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La Société du spectacle (livre)

La Société du spectacle (livre)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Société du spectacle est un essai de Guy Debord publié initialement le 14 novembre 1967 chez Buchet/Chastel. Le livre connut un retentissement considérable après les événements de Mai 68. L'ouvrage est composé de 221 « thèses » et subdivisé en neuf chapitres comme suit : I. « la séparation achevée »II. « la marchandise comme spectacle »III. « unité et division dans l'apparence »IV. « le prolétariat comme sujet et comme représentation »V. « temps et histoire »VI. « le temps spectaculaire »VII. « l'aménagement du territoire »VIII. « la négation et la consommation dans la culture »IX. « l'idéologie matérialisée » Le livre est agencé comme un essai politique et vise à exposer son sujet de manière assertive. La Société du spectacle est essentiellement une critique radicale de la marchandise et de sa domination sur la vie, que l'auteur voit dans la forme particulière de l'« aliénation » de la société de consommation. Related:  BibliographiePhilosophie

La Reproduction Cet ouvrage présente la synthèse théorique de recherches dont le livre Les Héritiers, en 1964, marquait la première étape. À partir de travaux empiriques sur le rapport pédagogique, sur l’usage lettré ou mondain de la langue et de la culture universitaires et sur les effets économiques et symboliques de l’examen et du diplôme, se construit une théorie générale des actions de violence symbolique et des conditions sociales de la dissimulation de cette violence. Livre 1. Fondements d’une théorie de la violence symbolique Livre 2. Appendice – Index ISBN PDF : 9782707338419 ePub : 9782707338402 Prix : 10.99 € En savoir plus

Guy Debord Œuvres principales Biographie[modifier | modifier le code] Origines, jeunesse et contexte historique et culturel[modifier | modifier le code] Guy Debord naît dans une famille aisée, son grand-père maternel d'origine italienne Vicenzo Rossi ayant reçu de ses parents une petite entreprise de chaussure de luxe dans le XXe arrondissement de Paris, qui, malgré le temps de guerre, a pu échapper à toutes les privations[4]. Cependant, la mort prématurée de ce grand-père en 1927 va entraîner le lent déclin de la manufacture familiale, son épouse Lydie Fantouillier, née à Limoges, ne se révélant pas dotée du sens des affaires[5], pas plus que sa fille unique, Paulette qui épouse le 28 mars 1931, à pas même vingt ans, Martial Debord, son aîné de seize ans, brave soldat multidécoré de la Grande Guerre et préparateur en pharmacie, originaire comme Lydie sa mère de la région limousine[6]. En 1951-1952, selon les propres mots de Debord, « jamais… le champ de bataille n'avait été aussi vide[8] ». F.

No Logo 1999 nonfiction book by Naomi Klein Focus[edit] While globalization appears frequently as a recurring theme, Klein rarely addresses the topic of globalization itself, and when she does, it is usually indirectly. Summary[edit] The book comprises four sections: "No Space", "No Choice", "No Jobs", and "No Logo". "No Space"[edit] The book discusses how brand names such as Nike or Pepsi expanded beyond the mere products which bore their names, and how these names and logos began to appear everywhere. Klein argues that large multinational corporations consider the marketing of a brand name to be more important than the actual manufacture of products; this theme recurs in the book, and Klein suggests that it helps explain the shift to production in Third World countries in such industries as clothing, footwear, and computer hardware. "No Choice"[edit] Also discussed is the way that corporations abuse copyright laws in order to silence anyone who might attempt to criticize their brand. Awards[edit]

Mouvements sociaux : le jeu médiatique en vaut-il la chandelle ? La grève générale reconductible du 5 décembre contre la réforme Macron-Delevoye des retraites n’a même pas été lancée qu’elle a déjà été qualifiée par les éditorialistes de moment « charnière » du quinquennat. Craignant un hiver « explosif », le gouvernement opte pour une stratégie de mise en scène d’un dialogue social qu’il a pourtant, soulignent ses opposants, largement contribué à mettre à mal. Or cette médiatisation de la contestation sociale, régulièrement critiquée pour sa partialité et son spectacularisme, mérite en soi une analyse, tant elle révèle les capacités inégales des sources gouvernementales et militantes à définir le sens de l’action collective. Militantisme de prime time Les travaux de sciences sociales sont particulièrement prolifiques depuis vingt ans sur le sujet. La surreprésentation de la violence protestataire La fabrique de l’information Dans Faire l’opinion. Pas tous égaux face aux médias Le coût militant « insensé » du média-centrisme Des médias alternatifs

La Distinction “ Pour distinguer si une chose est belle ou ne l’est pas, nous n’en rapportons pas la représentation à son objet au moyen de l’entendement et en vue d’une connaissance, mais au sujet et au sentiment de plaisir ou de déplaisir. (…) Le jugement de goût (…) est donc esthétique. ”Ainsi commence la Critique du jugement dans laquelle Kant se livre à une “ critique du goût ” pour arriver à une définition du beau comme une “ finalité sans fin ”.D’après lui, quand nous disons c’est beau, nous ne voulons pas dire simplement c’est agréable, nous prétendons à une certaine objectivité, à une certaine nécessité, à une universalité. En faisant de La Distinction une critique sociale du jugement, Pierre Bourdieu bouleverse d’emblée des catégories sur le Beau, l’art et la culture, qui n’avaient jamais été remises en question. ‑‑‑‑‑ Table des matières ‑‑‑‑‑ Première partie : Critique sociale du jugement de goûtChapitre 1. Deuxième partie : L’économie des pratiquesChapitre 2. Conclusion. Post-scriptum.

Enzo Traverso Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Traverso. Biographie[modifier | modifier le code] Après avoir étudié l’histoire contemporaine à l’Université de Gênes, Enzo Traverso s’installe à Paris, en 1985, où il obtient son doctorat à l’EHESS, en 1989, sous la direction de Michael Löwy. Ses recherches portent sur l'histoire politique et intellectuelle du XXe siècle, ainsi que sur l'histoire sociale et culturelle des violences du monde contemporain. Enzo Traverso fut membre de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) (jusqu'à la disparition de ce mouvement en 2009) et contribuait à ce titre aux publications Rouge et Critique communiste. Ses travaux[modifier | modifier le code] Il est spécialiste de la philosophie juive allemande, du nazisme, de l'antisémitisme et des deux guerres mondiales. Enzo Traverso analyse les parallèles entre nazisme et stalinisme. Publications[modifier | modifier le code] Les marxistes et la question juive. Le totalitarisme.

Simulacres et Simulation Le chapitre « La précession des simulacres » s'ouvre sur une épigraphe paraphrasant l'Ecclésiaste, qui donne une première définition du simulacre : « Le simulacre n'est jamais ce qui cache la vérité – c'est la vérité qui cache qu'il n'y en a pas. Le simulacre est vrai. »[1] À l'aide de la métaphore de la carte, empruntée à un récit de Jorge Luis Borges dans lequel les cartographes de l'Empire dressent une carte si détaillée qu'elle finit par recouvrir très exactement le territoire, Baudrillard délimite la problématique du simulacre : « Le territoire ne précède plus la carte ni ne lui survit. Pour définir le simulacre, Baudrillard cherche à cerner l'acte de simuler, par contraste avec l'activité connexe de feindre : « Dissimuler est feindre de ne pas avoir ce qu'on a. Il s'intéresse également aux cas des iconoclastes qui ont saisi que l'image de la divinité était sacrilège non pas parce qu'elle représentait le divin, mais parce qu'elle le faisait disparaître derrière elle.

Internet et le renouvellement de l’engagement politique - Manuel numérique max Belin Il est clair que l'on s'informe de plus en plus sur YouTube ou sur les réseaux sociaux et de moins en moins par les journaux ou la télévision… Un seul chiffre pour donner une idée de la dynamique qui est à l'œuvre : les réseaux sociaux constituent la 1re source d'information pour plus de 40 % des jeunes électeurs en France. Et ce mouvement est en progression : aux États-Unis, durant la campagne électorale de 2016, ce taux dépassait les 60 %. En matière d'occupation du terrain numérique, le candidat de la France Insoumise [Jean-Luc Mélenchon] fait très fort […] : sa chaîne YouTube cumule plus de 20 millions de vues, les commentaires y sont innombrables et témoignent de l'adhésion d'une jeunesse pas toujours très politisée, mais très perméable à son côté vieux-prof-sympa-qui-vous-explique-quoi-penser des événements du monde.

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