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La reconnaissance, attente numéro un des salariés

La reconnaissance, attente numéro un des salariés
Management Le 07/12/2015 Le livre blanc intitulé « Disconnect », publié récemment par ADP, fait état d’un délitement du lien social dans l’entreprise. L’ampleur du décalage Les êtres humains en général – et les salariés en particulier – ont deux besoins culturels fondamentaux : l’affirmation de leur identité et la satisfaction de leurs besoins personnels… tout en s’inscrivant dans un projet, sans lequel l’épanouissement personnel est borné ou très limité. C’est dire si les chiffres qui suivent sont problématiques : – 50% des salariés estiment travailler dans une entreprise qui ne prend pas en compte de leurs feedback. – seuls 7% d’entre eux sont fortement d’accord avec le fait que les évaluations sont justes et appropriées. – et 11% d’entre eux, seulement, estiment qu’ils reçoivent les feedback positifs et la reconnaissance qu’ils méritent « lorsqu’ils font du bon travail ». En définitive, près de trois salariés sur quatre estiment que leur avis n’est pas reconnu ni pris en compte. Related:  Management et leadershipCNAM Pays de la LoireManagement : Biais culturel français

Pourquoi les chefs sont-ils (souvent) déçus par leurs équipes Management Le 20/11/2015 On passe beaucoup de temps à questionner les employés pour savoir ce qu’ils pensent de leurs patrons ; on interroge sans cesse la légitimité des chefs, leur compétence ou leur disponibilité. C’est sans doute la rançon de la responsabilité et du pouvoir : on doit pouvoir être « jaugé » à l’aune des décisions que l’on prend et des comportements que l’on adopte. Ceci dit, renversons le propos : on s’interroge un peu moins sur ce que les chefs pensent de leurs équipes. Pourtant, si l’on accepte l’idée que la stratégie se réalise en partie ailleurs que dans les boardrooms, alors les interactions concrètes entre chefs et non chefs sont capitales pour la qualité des orientations et des décisions prises. « Mon bureau est toujours ouvert, mais ils ne viennent pas » D’un côté, des travaux montrent que les employées se plaignent souvent de l’indifférence et du désintérêt que des chefs trop lointains auraient pour leurs problèmes locaux. Des tâches qui manquent d’intérêt

ITES 2016 : DSI, l'innovation vous frappera si vous ne l'empoignez pas vous même - ZDNet Bulle ou pas bulle ? Peu importe, l'innovation et les ruptures technologiques vont continuer à bouleverser le business et l'organisation des entreprises en place avertit Georges Nahon, technologue et PDG d'Orange Labs à San Francisco. Invité de l'Innovation Summit 2016 (ITES) organisé par les associations professionnelles Crip et IMA, il livre un constat net et tranché de l'avenir de la DSI face à l'innovation. " Quand on a pas suffisamment d'innovation en interne, il faut l'acheter " indique le technologue d'Orange. La bulle n'empêchera pas l'innovation de dérouler Où faut-il donc regarder pour détecter les tendances innovantes ? Ces valorisations sont cependant peut-être un des signes qu'une bulle se profile, comme en 2000. " Les cyniques de la vallée disent que les touristes sont arrivés et paient les prix que les locaux ne paieraient pas " nuance néanmoins Georges Nahon à ce sujet. Le rôle de la finance dans l'innovation de la Silicon Valley est déterminant.

Les managers français sont parmi les plus mauvais Selon une étude réalisée par le cabinet BPI et par BVA, seul un salarié sur deux trouve un quelconque talent à son supérieur hiérarchique. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Annie Kahn Mous et incompétents. Telle est, en substance, l'opinion que les Français se font de leurs supérieurs hiérarchiques. Tous certes ne sont pas visés. Mais globalement, les dirigeants français se révèlent plus mauvais qu'ailleurs, selon une étude réalisée par le cabinet de conseil en gestion des ressources humaines BPI et l'institut BVA auprès de 5 500 salariés dans dix pays, publiée jeudi 6 décembre. "Nous entendons les critiques sur le terrain. Seul un sondé français sur deux trouve un quelconque talent à son supérieur, et un sur trois l'estime très compétent, soit les taux les plus bas des dix pays considérés. "Quand les objectifs ne sont pas clairs, les salariés ne peuvent améliorer au mieux leur performance et leur rémunération s'en ressent", explique M. Cette vision négative influe sur les comportements.

Management : apprendre à déléguer Et si j’avais moins peur… La délégation est souvent coiffée de nombreux fantasmes et/ou fausses objections, comme la crainte de perdre une partie de son pouvoir, la croyance que les autres ne feront jamais aussi bien, la peur qu’une épidémie (voire pandémie !) délégataire se propage, les craintes de perdre davantage de temps que d’en gagner, le sentiment de se sentir irremplaçable… Et vous, de quoi souffrez-vous ? Vous aimeriez confier à l’un ou l’autre de vos collaborateurs certaines des tâches qui vous reviennent. Ainsi, vous auriez un peu plus de temps pour vous consacrer à des missions délicates ou moins opérationnelles. Mais savez-vous exactement comment opérer ? Délégation rime avec soutien et contrôle Dans les années quatre-vingt, nous avons découvert le post-it, ce petit carré de papier qui colle sans coller ! Quid du contrôle : Besoin de compte rendu, de rapport d’activité ? Bien déléguer en cinq points Piloter la délégation La délégation est un contrat

Management : 6 leçons des philosophes Ils nous invitent à nous connaître nous-même, à douter de nos certitudes, à aimer les autres, à avoir du courage… Pour bien diriger et encadrer une équipe, inspirons-nous des philosophes ! Souvent à contre-courant des idées reçues sur le leadership, les pensées de Platon, Descartes ou encore Kant, sont un atout précieux pour développer une véritable philosophie managériale et poser les bases d’un management humaniste. Leçon de philo appliquée à la vie en entreprise avec Patrick Errard, auteur de La philosophie au secours du management. Margaux Rambert Sommaire A découvrir Les idées à retenir « Connais-toi toi-même », de Socrate et « Cogito ergo sum » - « Je pense donc je suis » -, de Descartes. « Qui est-on, avant d’être manager ? L’idée reçue : « Evoluer dans sa carrière, c’est devenir manager. Le décryptage de Patrick Errard« En France, l’évolution de carrière est essentiellement basée sur une culture méritocratique. En pratique : « Pourquoi suis-je manager ou ai-je envie de le devenir ?

Se reconvertir, slasher, co-worker: les bons plans pour travailler autrement (et ailleurs) | Hélene Picot Le modèle du travail est en train de se transformer complètement. Des postes salariés de plus en plus rares, des créateurs d'entreprises de plus en plus précoces, des freelances en hausse, un terrain de jeu mondial, un système qui touche à sa fin et une envie de contribuer à changer le monde de plus en plus vive... Désormais, le travail c'est du slash, du slow, du nomadisme ou du néo-ruralisme. Bref, on se réinvente. Désormais, le travail, c'est du slash, du slow, du nomadisme ou du néo-ruralisme 1 - On va slasher: Le temps où nous faisions carrière dans la même boîte est largement révolu. Pourquoi choisir lorsque l'on peut tout avoir? Précision importante, être slasher, ce n'est pas faire plusieurs métiers pour des raisons alimentaires. Pour ma part, je suis une slasheuse épanouie, coach/auteure/conférencière/créatrice de la méthode "Rêvez, Osez, Foncez: 3 mois pour trouver sa voie!" 2 - Moins dans le Faire, plus dans l'Etre: Le Co-home working: Le Co-working... rural: 4 - Les néo-ruraux:

Les entreprises ont peur des profils atypiques Alexandre Pachulski est Directeur Produits de TalentSoft, un éditeur proposant une solution en mode SaaS de Gestion des Talents. Il est l’auteur de deux livres sur la gestion des talents : « La Gestion des Talents dans l’Entreprise » sorti en 2010 et « Les nouveaux horizons RH » publié en 2012. Il officie également sur le blog www.lestalentsdalex.com. D’abord, qu’est-ce qu’un talent atypique ? Un chimiste qui candidate à un poste de développeur informatique. Mais plutôt que de talents « atypiques », je préfère parler de talents « différents » : de profils performants et de profils innovants… Nous avons tendance à associer les talents à des performers sportifs avec, dans le monde de l’entreprise, ceux qui ramèneront le plus d’argent. « En France, nous aimons les élites sorties de grandes écoles » Que peut-il apporter à l’entreprise ? En France, nous aimons les élites sorties de grandes écoles : Bac+5 sorties de Paris-Dauphine, HEC, Essec ou Sciences Po. Très peu sont prêtes à le prendre.

Process Communication : les fondamentaux « Si seulement je pouvais comprendre ce qu’il a en tête… » Vous l’avez peut-être déjà entendue cette phrase… Peut-être même dans votre propre tête ? Comment comprendre le comportement de votre partenaire qui vient de claquer la porte sans raison apparente, de votre chef en colère qui vient d’envoyer par mail une liste de tâches à refaire « ASAP », ou encore de votre meilleur ami qui vous demande pour la énième fois comment vous allez, mais qui ne répond jamais lorsque vous lui posez la question… ? Bonne nouvelle : il existe des outils qui permettent d’éclairer sous un nouveau jour ces étranges différences qui nous caractérisent. C’est ce que je vous propose de découvrir dans cet article, au travers du Process Communication Model® et des 6 facettes qui se cachent à l’intérieur de chacun de nous ! Process Com’ : Kesako ? Le Modèle Process Communication est un modèle de communication développé par le psychologue américain Taibi Kahler. 6 types de personnalité différents Une base… …et une phase !

Le management à l’heure du digital Alors que de nouveaux outils apparaissent presque tous les jours, faisant de la digitalisation de l’économie et des organisations une des bascules les plus signifiantes de ces dernières décennies, le management, longtemps perçu comme une activité stable, doit lui aussi aujourd’hui opérer une mutation, et même devenir un acteur clé, un levier de ce changement. Un manager ne peut se contenter d’être un suiveur. Il se doit d’incarner le changement auprès de ses équipes. Quel que soit le contexte économique ou social de l’entreprise, il porte le projet de la direction et lui donne sens. Certes, mais au-delà du discours, cette bascule digitale pose un réel défi aux managers d’aujourd’hui : comment parvenir à gérer l’usage personnel, qui consiste à s’initier pour soi-même, et le partage collaboratif, au profit de l’efficience collective. De nombreux managers se sentent désorientés et dépassés face à ces nouveaux défis. 1- Accepter la dynamique collaborative

Travailler en mode collaboratif : 200 fiches pratiques et méthodologiques MultiBaO est une nouvelle multi-boite à outils consacrée à l’organisation en collectif et à la gestion de projets. Ses initiateurs, un collectif non formel composé de membres de plusieurs associations et universités propose – sous licences Creative Commons – des ressources pour les animateurs de réseaux/groupes sous la forme de fiches outils et méthodes. Chacun est invité à contribuer à l’amélioration et à l’écriture de nouvelles fiches. Des fiches pour participer et collaborer 200 fiches autour des démarches participatives et collaboratives sont déjà téléchargeables via un dossier Dropbox : Accélérateur de projet, atelier de créativité, cartographie participative, veille collaborative… L’ensemble des thèmes et des ateliers est exhaustif. Les contributions sont également disponibles sur le site MultiBaO au fur et à mesure des publications par le collectif ou les contributeurs extérieurs. Fiches synthétiques sur la collaboration En une phraseA quoi ça sert ? Pour en savoir plus

Le management à la française serait-il dépassé? Management Le 23/06/2015 Le modèle économique et social français perd jour après jour son efficacité tant au plan macro que microéconomique. La précarisation des emplois et le chômage de masse en témoignent. Et dans nos organisations, notamment les grandes – de plus de 1000 salariés -, l’étude réalisée par Capgemini Consulting avec TNS Sofres («Le management français à l’épreuve de la bascule numérique», premier trimestre 2014) montre un désengagement massif des cadres. Car il n’est pas là seulement question du «moral» des salariés français. Un modèle historique à bout de souffle au mauvais moment Le modèle économique et social français construit dans l’après-guerre a soutenu les succès des Trente Glorieuses. Avec l’ère numérique, nous sommes entrés dans une phase de transition accélérée où les équilibres traditionnels se trouvent fragilisés. Côté management, le constat n’est pas plus brillant. Un mépris de l’économie Il existe des réactions nationales très différentes face au changement.

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