Comment le big data peut aider les banques à reconquérir leurs clients Près de 42 milliards de dollars. Ce devrait être le poids, en 2018, du marché mondial des technologies et services liés au "big data", un montant qui représente une croissance annuelle de 26,4% en moyenne, selon une étude publiée le 15 septembre par le cabinet IDC. Mais qu'est-ce donc que le big data ? Cette terminologie - qui fait débat car elle est inspirée du Big Brother du roman 1984 de George Orwell - a pour signification la collecte et l'analyse des énormes masses de données générées par l'explosion de l'usage d'Internet. Dans quel but ? Avec Internet, les clients ont pris l'avantage dans la relation bancaire S'il est un secteur au sein duquel le big data pourrait faire merveille, c'est bien celui de la banque. Ensuite, les banques sont aujourd'hui à un tournant dans leurs relations avec leurs clients. "Avec l'usage d'Internet, la communication entre les banques et leurs clients s'est complètement inversée. Un taux de bancarisation de 98% en France
Animation et motivation de la force de vente La motivation de la force de vente peut être vue comme la recherche de la réduction d’un besoin (ou d’une tension) Quels sont les différents besoins ? En synthèse, d’après les travaux de Maslow, Herzberg et Hugues, les besoins peuvent être classifiés comme suit : La satisfaction des besoins humains joue dans deux directions : – la recherche de l’accomplissement à travers l’action – le fait d’éviter le déplaisir que peut provoquer l’environnement Il s’agit au niveau du management d’une force de vente : – D’entretenir les facteurs de la motivation par : Les conditions de salaire, de travail et de sécurité.Le fait d’avoir une politique d’encadrement et de relations personnelles adéquates. – Amener le vendeur à se dire : Mon travail est important donc je suis importantMon travail est valable donc je suis valableMon travail est un défi que je suis capable de releverJe m’améliore donc je progresseJe suis responsable donc je compte ! Techniques d’animation Exemples :
Mailchimp Le portail dédié au management des processus Les bonnes pratiques de CobiT sont le fruit d’un consensus d’experts. Elles sont très axées sur le contrôle au sens maîtrise et moins sur l’exécution. Elles ont pour but d’aider à optimiser les investissements informatiques, à assurer la fourniture des services et à fournir des métriques auxquelles se référer pour évaluer les dysfonctionnements. COBIT est en permanence tenu à jour et harmonisé avec les autres standards. Le cadre de référence de contrôle de COBIT facilite la mise en place d’une gouvernance des SI en : - établissant un lien avec les exigences métier de l’entreprise, - structurant les activités informatiques selon un modèle de processus largement reconnu, - identifiant les principales ressources informatiques à mobiliser, - définissant les objectifs de contrôle à prendre en compte. L’évaluation de la capacité des processus au moyen des modèles de maturité de COBIT élément clé de la mise en place d’une gouvernance des SI.
Sécurité numérique de l’entreprise… Un serious game ! Devenir ange gardien de la sécurité numérique de son entreprise… le serious game « Keep an Eye » Si la Data, « big ou smart, voire quantique », est aujourd’hui quasi unanimement considérée comme le nouvel « or noir » pour l’entreprise, elle en est ainsi d’autant plus convoitée, donc vulnérable ! Aucun système d’information n’est plus à l’abri d’une intrusion… C’était déjà le maitre mot circulant aux Assises de la Sécurité des SI début octobre 2013. C’est pourquoi le CIGREF, très impliqué dans la sécurité des usages numériques, travaille à l’élaboration d’un outil permettant de faire passer la culture du risque en entreprise. Aujourd’hui, très sollicité à la fois par l’impatience des entreprises fortement impliquées dans la sécurité de leur SI et par les médias1, le CIGREF lève un coin du voile et nous fait découvrir le teaser de « Keep an Eye », alors même que le jeu aborde la dernière ligne droite de sa réalisation… La philosophie du serious game « Keep an Eye » en quelques mots
Elaborer un plan de rémunération efficace - À la une - actionco.fr Concevoir un système de rémunération performant Pierre angulaire de votre stratégie commerciale, votre plan de rémunération vous permet d'orienter vos commerciaux vers le cap souhaité. Entre fixe et variable, objectifs quantitatifs et qualitatifs... plusieurs leviers permettent d'agir, à condition de savoir comment les actionner. «Un plan de rémunération, ça ne se gribouille pas à la va-vite sur un coin de table », annonce d'emblée Christophe Lasserre Ventura, dirigeant associé de Primeum, cabinet spécialisé dans la rémunération variable. Définir le bon ratio fixe/variable Vos commerciaux, sauf exception (comme les VRP qui touchent 100 % de variable), sont rémunérés à la fois sur une partie fixe et une autre variable. « La rémunération fixe rétribue la compétence, tandis que le variable récompense la performance » , analyse Thierry Magin, associé-gérant de MCR Groupe. Un variable aux multiples critères Des objectifs en lien avec votre stratégie Récompenser la qualité Repères Points forts
L’Inde interdit 118 applications chinoises, dont « PUBG Mobile » Dans un contexte de tensions diplomatiques entre la Chine et l’Inde, les autorités indiennes ont annoncé, mercredi 2 septembre, l’interdiction sur tout son territoire de 118 applications pour smartphone développées en Chine. Parmi elles, l’un des jeux pour mobile les plus populaires du pays : PUBG Mobile. Selon le cabinet d’analyse App Annie, ce jeu développé par un conglomérat chinois est l’application mobile générant le plus de revenus en Inde. Dans un communiqué, le ministère des technologies indien a déclaré que PUBG Mobile et les 117 autres autres applications se « livraient à des activités qui portent préjudice à la souveraineté et à l’intégrité » du pays. Le gouvernement accuse notamment ces logiciels de « voler et [de] transmettre les données de leurs utilisateurs de façon non autorisée à des serveurs situés hors d’Inde. » Un jeu très populaire en Inde PUBG Mobile, justement, est développé par Tencent, la plus grande entreprise de Chine dans le domaine des jeux vidéo. Le Monde
Du "big data" pour trouver des prospects ? Une étude d'octobre 2014 montre que près de 70 % des entreprises en France prospectent encore sans technologie, sans indicateurs, sans prévisionnel et sans véritable organisation commerciale... Les entreprises françaises semblent encore très éloignées des technologies de prospection qui sont massivement adoptées à l'étranger.Selon une étude qui vient de sortir sur la prospection B2B , seules 30% des sociétés ont commencé à industrialiser leur façon de trouver leurs prospects, en mettant en place des équipes marketing/ventes spécialisées, des indicateurs de mesure de la prospection, ou des outils spécifiques pour la prospection commerciale. Cette étude nous montre à quel point la plupart de nos équipes commerciales fonctionnent encore en artisanat, là où les concurrents étrangers sur-investissent dans la formation et l'équipement de leurs forces de vente.Le chiffre le plus terrible qui ressort de cette étude : 40 % des entreprises avouent n’avoir aucun suivi chiffré de leur prospection !
Comment utiliser le cloud sans risque Stocker films, photos, musique et données en ligne, c'est pratique. Mais ça peut aussi être imprudent. Nos conseils pour profiter du cloud, sans nuages. Les chiffres donnent le vertige : fin 2014, il y avait environ 300 exabytes de données stockées dans le cloud au niveau mondial, soit 7% des données produites sur terre. L'équivalent de 450 milliards de DVD, de 90.000 milliards de photos ou de MP3 ou encore de 37 milliards de milliards de pages de texte ! On estime qu'un Européen sur cinq utilise déjà le cloud pour sauvegarder des fichiers et les partager. Côté entreprises, le cloud permet de recourir à des logiciels en ligne, sans avoir à les installer sur l'ensemble des postes des utilisateurs. 1. Globalement, oui. 2. Le cloud n'étant pas infaillible, toute donnée potentiellement sensible ne devrait pas s'y trouver. 3. Dans d'immenses data centers répartis sur quatre continents. 4. Non, certains ont même démontré leur légèreté. 5. 6. 7. 8. Le cloud ne fonctionne qu'avec Internet. 9.
Ce que cache l'accélération surprise de la croissance française - L'Express L'Expansion Après l'alignement des planètes, les grandes marées. A en croire les premières estimations de l'Insee publiées ce mercredi, la conjoncture, rendue favorable par les baisses conjuguées du pétrole, de l'euro et des taux d'intérêt, se traduit enfin par un net regain de croissance. Sur le premier trimestre 2015, ce devrait être 0,6% de richesses produites en plus. Mieux que prévu En avril dernier, l'Insee tablait seulement sur une croissance de 0,4% du PIB au premier trimestre. Mieux que la zone euro Mais la véritable surprise, c'est que la France, longtemps décrite comme l'un des cancres de la zone euro, fait mieux que la moyenne de ses voisins embarqués comme elle dans la galère de la monnaie unique. Mieux que l'Allemagne Dans la même veine, Michel Sapin savourera probablement la comparaison des chiffres franco-allemands. La consommation redémarre Côté français, c'est sans surprise la consommation des ménages qui fait office de moteur à cette croissance retrouvée et qu'on espère durable.