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Related: Thème 1.2 La complexité du système climatique • CHAPITRE 3 Le devenir de l'énergie solaire • Vidéos utilisées en classe17 fiches scientifiques Océan et Climat (2015) – Ocean & Climate Platform Par Philippe Koubbi, Gabriel Reygondeau, Claude De Broyer, Andrew Constable et William W.L. Cheung La partie australe de l’océan mondial est la plus isolée de toute activité industrielle ou anthropique. Pourtant, depuis plusieurs décennies, de nombreux observateurs rapportent des changements significatifs aussi bien des écosystèmes que des espèces qui y vivent. Comprendre l’effet de serre et ses conséquences Baignées dans la lumière solaire, l’atmosphère ainsi que la surface de notre planète – océans et terres émergées – conservent naturellement une partie de cette énergie sous forme de chaleur. L’atmosphère terrestre, indépendamment des activités humaines, provoque « l’effet de serre ». Sans ce phénomène atmosphérique indispensable à la vie, la température à la surface de notre Terre serait, en moyenne, de -16 °C. Alors que, grâce à l’effet de serre, elle est plutôt de +15 °C en moyenne.
Pergélisol, le piège climatique Typique des régions arctiques, le pergélisol, le sol gelé depuis des milliers d’années, dégèle peu à peu sous l’effet du réchauffement climatique. Ce faisant, il libère de puissants gaz à effet de serre. « CNRS Le journal » s’est rendu au Nunavik, dans l’Arctique canadien, pour mieux comprendre ce phénomène largement sous-estimé par les modèles climatiques. Les Inuits le savent bien, eux qui sont coutumiers des longues attentes dans les aéroports de la région. Diatomées - Maisons de verre - mon océan et moi Diatomée du genre Chaetoceros (Photo : Sophie Marro) Les Dinoflagellés - Ceratium hexacanthumchaîne de Ceratium hexacanthum qui restent les uns à la suites des autres au fur et à mesure des divisions. Le mouvement des flagelles est bien visible. Siphonophore Forskalia formosa (Photo : Fabien Lombard)
Nasa Vital Signs of the Planet - Site donnant accès à des données actualisées (CO2, Temp, Banquise, niveau marin) September 2020 415 ppm Carbon dioxide (CO2) is an important heat-trapping (greenhouse) gas, which is released through human activities such as deforestation and burning fossil fuels, as well as natural processes such as respiration and volcanic eruptions. The first graph shows atmospheric CO2 levels measured at Mauna Loa Observatory, Hawaii, in recent years, with average seasonal cycle removed. Ce que la couleur des océans révèle du changement climatique Une équipe de chercheurs américains de l’Institut de technologie du Massachusetts (MIT), vient de montrer que la couleur de l’océan révélée par satellite pourrait être utilisée comme signature du changement climatique Tout le monde connaît ces images de tourbillons de bleus et de verts qui parent les océans du monde vus du ciel. Ces formes et couleurs étonnantes sont liées à la présence de milliards de plantes microscopiques, regroupées sous le nom de phytoplancton. L’activité de ces organismes varie selon les conditions ambiantes : ensoleillement, température, courants… avec une incidence directe sur leur aspect vu du ciel.
Corrélation et causalité - [Les tribulations d'un astronome] La corrélation, c’est le rapport d’une chose à une autre, la relation qui existe entre ces choses ou entre ces quantités. Par exemple, on constate que la quantité de gaz carbonique augmente dans l’atmosphère depuis des décennies : On constate également que l’espérance de vie en France augmente depuis des décennies : Quand on trace la quantité de gaz carbonique en fonction de l’espérance de vie, on obtient : On constate ainsi que la quantité de gaz carbonique dans l’atmosphère est en relation avec l’espérance de vie : on pourrait presque tracer une droite (avec une certaine pente) sur ce graphique.
Les résultats de la recherche en science du développement durable Phytoplancton dans l’Atlantique Nord Le phytoplancton est un producteur essentiel de matière organique sur Terre et fixe d’énormes quantités de dioxyde de carbone par photosynthèse. Il influence donc la chaîne alimentaire et les cycles biogéochimiques. Son abondance est influencée par la lumière du soleil et la disponibilité des nutriments, et fluctue avec les conditions météorologiques, notamment avec le phénomène El Niño.
Le Gulf Stream ralentit, vers un refroidissement brutal de l'Europe de l'ouest ? La circulation méridienne de retournement est l'un des principaux systèmes de circulation de la chaleur terrestre : il distribue, vers les hautes latitudes, les eaux chaudes des basses latitudes. Dans l'hémisphère Nord, c'est aussi ce qu'on appelle la dérive nord-atlantique et par extension, le Gulf Stream. Elle est, en partie, à l'origine du climat tempéré que l'on connait dans l'ouest de l'Europe du nord. Or, cette circulation pourrait bien s'essouffler et engendrer un climat glacial sur l'Europe... Comment poursuivre votre lecture ? Vous avez épuisé vos 3 lectures gratuites pour cette semaine
L’énergie du corps humain Comme tous les êtres vivants, l’homme a besoin d’énergie pour vivre. Longtemps, il n’a pu compter que sur la force qu’il tirait de la nourriture pour se développer. Puis, grâce aux machines et à la maîtrise de nouvelles énergies, il s’est libéré des tâches les plus pénibles et a augmenté son confort. Aujourd’hui, ce confort est bien souvent obtenu par l’utilisation d’énergies polluantes et non-renouvelables (épuisables). Le corps humain a besoin d’énergie pour maintenir les organes en fonctionnement, assurer une température suffisante, permettre d’accomplir des efforts et transformer les aliments en une forme que les organes peuvent utiliser.
Où nous situons-nous dans l’échelle des températures par rapport au passé ? Tous les passés ne sont pas d’un intérêt équivalent pour deux raisons: tout d’abord le phénomène qui nous intéresse maintenant se situe sur une échelle de temps très courte en regard de l’âge de notre planète : un siècle, cela fait 0,0000025% de l’âge de la Terre! Or si l’on peut avoir une bonne idée des conditions moyennes qui régnaient à la surface de la Terre il y a longtemps, on ne sait pas comment les choses évoluaient sur un siècle à cette époque là. Par exemple, on ne sait pas distinguer ce qui s’est passé entre -60.000.000 ans et -60.000.100 ans (ou entre -60.000.000 ans et -59.999.900 ans).Comme nous nous intéressons essentiellement à la survie et au confort de notre propre espèce (s’intéresser à la survie du reste n’a de sens que si nous sommes toujours là: sur une planète d’où les hommes auraient disparu, le fait de savoir s’il resterait des tigres est une question un peu secondaire!) Les cycles