt low-income communities and communities of color. The EPA ended up adapting some of Sheats’ policies, albeit without including any concrete mechanisms to achieve that goal.