http://www.skepticalscience.com/
Related: Débat réchauffement climatiqueRichard Lindzen 2. Les efforts concertés pour politiser les sciences du climat : ..." Toutes ces organisations, qu’il s’agisse de sociétés savantes, de laboratoires de recherche, d’organismes de conseils (comme les académies des sciences), les agences et départements publics (incluant la NASA, la NOAA, l’EPA, la NSF, etc.), et même les universités, ont des structures hiérarchiques dont le positionnement et la politique sont fixés par des conseils exécutifs très réduits, voire par une personne unique. Cela facilite grandement les tentatives de politisation de la science via l’influence que peuvent exercer de tels organismes, où une poignée de personnes (qui ne sont souvent pas même scientifiques) parlent au nom d’organisations regroupant des milliers de chercheurs, et même renforce certaines positions scientifiques spécifiques et certains programmes politiques. La tentation de politiser la science est immense, et ne date pas d’hier."...
Les variations climatiques naturelles de la Terre www.notre-planete.info : environnement, développement durable et sciences de la Terre Un climat, des climats Le climat définit et explique les conditions de l'atmosphère au-dessus d'un lieu à moyen et long terme (à la différence de la météorologie qui s'intéresse au court terme). Mais il peut s'étudier à différentes échelles d'espace et de temps. Le déni de la science : tout un programme ! Il y a deux sortes de positionnements devant une affirmation scientifique si on veut la rejeter, le déni ou le doute. Mais il faut d’abord définir ce qu’est une affirmation scientifique. Il s’agit de la conclusion de travaux susceptibles d’être reproduits par n’importe quelle personne disposant de moyens techniques et expérimentaux adéquats.
Données scientifiques / Le GIEC - Les changements climatiques Cinquième rapport du GIEC Le cinquième rapport d'évaluation sera publié en 2014. Il présentera les dernières connaissances relatives au changement climatique telles que : les aspects socio-économiques du changement climatique et ses implications pour le développement durable; des informations régionales plus détaillées ; un examen plus précis du risque et des questions éthiques et économiques; la stabilisation des concentrations de gaz à effet de serre. Mission du GIEC —Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a été créé par l'OMM et le PNUE pour évaluer les informations scientifiques, techniques et socioéconomiques permettant de comprendre les changements climatiques, leurs impacts potentiels et les options en matière d'adaptation et d'atténuation.
Mais qui sont ces climato-sceptiques? Claude Allègre A 72 ans, c'est le plus titré des climato-sceptiques français. Géochimiste de formation, il a reçu des récompenses prestigieuses pour ses travaux, comme le prix Crafoord (le "Nobel" des sciences de la Terre) et la médaille d'or du CNRS. Membre de l'Académie des sciences depuis 1995, il a notamment dirigé l'Institut de physique du Globe, et servi comme ministre de l'Education nationale dans le gouvernement de Lionel Jospin (1997-2000). Quantités de glace sur la planète, par Frédérique Rémy, Etienne Berthier Les glaces constituent l’une des figures emblématiques du changement climatique car leur évolution est souvent spectaculaire, sur des échelles de temps de quelques années ou de quelques dizaines d’années. Cette évolution est donc plus facilement perceptible par l’homme qu’un changement de température de quelques dixièmes de degrés. Pourtant, l’évolution des glaces est très contrastée d’une région à l’autre de la planète et, pour dresser un panorama exhaustif de leur état de santé, il convient de distinguer les différentes formes de glace : glace de mer (banquise) ; glaciers et petites calottes ; et calottes polaires (Antarctique et Groenland). L’échelle de temps considérée est celle des 20 ou 30 dernières années. C’est sur cette période que les observations satellitaires sont venues en appui des mesures de terrain et ont permis d’avoir une vision plus exhaustive de l’évolution des glaces, notamment dans les lointaines régions polaires.
LA CONFERENCE DE PARIS 2015 SUR LE CLIMAT ARRIVE TROP TARD. : belgotopia La conférence de Paris sur le climat, qui au même titre que ses devancières dont les plus récentes sont Bali en 2007, Poznan en 2008, Copenhague en 2009, Cancun en 2010, Durban en 2011, Rio de Janeiro et Doha en 2012, Varsovie en 2013, Montreal, New York et Lima en 2014, sera comme annoncé à chaque fois, la toute dernière occasion pour sauver la planète. Malheureusement, ce sera trop tard... ! Non seulement, les épisodes météo catastrophiques (comme nous n'en avons jamais connus auparavant) se succèdent à un rythme de plus en plus rapide, ainsi que le prédisait d'ailleurs judicieusement Madame J. Hèque il y a peu (1), et même le petit bon Dieu, par la voix de son représentant sur Terre, nous adressait récemment un avertissement solennel.
La demande énergétique mondiale est sous-estimée, et c’est un vrai problème pour le climat Remplacer les combustibles fossiles (pétrole, charbon, gaz) par des énergies bas carbone (les renouvelables et le nucléaire) est indispensable pour limiter le dérèglement du climat. Mais comme les énergies fossiles ne vont pas disparaître de sitôt, il est aussi impératif d’augmenter l’efficacité avec laquelle on les utilise, c’est-à-dire produire plus avec autant (voire moins) d’énergie. Dans le scénario « développement durable » de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), l’efficacité énergétique est d’ailleurs considérée comme le premier levier pour réduire les émissions de CO2. Améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments et de toutes les machines qui nous entourent contribuerait à 37 % de l’effort nécessaire pour décarboner l’économie mondiale d’ici 2050. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) considère lui aussi que l’efficacité énergétique est un élément clé de la transition écologique. L’éléphant au milieu de la pièce
Climat : mythes, peur exponentielle et réchauffement fiscal Par PLG. Il y a quelques jours, Benoît Rittaud, professeur de mathématiques à l’université Paris XIII et habitué de nos colonnes, a donné une conférence à l’Assemblée nationale sur la peur exponentielle dans le domaine du réchauffement climatique. Elle s’inscrit dans le cadre du collectif des climato-optimistes (le nom pourrait évoluer dans les prochaines semaines), qui vise à porter la contradiction aux thèses défendues par le GIEC d’ici la COP21, pour en limiter les effets potentiellement désastreux. Qu’est-ce que la peur exponentielle ? Nous invitons les lecteurs qui voudraient approfondir la question à se reporter à la lecture des articles suivants (celui-ci et celui-là). Nous pouvons résumer ce concept en expliquant qu’il s’agit d’un néo-malthusianisme, fondé sur l’idée que les progrès économiques et techniques, sans cesse en accélération, devraient finir par se heurter à la réalité d’un monde aux ressources limitées, provoquant l’effondrement de la civilisation.