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Dire Straits - Money For Nothing

Dire Straits - Money For Nothing

http://www.youtube.com/watch?v=wTP2RUD_cL0

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Les musiques urbaines, ou la subversion des codes esthétiques occidentaux. Régis Meyran Nous proposons ici quelques réflexions formulées à partir d’une ethnographie de plusieurs formations de musiciens du milieu des musiques urbaines, c’est-à-dire dans ce vaste ensemble incluant le slam, le hip-hop, les musiques électroniques et les musiques improvisées, dans l’idée de cerner les techniques musicales mises en œuvre, ainsi que les discours et représentations qui leur sont associés[1]. Ce faisant, nous chercherons à comprendre la façon dont des identités collectives (musicales, sociales et culturelles) se fabriquent et se transmettent. Ce travail se fonde sur des observations ethnographiques faites à Paris et en banlieue parisienne sur plus d’une dizaine d’années (2000-2012). Musiques et cultures urbaines.

Une chanson des "Misérables" devient l'hymne des manifestants à Hong Kong l'essentiel Alors qu'ils sont rassemblés depuis quelques jours à l'aéroport international de Hong Kong, des milliers de manifestants pro démocratie ont de nouveau entonné "Do You Hear the People Sing?", un titre de la comédie musicale "Les Misérables", adaptée du roman de Victor Hugo. Cette chanson est devenue, depuis le début des manifestations, l'hymne de ralliement des opposants. Depuis cinq jours, l'aéroport international de Hong Kong est le théâtre d'un sit-in pacifique de milliers de manifestants. Par cette action originale, ils cherchent à sensibiliser les voyageurs à leur cause.

Les tubes et les sketches des «gilets jaunes»: l'univers culturel fragmenté de la France populaire Temps de lecture: 19 min «Ça vient d’un délire dans mon camion.» C’est par ces mots simples que le rappeur amateur Kopp Johnson explique comment il a trouvé l’inspiration pour composer sa chanson «Gilet jaune», postée sur YouTube le 23 novembre. Mouvement punk Influences[modifier | modifier le code] Arrière-scène du 924, Gilman Street. Plusieurs acteurs de la scène musicale de ce temps prennent les Sex Pistols pour des enfants. Jerry Nolan, batteur de New York Dolls.

"Le déserteur" de Vian : le destin exceptionnel d'un hymne pacifiste Le 15 février 1954, Boris Vian, génial touche-à-tout qui se perçoit alors comme un raté, griffonne sur une table de bar parisien une chanson qui va susciter une java d'enfer : "Le déserteur". "Monsieur le Président/ Je vous fais une lettre/ Que vous lirez peut-être/ Si vous avez le temps/ Je viens de recevoir/ Mes papiers militaires/ Pour partir à la guerre/ Avant mercredi soir/ Monsieur le Président/ Je ne veux pas la faire/ Je ne suis pas sur terre/ Pour tuer des pauvres gens/ C'est pas pour vous fâcher/ Il faut que je vous dise/ Ma décision est prise/ Je m'en vais déserter.. Aux origines du chant populaire "Bella Ciao" C'est un rythme italien qui reste en tête dès qu'on l'entend. Repopularisé il y a quelques années par une célèbre série, vous croyez peut-être tout connaître de la véritable histoire de cette musique. Pourtant les origines de la chanson Bella Cia origines restent floues, mélangeant faits historiques et légendes urbaines.

La jeunesse alsacienne dépoussière le schlager, style de variété allemande Temps de lecture: 6 min Mai 2019. Anne-Laure, 30 ans, et Thomas, 27 ans, viennent de se dire «oui» au cœur d'un petit village bas-rhinois d'à peine 500 âmes. Comme pour la plupart des jeunes de leur âge, la cérémonie religieuse est rapidement balayée par l'effervescence d'une grosse fête à l'approche. Les sonorités pop, rock et RnB n'ont d'ailleurs pas tardé à faire lever quelques convives de leurs sièges.

Spotify dévoile une cartographie des goûts musicaux Londres se passionne pour le hip hop de Krept and Konan et le rock branché d'Everything Everything. Sydney en pince pour le producteur électro Golden Features. Brasilia vibre au son du rap local. Les musiques en Afrique, révélateurs sociaux Dans les sociétés africaines rurales, la musique était, et demeure souvent, omniprésente: il n’est pas de moment important de la vie d’un groupe, sinon d’un individu, qui ne soit accompagné de chants et de danses, soutenus ou non par des instruments ; certains expriment et représentent le pouvoir ; d’autres scandent les âges de l’existence, entraînent aux activités productives, suscitent le plaisir de la parole. Puisqu’il n’est d’activités humaines sans musique, celle-ci évolue avec elles ; elle change, emprunte, indiquant ainsi quelles mutations sont en cours et comment elles sont vécues. La colonisation, l’urbanisation, les bouleversements consécutifs aux indépendances ont résonné dans d’innombrables musiques inventées aux quatre coins du continent au long du xxe siècle. Chansons et airs à danser ont décrit les réalités nouvelles ; ils ont exprimé des sentiments sur la manière dont se réorganisaient les sociétés, dont étaient répartis les pouvoirs et les avantages qui en découlent.

Nos goûts musicaux ont peut-être une origine culturelle Temps de lecture: 2 min — Repéré sur CNN Les scientifiques pensaient que notre affection pour certaines musiques était enracinée dans notre cerveau. Mais une nouvelle étude suggère que nos goûts musicaux seraient plutôt liés à nos origines culturelles. La préférence pour les consonances (unions de notes harmoniques, contraire à la dissonance) varierait suivant les pays; les cultures occidentales, notamment, en seraient fans. Pour son travail de recherche, Josh McDermott, professeur adjoint des sciences cognitives au Massachusetts Institute of Technology et auteur principal de l’étude, s’est rendu au fin fond de l’Amazonie, avec ses collègues –précisément à Tsimane, dans le nord-ouest de la Bolivie.

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