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- Géographie
City of Tomorrow - CNN.com About this project The city of tomorrow might already be here. Right now, 21st century challenges like greenhouse gases, crime and high energy costs — are being met worldwide with real innovation. In the coming years communities will grow at an amazing pace. The United Nations predicts by 2030, 60% of the world will live in cities. Demand for clean air, water, energy — and convenience — will skyrocket. Along with emerging innovations, increased connectivity via the Internet and smart devices promises to help solve many of these threats. Imagine turning the ocean into drinking water, ending traffic jams, making policing smarter and creating buildings with zero carbon footprints. The conversation is happening now at #CityofTomorrow on @CNN and Futuristic buildings Some buildings — even though they may be old — have very futuristic-looking designs. See the amazing photographs »
Notion à la une : shrinking city Bibliographie | citer cet article | français | Deutsch Le regard des enseignants Shrinking city ou « ville rétrécissante », est une notion complexe à laquelle les professeurs sont de plus en plus confrontés en abordant en terminale la mondialisation et le continent américain (en DNL ou non) Ce court article permet de comprendre la complexité de la notion avec des exemples concrets, européens pour la plupart. L’article permet d’actualiser les connaissances et d’améliorer la maîtrise de ce concept assez récent dans la géographie scolaire et de ne pas le cantonner au seul continent américain, ouvrant l’utilisation de la notion vers les horizons des programmes de seconde et de première. A. La shrinking city fait partie de ces notions au nom trompeur, dont la traduction stricte en ville rétrécissante ne colle souvent pas à la réalité observée. La ville de Leipzig 1918-2016 : le même nombre d’habitants, un fort étalement Un autre exemple de shrinking city qui s'étale : Baltimore aux États-Unis
La ville de l’avenir sous le crayon des collégiens. In : Visions carto. CARTOGRAPHIER AU COLLEGE. 1 -Neptunia, verte et bleue Carte et texte de Manon Boisseau, classe de sixième, Paris. « Depuis le réchauffement climatique, certains continents comme l’Amérique, l’Océanie et l’Antarctique ont disparu, mais quelques îlots de terre sont restés émergés. Voici un grand archipel composé de cinq petites îles. La quatrième et la cinquième sont situées à l’ouest. L’archipel central regroupe les logements des habitants. Pour se déplacer, les habitants vont à pied sur des passerelles ou circulent dans des tubes sous-marins, à vélo ou en roller, en bateau ou à travers des tubes sous-marins pour aller d’une île à l’autre. L’électricité est consommée (stockée ?) Sous l’eau, on peut rejoindre le centre commercial et des salles de sport avec piscine, patinoire, gymnase... Les habitants espèrent que ce mode de vie fera ainsi redescendre le niveau de l’eau, qui peut à tout moment monter à cause de la pollution. 2 - Dômiville vous surveille Carte et texte de Léopold Marchand, classe de cinquième, Paris.
Voilà à quoi va ressembler le smartphone du futur Plus besoin de chargeur, quasi incassable, holographique, le smartphone du futur sera bientôt entre vos mains. Apparu dans les années 90, le téléphone portable est l'objet de notre quotidien qui a connu le plus d’innovations depuis sa création. Bien plus qu'un simple téléphone, le smartphone n'a eu de cesse de multiplier les fonctionnalités, intégrant appareil photo, caméra, GPS, agenda, connexion 3G puis 4G... Les progrès ont été fulgurants et il serait légitime de penser qu'une technologie qui a évolué aussi rapidement va forcément finir par atteindre sa limite, et pourtant... Flexibles à l'extrême, ultra légers, incassables La technologie flexible, dont Samsung est un des fers de lance, permettra bientôt de créer des écrans 5 pouces ajustables en bracelet. Téléphone flexible du futur Et les smartphones du futur seront également 100% incassables. Il sera possible de téléphoner en milieux hostile, sous l'eau ou sur un chantier sans craindre un décès prématuré de votre appareil.
La Polynésie rêve d’une île flottante - Edition du soir Ouest France - 04/01/2017 L’idée paraît simple et peut faire rêver. Pourquoi ne pas constituer des micro-nations sous formes d’îles flottantes au large des côtes ? Une bien belle façon d’échapper à l’emprise étatique, en plus de profiter d’un bon air marin… L’idée séduit tellement les entrepreneurs et les patrons de la Sillicon Valley, qu’elle a fini par prendre un nom : Seasteading. Vous devez être connecté pour visionner cette vidéo. C’est le millionnaire et fondateur de PayPal Peter Thiel, et Patri Friedman, un activiste libertarien, qui ont créé en 2008 l’organisation non-gouvernementale (ONG) The Seasteading Institute, en investissant 150 millions de dollars dans ses îles flottantes du futur. Dans la forme, ces îles artificielles seraient composées de plateformes flottantes modulaires de la taille d’une moitié de terrain de foot, remplies de technologies dernier cri. Le projet a charmé la Polynésie française.
Vingt mille lieux sur les mers : comment les architectes voient la vie sur l’eau Projet "Citadel" d'appartements, agence Waterstudio (Hollande). Il s'agit de construire dans des polders ouverts des habitations flottantes adaptées à la montée des eaux. C'est une "citadelle" parce qu'il s'agit "du dernier rempart contre la mer", disent les architectes. Un vieux rêve de l’humanité est de se réfugier sur une île pour y refaire sa vie, voire le monde, inventer une société meilleure, expérimenter des voies nouvelles pour l’humanité. C’est sur une île que Thomas More situait Utopia (1516), sa société idéale, au cœur d’une île encore que Tommaso Campanella imaginait la Cité du Soleil (1602) ou Sir Francis Bacon La Nouvelle Atlantide (1624), menée par les philosophes. Une vue de "l'Île flottante" dessinée par la cabinet ATDesign. La ville d'Utopia, construite sur une île volontairement isolée du continent, imaginée par Thomas More en 1516. "Green star". Ce mouvement a un drapeau – bleu, couleur des océans – et un pays pionnier : les Pays-Bas.
Vol au-dessus de la ville du futur Cet article a été réalisé en partenariat avec Planète Plus pour la sortie de la saison 2 de "Rêver le futur". Le premier épisode de la série sera diffusé le 27 janvier 2017 à 20h55. Dans les années 1950, on imaginait le futur peuplé de robots, de trains circulant la tête en bas, d’autoroutes gigantesques et de cabines téléphoniques. Les années 1980 faisaient la part belle aux voitures volantes, à l’esthétique cyberpunk et aux appareils surchargés de câbles et de gros boutons colorés. Difficile de prédire le futur, car les innovations les plus décisives sont, par essence, imprévisibles. Malgré tout, de nombreuses tendances aujourd’hui en pleine éclosion nous permettent de nous faire une idée. En revanche, elle n’a rien d’un cauchemar bétonné : la ville du futur est verte, bien plus verte qu’aujourd’hui. Lentement, l’aube se lève, la nuit s’éclipse. L’implication des citoyens dans la planification urbaine 8h00. Les espaces de travail collaboratifs remplacent les bureaux traditionnels
30 octobre 2017 - Un robot contre le pilote moto Valentino Rossi pour une course du futur Mise à jour : Le combat des champions s'est déroulé il y a peu de temps et savez-vous qui a gagné ? Valentino Rossi a bouclé le tour de piste en 1'25,740 contre 1'57,504 pour le robot nommé "Motobot". "The Doctor" est donc toujours le plus rapide. La machine arrivera-t-elle à combler son retard de 32 secondes ? Un robot peut-il aussi bien faire qu’un nonuple champion du monde de moto GP ? Yamaha construit un robot pilote de moto Valentino Rossi, c’est 9 titres de champion du monde en Grand Prix moto dont 7 dans la catégorie reine, la Moto GP. Une conduite digne d'un champion Sur une moto Yamaha R1 qui n’a presque pas été modifiée, mis à part un système pour les béquilles et pour remplacer les genoux des pilotes, le robot peut déjà faire des tours de piste.
Chronique du futur : les cités bioniques de Vincent Callebaut Alors que les pics de pollution sévissent en France et qu'ils sont devenus une habitude dans plusieurs mégalopoles d'Asie, les solutions imaginées pour améliorer la qualité de l'air des grandes cités revêtent une importance cruciale. Pour gérer les approvisionnements en eau, en nourriture, pour garantir un air sain et évacuer les déchets, il faut penser les villes autrement. C'est la préoccupation de l'architecte belge Vincent Callebaut, qui vit et travaille en France, que Futura avait rencontré en 2014. Article paru le 1/3/2014 Ses projets sont souvent qualifiés de « futuristes », voire estampillés comme de la science-fiction. Et pourtant... « En 2020, en France, le règlement imposera que tous les nouveaux bâtiments aient un bilan d’énergie positif » aime-t-il à rappeler. Bientôt, 80 % de la population vivra en ville Avec ces idées, il s'agit de proposer des « scénarios de vie ». S'inspirer de la vie Des quartiers multifonctionnels pour réduire les déplacements
Comment la France a tué ses villes - URBIS le mag Centre-ville de Toulon. C'est un livre au titre choc que vient de publier Olivier Razemon, journaliste indépendant dont le travail s’articule principalement autour de l’urbanisme et des transports. Car c’est une réalité que personne ne peut plus ignorer désormais : les villes moyennes françaises vont mal. Entre fermeture des commerces, départ des plus riches et élus locaux fatalistes, c’est un portrait de villes à l’agonie que dresse le journaliste. Interview. Olivier Razemon. - « Que se passe-t-il actuellement dans les villes françaises ? - Seules les très grandes villes, Paris et les métropoles régionales, ainsi que les localités touristiques, se portent bien. Le nombre de logements vides est un autre symptôme : les villes moyennes présentent un taux de logements vacants dépassant nettement les 10 %, résultat du départ des familles qui en ont les moyens vers la périphérie et ses maisons individuelles. - Cela fait des années que cette tendance est en marche. Périphérie d'Aubagne. L'auteur
22 juin 2018 - Machines et cerveau: je pense donc je bouge Une vaste pièce sans fenêtre, avec un rail au plafond, quelques ordinateurs et, dans un coin, une armure de métal et de plastique de la taille d'un homme. Nous ne sommes pas dans le film Iron Man, des studios Marvel, mais à Clinatec, un centre de recherche grenoblois unique en son genre, mi-laboratoire, mi-hôpital. Ici, le même miracle se répète cinq jours par mois depuis un an : arrimé à son exosquelette, un patient tétraplégique parvient à se mouvoir en contrôlant la structure motorisée par la pensée. "Nous n'imaginions pas que nous irions si vite", s'enthousiasme le Pr Alim-Louis Benabid, le neurochirurgien à l'origine de cette prouesse. Si, pour des raisons de confidentialité, l'identité et le détail des exploits de ce patient restent secrets, on sait tout de même qu'il s'agit d'un homme jeune, handicapé à la suite d'un accident. Les projets sont partout dans le monde Cet exploit - commander une machine directement par le cerveau - ne relève donc plus de la science-fiction.
Le concept de ville intelligente s'affine et se concrétise Alors qu'en 2010, 8,1 milliards de dollars ont été dépensé pour la création de technologies dédiées aux villes intelligentes, ce chiffre devrait passer à 39,5 milliards de dollars en 2016. Ces données sont révélées par une étude d'ABI Research, qui compile une centaine de projets de villes intelligentes à travers le monde. La plupart des initiatives référencées prenant place en Europe (38), Amérique du Nord (35) et Asie (21). Pour Joshua Flood, Senior Analyst chez ABI Research, ce phénomène s'explique facilement. "Il devient critique pour les villes de se développer intelligemment pour répondre aux besoins de leurs citoyens et des entreprises", explique-t-il à L'Atelier. Un besoin motivé par une population urbaine grandissante Et d'ajouter : "Dans le même temps, les deux tiers de la population mondiale résideront en zone urbaine (3,4 à 6,3 milliards). ". Différentes formes de villes intelligentes Le but étant de créer un modèle pour toutes les villes au profil semblable aux Etats-Unis.