Archétype (psychologie analytique) L'archétype est ce qui forme a priori l'expérience humaine, par la structure même du cerveau, et qui conditionne les schéma de pensée ou de représentation. L'archétype est pour la psychologie jungienne un processus psychique fondateur des cultures humaines car il exprime les modèles élémentaires de comportements et de représentations issus de l'expérience humaine à toutes les époques de l'histoire, en lien avec un autre concept jungien, celui d'inconscient collectif. Si Jung et ses continuateurs ont toujours évoqué l'archétype comme une hypothèse à propos de la structure profonde du psychisme, ils en ont cependant fait un pivot de la psychologie analytique très polémique, corollaire du concept également controversé d'inconscient collectif. Pourtant Jung n'est pas le premier à évoquer la possibilité d'existence d'« images primordiales » conditionnant l'imaginaire et la représentation ; avant lui en effet de nombreux philosophes en ont postulé l'influence sur la nature humaine. Henri F.
Jean-François Lyotard Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean-Francois Lyotard Philosophe français Philosophie contemporaine Jean-François Lyotard, né à Versailles le et mort à Paris le , est un philosophe français associé au post-structuralisme et surtout connu pour son usage critique de la notion de postmoderne. Biographie[modifier | modifier le code] Lyotard enseigne à la Sorbonne entre 1959 et 1967, puis à l'université Paris X en 1968 et à l'université Paris-1-Sorbonne en 1970. Mort en 1998, Jean-François Lyotard a été enterré à Paris, au Cimetière du Père-Lachaise. Il a été marié deux fois, en 1948, à Andrée May (deux filles), puis en 1993 avec Dolorès Lyotard, la mère de son fils David né en 1986. Legs académique[modifier | modifier le code] Un colloque international lui a été consacré à Paris du 25 au 27 janvier 2007 au Collège international de philosophie[3]. La Condition postmoderne : rapport sur le savoir (1979)[modifier | modifier le code] Au juste (1979)[modifier | modifier le code]
Georges Lemaître Georges Lemaître vers 1935. Signature Son « hypothèse de l'atome primitif », visant à expliquer l'origine de l'Univers, constitue le fondement de sa théorie du Big Bang. Biographie[modifier | modifier le code] Études[modifier | modifier le code] Afin d'obtenir une bourse de voyage, il rédige en 1922 un mémoire sur La Physique d'Einstein, lui permettant de remporter la distinction. États-Unis : Harvard et MIT[modifier | modifier le code] Georges Lemaître y suit les cours de l'astronome Arthur Eddington et travaille avec ce dernier. Louvain[modifier | modifier le code] Parcours ecclésiastique[modifier | modifier le code] Georges Lemaître entre au séminaire (maison Saint-Rombaut de Malines) en 1920 pour être ordonné prêtre en 1923. Il est nommé chanoine honoraire en 1935. En 1960, il est nommé prélat domestique par Jean XXIII ainsi que président de l'Académie pontificale des sciences[5]. Fin de vie[modifier | modifier le code] La tombe de G. Travaux[modifier | modifier le code]
Contradiction Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une contradiction existe lorsque deux phénomènes scientifiques, affirmations, idées, ou actions s'excluent mutuellement. Principe de contradiction[modifier | modifier le code] Le « principe de contradiction » est la loi qui veut qu’on ne peut affirmer et nier simultanément le même terme ou la même proposition : « Il est impossible qu’un même attribut appartienne et n’appartienne pas en même temps et sous le même rapport à une même chose »[1]. Assurément, une chose peut être blanche aujourd’hui ou d’une autre couleur demain. Logique formelle[modifier | modifier le code] La contradiction est une relation existant entre deux ou plusieurs termes ou deux ou plusieurs propositions dont l’un(e) affirme ce que l’autre nie : « A » et « non-A » sont contradictoires, les phrases « Tous les hommes sont barbus » et « Quelques hommes ne sont pas barbus » sont contradictoires. En logique formelle (c. C'est l'explosion logique. Ateliers sur la contradiction
Stolarof, psychédéliques et développement personnel Énergie cinétique L'énergie cinétique du boulet est utilisée pour détruire un édifice. En physique, l' énergie cinétique L'énergie cinétique d'un point matériel dans un référentiel galiléen est égale au travaux des forces appliquées pour faire passer le point du repos à un mouvement. Les wagons des montagnes russes possèdent une énergie cinétique maximale en bas de leur parcours. Lorsqu'ils commencent à monter, l'énergie cinétique est convertie en énergie potentielle. Histoire[modifier | modifier le code] L'énergie cinétique provient du grec ἐνέργεια / enérgeia, qui signifie « force en action » et κίνησις / kínêsis, qui signifie « mouvement ». . Définition[modifier | modifier le code] Pour un point[modifier | modifier le code] L'énergie cinétique d'un point matériel de masse inerte se déplaçant à une vitesse dans un référentiel donné vaut : avec Le coefficient est le facteur de Lorentz, est la vitesse de la lumière. peut être approchée par : Pour un solide[modifier | modifier le code] de masses et de vitesses . avec : or : .
conflictuel Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] Du latin conflictus (comme conflit, mais avec le « c » conservé), avec le suffixe -el. Adjectif[modifier | modifier le wikicode] conflictuel /kɔ̃.flik.tɥɛl/ Qui relève du conflit, qui peut causer un conflit. Apparentés étymologiques[modifier | modifier le wikicode] → voir conflit Traductions[modifier | modifier le wikicode] Des biens publics de très haute nécessité (version intégrale) Cessons de tergiverser. Si la culture ne devient pas aujourd'hui l'un des fers de lance des programmes de nos partis de gauche, nous aurons perdu, quoi qu'il advienne. Si leurs représentants ne perçoivent pas le caractère fondamental de l'enjeu, nous aurons - même en cas de victoire - cédé à la déferlante ultralibérale qui cherche à détruire à l'échelle mondiale les outils de l'esprit, pour réduire les humains à d'efficaces machines à produire et à consommer. De quoi parlons-nous ? Il s'agit de défendre, dans la grande filiation de l'Éducation populaire, la mise en circulation démocratique - et l'usage - des outils et des œuvres de l'esprit. Si ce combat est aussi fondamental que celui de l'écologie, c'est que ces outils et ces œuvres, de la langue qui nous constitue à tous les langages que nous avons inventés, inventons et inventerons, sont les premiers matériaux de la construction de l'humain. Un être humain pensant, rêvant, imaginant. Nicolas Roméas et Valérie de Saint-Do
Masochisme (psychanalyse) Pour Roudinesco et Plon, le « masochisme », mot inventé par Krafft-Ebing, relève avant tout du vocabulaire de la sexologie[1]. Freud va le reprendre « dans le cadre plus général d'une théorie de la perversion étendue à d'autres actes que les perversions sexuelles »[1]. Dans la terminologie proprement psychanalytique qui s'ensuivra, « masochisme » sera couplé avec « sadisme » pour donner le « sado-masochisme », vocable qui « s'est ensuite imposé dans la terminologie psychanalytique »[1]. Selon Geneviève Vialet-Bine, l'histoire de l'évolution du concept de masochisme chez Freud se déroulerait surtout entre 1905, date de la parution des Trois essais, et 1924, quand paraît Le problème économique du masochisme qui « conclura la question par un point d’orgue »[2]. Sigmund Freud reprend le terme « masochisme » dû au psychiatre germano-autrichien Richard von Krafft-Ebing qui l'a formé à partir du nom de Sacher-Masoch, auteur de La Vénus à la fourrure[3]. Portail de la psychologie
dimension Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] (xiv e siècle) Du latin dimensio, de dimetiri (« mesurer en tous sens »). Nom commun[modifier | modifier le wikicode] dimension /di.mɑ̃.sjɔ̃/ féminin (Mathématiques) Cardinal d’une base d’un espace vectorielLa dimension de l’ensemble des fonctions réelles de variable réelle est transfinie. Synonymes[modifier | modifier le wikicode] taille Dérivés[modifier | modifier le wikicode] Traductions[modifier | modifier le wikicode] Prononciation[modifier | modifier le wikicode] France : écouter « dimension [di.mɑ̃.sjɔ̃] » Voir aussi[modifier | modifier le wikicode] dimension sur Wikipédia Références[modifier | modifier le wikicode] Tout ou partie de cet article est extrait du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (dimension), mais l’article a pu être modifié depuis. Du latin dimensio. Dimension