Notation des flèches de Knuth Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En mathématiques, la notation des puissances itérées de Knuth est une notation qui permet d'écrire de très grands entiers et qui a été introduite par Donald Knuth en 1976. L'idée de cette notation est basée sur la notion d'exponentiation répétée, au même titre que l'exponentiation consiste en une multiplication itérée ou la multiplication en une addition itérée. Introduction[modifier | modifier le code] Itération d'une fonction simple[modifier | modifier le code] Les itérations d'une fonction simple sont utilisées de manière classique en arithmétique pour définir les opérations de plus en plus complexes. ou encore, sous forme de programme itératif à partir de l'incrémentation : function Addition(a, b: Naturel) : Naturel begin R := a (* Application b fois de l'opérateur à gauche "1+" *) for compteur:=1 to b do R:=1+R return R end. La multiplication peut de même être définie comme une addition itérée : Généralisation[modifier | modifier le code]
Commerce Le commerce moderne, s'inspirant de méthodes industrielles, après avoir engendré les supermarchés et hypermarchés, et les centres commerciaux a produit un véritable « urbanisme commercial » dédié. Un petit commerce d'alimentation générale. Le commerce désigne l'activité économique d'achat et de revente de biens et de services[1], en particulier l'achat dans le but de revendre avec un profit ou un bénéfice[2]. Le commerce a ses lois propres qui sont recueillies dans les Code de commerce et ses propres juridictions nationales ou internationales. Ayant d'autres finalités que de faire un profit, beaucoup d'activités économiques ou professionnelles comme l'éducation, la police, la culture, la médecine, la justice, l'architecture, la religion, etc. ne relèvent pas du domaine du commerce, mais des lois et des tribunaux civils ou administratif. Il résulte du mouvement de spécialisation croissante qui affecte les sociétés humaines : Histoire du commerce[modifier | modifier le code] Centre commercial
Gogolplex Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Notations[modifier | modifier le code] Il peut être noté : Pour la deuxième notation, il faut préciser que signifie bien et non , ce dernier nombre étant égal à ; d'une part dans le cas de cela donnerait un nombre bien plus petit, d'autre part cela rendrait la notation sans intérêt. Utilité[modifier | modifier le code] Ce nombre est un bon exemple qui montre comme on peut atteindre des grands nombres quand on a recours aux puissances itérées. , ou suivant la notation des puissances itérées de Knuth, est bien plus grand encore. Ce nombre n'est qu'une curiosité ayant reçu un nom. Dans les démonstrations mathématiques, on peut citer le nombre de Graham, et la borne supérieure du deuxième nombre de Skewes, très supérieurs. En physique, la théorie d'Everett a amené à envisager l'existence d'un nombre formidablement grand également d'univers parallèles. , autrement dit Ce nombre a donné son nom : Notes et références[modifier | modifier le code]
Monothéisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vue de la cour de la Grande Mosquée de Kairouan. Datant, dans sa forme actuelle du IXe siècle, c'est l'un des édifices religieux les plus anciens et les mieux préservés de l'islam, troisième religion monothéiste. Un monothéisme (du grec μονός [monos], « seul, unique » et θεός [theos], « dieu ») est une religion qui affirme l'existence d'un Dieu unique et la transcendance de Dieu, créateur du monde. Quand une religion conçoit une divinité nationale[1] comme simplement supérieure à d'autres, on parle plutôt de « monolâtrie » ou d'« hénothéisme », termes de création récente, types de polythéisme. Étymologie[modifier | modifier le code] Le terme de « monothéisme » est de création relativement récente même s'il peut aujourd'hui sembler aller de soi, pour un concept qui demeure « difficile à penser »[2]. Cet antagonisme inclusif/exclusif de la notion de monothéisme se trouve déjà dans les textes bibliques[4]. Monolâtrisme[modifier | modifier le code]
Another new proof of the theorem that every integral rational algebraic function of one variable can be resolved into real factors of the first or second degree Carl Friedrich Gauss (1815) translated by Paul Taylor and Bernard Leak (1983) Although the proof of the theorem about the resolution of polynomials 1 into factors that I published in a paper sixteen years ago seemed to leave nothing to be desired in respect of rigour or simplicity, I hope that it will not come at all unwelcome to mathematicians2 if I return again to the same very serious question, and I try to give another, no less rigorous, proof from entirely different principles. Of course that earlier proof depended, in part at least, on geometrical considerations: this one on the other hand which I aim to expound here will rest solely upon algebraic3 principles. Certain preliminaries precede the principal discussion lest anything seem lacking, because the very treatment of these additional matters, which have been passed over by others, can throw some new light on the subject. The converse theorem is a little less obvious.
Pédagogie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La pédagogie (du grec παιδαγωγία, direction ou éducation des enfants[1]) désigne l'art de l'éducation. Le terme rassemble les méthodes et pratiques d'enseignement et d'éducation ainsi que toutes les qualités requises pour transmettre une connaissance, un savoir ou un savoir-faire. Plus généralement, l'expression « Faire preuve de pédagogie » signifie l'aptitude à enseigner et à transmettre à un individu ou un groupe d'individus — de tous âges et de toutes conditions — un savoir ou une expérience par l'usage des méthodes les plus adaptées à l'audience concernée. Définitions[modifier | modifier le code] Le mot « pédagogie » dérive du grec παιδαγωγία, de παιδός (/'paɪdɔr/), « l'enfant », et ἄγω (/'a.gɔ/), « conduire, mener, accompagner, élever ». Émile Durkheim : la pédagogie est une "réflexion appliquée aussi méthodiquement que possible aux choses de l'éducation" (L'évolution pédagogique en France, Paris, PUF, 1938, p. 10).
CHAOS | Chaos CHAOS est un film mathématique constitué de neuf chapitres de treize minutes chacun. Il s'agit d'un film tout public autour des systèmes dynamiques, de l'effet papillon et de la théorie du chaos. Tout comme DIMENSIONS, ce film est diffusé sous une licence Creative Commons et a été produit par Jos Leys, Étienne Ghys et Aurélien Alvarez. Monnaie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La monnaie est définie par Aristote[1] par trois fonctions : unité de compte, réserve de valeur et intermédiaire des échanges. Depuis la suppression de toute référence à des matières précieuses et la dématérialisation des supports monétaires, et après l’intervention des économistes « nominalistes »[2], les aspects légaux de l'usage de la monnaie (et notamment les droits juridiques qui sont attachés au cours légal et au pouvoir libératoire) sont plus apparents. Ces droits sont fixés par l’État et font de la monnaie une institution constitutionnelle en de multiples pays. La monnaie est l'instrument de paiement en vigueur en un lieu et à une époque donnée : du fait de la loi : on parle de cours légaldu fait des usages : les agents économiques l'acceptent en règlement d’un achat, d’une prestation ou d'une dette. La monnaie est censée remplir trois fonctions principales : Histoire[modifier | modifier le code] Usages[modifier | modifier le code] Notes
Portail:Mathématiques Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les mathématiques, du grec máthēma (μάθημα) signifiant « connaissance, science », constituent un domaine de savoir, de recherche et d'enseignement, fondé sur le raisonnement logique. Elles portent sur les nombres, les formes, les opérations et d'autres notions qui permettent entre autres de modéliser l'évolution dans le temps, les procédures, notamment en informatique, et même le hasard. Les mathématiques irriguent toutes les disciplines scientifiques et sont utilisées en économie ou dans les innovations technologiques, mais elles ont aussi des relations avec la philosophie, les arts plastiques, la musique et même les jeux et la littérature. Branches des mathématiques Vous souhaitez participer ? En dehors de Wikipedia
- date d'invention : 5ième siècle av JC by spoutnik_001 Mar 25