Marché de la mode 2020 : analyse et perspective 2021 Selon l’Institut français de la mode (IFM), le marché de la mode a perdu environ 15 % de sa valeur depuis 2008. Les acteurs positionnés milieu de gamme ont quant à eux subi une baisse de leurs ventes de 5 % par an depuis 10 ans. En cause : la baisse de trafic, les arbitrages de budget ou encore la concurrence accrue. Sur un secteur en difficulté, choisir la franchise prend tout son sens, permettant de bénéficier de la mutualisation des coûts, ainsi que de la notoriété et de l’expertise de marques fortes. Ces dernières semaines, le monde de la mode a été bousculé par de nombreuses reprises d’acteurs historiques. Ainsi, en juillet dernier, La Halle entrait dans le giron du Groupe Beaumanoir. Autrefois pièce maîtresse du groupe Vivarte, La Halle a donc fait son entrée au sein du groupe malouin Beaumanoir. Le chausseur André passe quant à lui entre les mains de l'un de ses anciens patrons François Feijoo. Choisir une franchise de mode Koker Antonelle Esprit La Fée Maraboutée Nice Things Deeluxe
Les jeunes hommes mordus de mode - prêt à porter homme Après deux siècles de relative indifférence au cours desquels la société jugeait peu viril de s'intéresser à son look, les hommes redécouvrent le plaisir de se différencier, sans toutefois y apporter l'attention pointilleuse de leurs ancêtres en pourpoint et dentelles. Les moins de 30 ans sont particulièrement dépensiers dans ce domaine. Champions toutes catégories, les 15-19 ans investissent - ou plutôt, leurs parents - 677 € par an dans leur garde-robe quand le budget moyen des hommes ne dépasse pas 360 €. Si leurs dépenses diminuent quand se profile la trentaine, avant cet âge, les dandys ne boudent pas leur plaisir. C'est ce que montre l'étude réalisée en juin par l'Institut Français de la mode (IFM) auprès de la gent masculine. Fans de basiques siglés « Le recul des prix sur plusieurs années a été beaucoup plus important dans la mode féminine que masculine », relève Gildas Minvielle, responsable de l'observatoire économique de l'IFM. Une garde-robe riche et variée
Le marché du prêt-à-porter masculin Résumé du document Face à l'accélération des rythmes d'achats, les distributeurs ont augmenté leur offre en agissant sur la rotation des collections, car ne dit-on pas qu'« une belle vitrine stimule l'appétit de mode des consommateurs » ? Effectivement en 2006, l'offre était de deux collections par saison, soit quatre par an, mais les plus grands distributeurs et marques européens prévoient, en 2010, de passer à pas moins de trois collections par saison en moyenne, soit sept collections par an (...) Sommaire I) Analyse du marché d'un point de vue de l'offre A. II) Analyse du marché du point de vue de la demande A. Conclusion Extraits [...] [...] [...] [...] [...] Evolution de la tendance de consommation de l'homme et de ses vêtements | BW-YW Quelle est la matière ? D’où elle vient ? Comment a été tanné le cuir de ce blouson ? Vous connaissez la marge de cette marque ? Oui mais si vous soldez, c’est que vous gagnez encore beaucoup dessus ? L’homme, ce personnage qui n’achète pas comme les femmes Cela fait maintenant quelques années, comme pour les cosmétiques homme, que l’on nous annonce le vêtement masculin comme le nouvel Eldorado, le bitcoin physique du moment ; malheureusement la réalité est bien souvent différente. L’homme achète son jean bleu brut et en toile selvedge parce que c’est un basique qui sera toujours utile dans 10 ans. Et quand son produit ne lui plait plus ? Il est d’ailleurs de plus en plus difficile, hors contexte de la “hype” de vendre du “beau” à la clientèle masculine qui elle, recherche du bien fait, du durable, et veut savoir ce qu’il y a sous le capot de sa nouvelle veste en laine italienne. Vers une conscience du produit, des circuits de distribution, des marges, des provenances (cf. ici)
Le marché français textile habillement se transforme sous l'influence des consommateurs L’institut Kantar Worlpanel avait fait un premier bilan en octobre 2018 dans l’univers du textile et de l’habillement* en France. Le constat publié via son Référenseigne Expert Fashion 2018 était pour le moins pessimiste: le secteur tourne au ralenti, avec des performances globales au début de l’année 2018 inférieures à celles des 5 dernières années et un marché qui a perdu 10% de sa valeur en 10 ans. Et le bilan annoncé tout récemment par l’Institut français de la mode (IFM) est lui encore plus sévère. L’année 2017 avait pourtant, avec une stabilité du marché à +0,6% de croissance versus 2016, relancé les espoirs d’une nouvelle dynamique du marché. Sur les 10 premiers mois de l’année 2018, le marché de l’habillement masculin enregistre ainsi un recul de -3,6%, tandis que l’habillement féminin recule lui de -2,3% et l’habillement enfant de -3%. Une spécificité française? Plusieurs facteurs sont à l’origine de ce mouvement. De nouveaux leaders se positionnent donc, comme Intersport.
Marché et Produits | Marchés et produits Les marchés de la mode désignent les informations factuelles (descriptives) et chiffrées relatives à un produit ou un ensemble de produits de mode. On parle ainsi de marché du prêt-à-porter féminin, du marché de l’accessoire, du luxe... C’est un secteur hétérogène qui rassemble une dizaine de grandes entreprises et des centaines de PME intervenant sur des segments très différents : vêtements de dessus pour femme, vêtements de dessus pour homme, vêtements de dessous (lingerie, sous-vêtements), accessoires et maroquinerie, chaussures et articles chaussants, vêtements sur mesure, vêtements de travail... Par extension, les marchés désignent aussi l’ensemble des individus concernés par le ou les produit(s) : industriels, artisans, façonniers, stylistes, réseaux de distribution, commerçants, consommateurs... Le secteur de la mode (tous segments confondus), c’est*... - 4 880 entreprises. - 45 113 salariés - 10 milliards d'euros HT de CA, dont : *Sources : Douanes, UFIH, IFM
Non, les enseignes de prêt-à-porter ne font pas toutes faillite à cause de la crise du Covid-19 Après Naf Naf, Camaïeu, André ou encore La Halle, la marque Celio est à son tour emportée par la crise. L'enseigne de prêt-à-porter masculin a demandé lundi son placement en procédure de sauvegarde. La liste des entreprises textiles en difficulté s'allonge un peu plus chaque jour. Mais si toutes se disent victimes du coronavirus, la réalité semble plus nuancée. "Le coronavirus a bon dos." En un peu plus de dix ans, les ventes d'habillement ont chuté de 15%. "Donc c'est un marché en cours d'écrémage, puisqu’il y a trop d'acteurs, aussi bien en France qu’au niveau mondial", poursuit cet économiste.
Infographie : le marché de l’habillement, quels sont les chiffres du secteur ? Le prêt-à-porter est à la peine depuis plusieurs années, en témoignent les nombreuses fermetures de magasins et les difficultés de certains grands noms comme le groupe Vivarte. Certains créneaux restent toutefois porteurs. Un secteur qui séduit les créateurs d’entreprise Dans un pays où ont grandi un grand nombre de célèbres créateurs de mode comme Coco Chanel ou Yves Saint Laurent, il n’est pas étonnant de constater que les boutiques d’habillement ont fleuri aux quatre coins de la France. La domination des multimarques Sur le marché de l’habillement, les magasins indépendants et multimarques sont légion et représentent à eux seuls 60 % de tous les points de vente. Crédits photo : Inkidata pour Les Echos de la franchise Si les commerçants multimarques dominent ce marché en nombre, ce sont des géants succursalistes, à l’instar du suédois H&M, de l’espagnol Zara ou de l’irlandais Primark, qui mènent le jeu. Le prêt-à-porter à la peine (Crédit photo : Shutterstock)
Marché du prêt à porter Marché général Selon une étude réalisée par le cabinet XERFI, spécialisé en études économiques sectorielles sur la distribution de prêt-à-porter féminin, la reprise ne sera pas pour 2011 malgré une légère reprise sur 2010. Ses prévisions sont même à la baisse avec une diminution de 2% en volume et près de 1% en valeur.....ce qui n'est pas si catastrophique, avouons-le. Pour les ménages dont le pouvoir d’achat stagne, les dépenses en vêtements des Français représenteront moins de 2% de leur consommation. Pour les distributeurs, à cette baisse de demande vient s’ajouter l’augmentation des matières premières comme le coton et l’augmentation du coût du travail des pays principaux approvisionneurs (Chine et Bengladesh). Côté centrales d’achat, l’heure est à la refonte de leur stratégie : approvisionnement , redéfinition de leur offre et de leur réseau de distribution. demandePret à porter masculin En 2009, les ventes en ligne ont progressé de 13% sur un marché en repli de 3%. a. b. c. d.
Prêt-à-porter: les femmes dépensent-elles toujours plus que les hommes ? En matière de garde-robe, les règles de grammaire sont à prendre avec des pincettes car l'adage "le masculin l'emporte" n'y fait pas loi. Chaque année, la consommation de prêt-à-porter féminin en France dépasse celle du prêt-à-porter masculin de plus de 20% comme le montre le graphique ci-dessus, issu d'une étude de l'Institut Français de la Mode (IFM) à paraître en octobre. Un chiffre révélateur d'une tendance de fond. "Sur 100 euros dépensés dans des vêtements, un peu moins de 60 euros sont consommés par la femme, 30 euros par l’homme, et le reste par l'enfant", résume Lionel Guérin, directeur de la Fédération Française des Industries du Vêtement Masculin. Les hommes ignorent la "fast fashion" L'explication? Autre facteur qui rentre probablement en compte: la réticence masculine à faire du shopping. L'écart se creuse Mais les femmes pourraient ne pas conserver éternellement l'avantage. Inversion de tendance au premier semestre Un chiffre révélateur d'une tendance de fond. L'explication?
Prêt à porter en Bourse : notre analyse des tendances du marché Découvrez notre analyse du marché du prêt-à-porter mondial : quel avenir pour cette industrie fortement affectée par la crise relative au Covid-19 ? Quelles tendances du marché de la mode pour 2023 ? Comment l’industrie du textile doit-elle se réinventer à l’aune du changement climatique ? Prêt à porter : présentation du marché de la mode Qu’appelle-t-on prêt à porter ? Le prêt-à-porter est un type de vêtement produit en masse, conçu et fabriqué pour être porté tous les jours. Freedom 24 : recevez jusqu’à 20 actions gratuites pour votre dépôt jusqu’au 31/12/24* *Votre capital est assujetti à un risque Chiffres-clé du secteur textile et vêtement Quelques éléments de taille de marché En raison de la pandémie de Covid-19, le secteur du prêt-à-porter a connu une baisse de 22 % en 2020 par rapport à 2019, et on estime que la taille du marché mondial du prêt-à-porter était d’environ 1,5 milliard de dollars en 2020. Le marché du prêt à porter et de la mode mis à l’épreuve L’e-commerce explose
Les hommes trentenaires, nouvelles cibles privilégiées des marques de vêtements Mis à mal par une crise qui n'en finit pas de plomber l'économie, le secteur du prêt-à-porter devrat-il son salut à l'intérêt de plus en plus marqué des hommes pour la mode? C'est ce que suggère le dernier rapport de l'Institut français de la mode consacré au marché masculin. Bien qu'elle ne porte que sur la France, l'étude établit clairement que, sur la période allant de 2007 à 2012, la consommation de vêtements masculins a mieux résisté à la récession que la mode féminine. L'enquête s'est aussi intéressée plus particulièrement aux trentenaires, qualifiés par Patricia Romatet, coauteure de la recherche, de "génération de transition" par rapport à leurs pères, moins intéressés qu'eux par leur look, un mot qu'ils préfèrent au terme "mode", dont la connotation trop féminine véhicule à leurs yeux des notions de versatilité et de superficialité. Avoir quelques pièces haut de gamme Les grandes marques dans le vent Le boom de la mode masculine Services en magasin Occuper le web
Vers un nouveau recul de la consommation habillement en 2019 ? - Actualité : business (#1043022) Publié letoday 6 déc. 2018 Alors que l'année devrait se terminer pour le textile-habillement sur un recul de 2,9 % des ventes, l'Institut Français de la Mode (IFM) table pour le futur exercice sur une baisse plus contractée de 0,9 %, témoignant d'un mouvement de fond. L’optimisme occasionné par le (petit) retour à la croissance à +0,6 % de l’exercice 2017 semble bien loin, selon les chiffres avancés à l’occasion du séminaire Perspectives Internationales de l’institut. « Il faut interpréter le réveil de l'année derrière comme une parenthèse, pour Gildas Minvielle, directeur de l’Observatoire économique de l’IFM. Nous sommes dans une phase de refondation, le secteur du textile-habillement bascule dans un nouveau modèle. Depuis 2007, les distributeurs ont perdu 15,1 % de leur chiffre d’affaires. » Publicités fiber_manual_record Internet, qui n’est plus, et de loin, l’apanage des pure players, continue sa croissance.
Les ventes de prêt-à-porter encore (et... Le bout du tunnel, enfin ? Disons que si ce n’est pas gagné, encore, c’est peut-être en bonne voie. Certes, au premier semestre 2015, les ventes globales d’habillement ont encore reculé de 0,4%, selon la Fédération française du prêt-à-porter féminin mais, pour le second semestre, les perspectives sont plutôt bonnes. "Pour l’ensemble de l’année 2015, explique François-Marie Grau, délégué général de la Fédération, la consommation des ménages français est attendue en croissance de 1,5%, la plus forte hausse depuis 2010. Or il y a généralement une forte corrélation entre cette évolution et les achats de vêtements." Les hommes, mieux que les femmes Un brin d’optimisme ne peut faire de mal. Pour autant, cela ne reste encore que potentiel. Le procès des soldes Et comment, dans cette morosité ambiante, ne pas faire le procès des soldes ? Découvrez les parts de marché des ventes d'habillement, au premier semestre 2015, par circuits de distribution :