LaCooperationEn28Motscles Une coopération à multiple facettes Très souvent on anime un groupe avec notre bon sens, en essayant de faire "au mieux". Cela nous permet de comprendre certains aspects du groupe : il manque peut être de la convivialité ou une culture commune, ou bien encore le groupe est trop centré sur lui même. Nous vous proposons une carte des différentes facettes qui permettent de comprendre ce qui se passe dans votre groupe et des différentes compétences qui permettent d'agir pour le faire naître et le développer. Un premier aspect contre intuitif : le choix a posteriori Il existe plusieurs stratégies en fonction de l'environnement dans lequel on se situe : La planification : dans une situation prévisible mais où les ressources sont rares, il faut prévoir pour optimiser les ressources et ne pas les gâcher ; La négociation : lorsque les ressources sont rares mais que la situation n'est pas prévisible, la négociation permet de faire un choix au présent à défaut de pouvoir le faire à l'avance.
L’intelligence collective en question (1/3) par @ceciledemailly 01net. le 22/05/13 à 07h00 Il y a quelques semaines, je suis intervenue à L’Enterprise 2.0 Summit sur le thème des neurosciences et de l’intelligence collective. C’est un sujet d’importance, car c’est la vraie nouveauté que le 2.0 peut apporter à l’entreprise, le vrai différentiateur, au-delà de la simple évolution des usages pour faire toujours la même chose plus vite, plus facilement, plus efficacement. Une notion difficile à définir Ce que l’on entend par intelligence varie selon les disciplines. Respecter son tour de parole favorise l’intelligence collective En 2010, un groupe de scientifiques réuni par le MIT (psychologues, sciences cognitives, sciences organisationnelles, technologie (1) ) s’est penché sur la question. Favoriser l’auto-organisation Ceci remet en cause certaines idées reçues sur la satisfaction des employés, ou sur le bien-être au travail – qui bien sûr sont nécessaires, mais ne sont pas des éléments d’intelligence collective. (2) Recherches d’Eric Trist et Fred Emery.
Un bon manager est un jardinier selon Isaac Getz | ZevillageZevillage : télétravail, coworking et travail à distance Dans sa conférence TED donnée début 2013 à Lille, le professeur de leadership Isaac Getz commente l’enquête Gallup sur l’engagement des salariés. Il en tire la conclusion que le bon manager doit se comporter comme un jardinier qui favorise la croissance et l’épanouissement de chaque salarié. Selon cette méta-étude Gallup de 2011 réalisée dans 9 pays, on peut classer les salariés en 3 catégories selon leur niveau d’engagement : Vous avez bien lu : 1 salarié sur 9 seulement contribue à faire avancer les entreprises et les organisations ! ces 89% de salariés étaient-ils aussi désengagés au moment de leur recrutement ? Selon lui, la cause de ce désengagement est environnementale. Ce travail de jardinier revient à prendre en compte 3 besoins fondamentaux et à favoriser : un environnement dans lequel chacun est traité en tant qu’intrinsèquement égal. (Via Bonjour travail)
Thiagi.fr - Ressources francophones sur les jeux de Thiagi Qu’est-ce que l’intelligence collective ? Le thème de l’intelligence collective a fait l’objet de nombreux travaux durant les quarante dernières années. Même si les appellations diffèrent, un objet commun semble se dégager : noosphère de Teilhard de Chardin, écologie de l’esprit de Gregory Bateson, écologie des représentations de Dan Sperber, sujet collectif de Michel Serres, cybionte de Joël de Rosnay, hive mind de Kevin Kelly, intelligence connective de Derrick de Kerckhove, super-brain de Francis Heylighen, Global Brain de H. Bloom, intelligence émergente de Steven Johnson, etc. Stricto sensu, l’intelligence collective est un concept régulateur qui peut être défini comme une intelligence variée, partout distribuée, sans cesse valorisée, coordonnée en temps réel, qui aboutit à une mobilisation effective des compétences [1]. L’intelligence collective constitue également un champ de recherche dont l’objet est l’étude de la coopération intellectuelle entre humains dans un environnement techniquement augmenté.
Roland Barthes Roland Barthes[1], né le 12 novembre 1915 à Cherbourg et mort le 26 mars 1980 à Paris dans le 13e arrondissement[2], est un philosophe, critique littéraire et sémiologue français. Directeur d'études à l'École Pratique des Hautes Études jusqu'en 1975[3], puis à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS) et professeur au Collège de France, il est l'un des principaux animateurs du post-structuralisme et de la sémiologie linguistique en France. Biographie[modifier | modifier le code] École pratique des hautes études[modifier | modifier le code] Stagiaire de recherche du CNRS de 1953 à 1954, puis attaché de recherche de 1956 à 1960, il devient ensuite chef de travaux à la VIe section de l'École pratique des hautes études puis directeur d'études en 1962 — ses premiers séminaires portent sur le thème « Inventaire des systèmes de signification contemporains » et débouchent sur ses Éléments de sémiologie (1965) et le Système de la mode (1967). Vie privée[modifier | modifier le code] ou
Pourquoi ça foire dans les collectifs ? > Permaculture Humaine Bonjour à tous Voici une explication sur le point crucial qui génère des problèmes “humains” dans les collectifs. Emilie nous explique, dans la vidéo ci-dessous, que la plupart des tensions susceptibles de faire capoter un projet collectif provient de la méconnaissance des phénomènes de régulation des émotions, et de la non-acceptation du conflit comme opportunité d’évolution. A croire que le conflit est mauvais, qu’il n’arrivera pas, ou à refuser de le réguler, il devient pesant jusqu’à plomber l’ensemble du collectif. Selon nous, la croyance que “les émotions négatives vécues comme des tensions conflictuelles sont causées par l’autre” apporte beaucoup de confusion. De nombreux collectifs utilisent la CNV (Communication Non Violente). Mais n’y aurait-il pas là une source d’incompréhension ? Ce n’est pas l’autre ou son action, qui a généré en nous un sentiment, mais c’est bien notre perception et notre compréhension du monde qui nous y font réagir émotionnellement.
Ziobrando's Lair: Introducing Event Storming In the past months I’ve spent some time experimenting with this weird thing. It started like a “Ouch I have no time to draw a precise UML diagram, let’s do this instead” then became a thing called Event-Based modelling workshop that I presented at Italian Agile Day 2012, I later had the chance to do more experiments in Belgium and Poland during Vaughn Vernon’s IDDD tour, and I gathered incredibly valuable feedbacks and insights. I managed to find a cooler name - EventStorming - just before the whole thing exploded in summer 2013. Bonus targets These are the basic steps of the original EventStorming format. Below an overview of all the possible the workshop steps, so far: A better quality image could be seen here Putting everything together is a lot of stuff. So, when it comes to these bonus goals, be ready to use time in the most efficient way: you get a valuable hint, just sketch it and place the corresponding sticky in the hotspot. Choosing the right format Minimal Scope
Inventaire fonds français - liste vol. en ligne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le département des estampes se trouve dans l'hôtel Tubeuf, sur le site Richelieu de la BnF Histoire[modifier | modifier le code] Les estampes avant 1720[modifier | modifier le code] La Bibliothèque du roi comprend certainement des estampes depuis très longtemps mais, à l'image des imprimés, elles sont loin d'être considérées comme une priorité[g 1]. C'est en effet essentiellement par des dons et des acquisitions onéreuses de collections privées que les collections s'accroissent. Ayant commencé sa collection d'estampes en 1644, Marolles en possède déjà plus de 80 000 en 1657[g 2] et en publie en 1666 un catalogue sommaire, où il laisse penser qu'il ne s'opposerait pas à son achat par le roi : La bibliothèque s'enrichit également d'un autre type de gravures, celles du « Cabinet du roi ». Le portrait du roi Jean II fait partie de la collection Gaignières et appartient au département des Estampes. Gardes du cabinet[modifier | modifier le code]
EventStorming, technique de modélisation en équipe EventStorming est un atelier Agile de modélisation, qui permet de faire émerger le modèle métier/business d’un projet. Pour cela, cet atelier en groupe doit se dérouler dans une salle, en présence d’un client (product owner). Quelques techniques simples permettent à l’équipe de représenter les flux, les événements et les commandes dans un projet informatique. Lors de la 1ère conférence NCrafts France le 16 mai dernier, j’ai découvert et testé l’atelier EventStorming. Les idées de cette atelier Agile ont été posées par Alberto Brandolini (@ziobrando). Ce workshop était organisé par 2 personnes du DDD User Group Belge : Jef Claes et Tom Janssen. D’abord quelques photos, avant de vous en expliquer les principes : Pour vous présenter les idées et les principes d’EventStorming, je me suis permis d’adapter et de traduire en Français l’article d’Alberto. Qu’est-ce qu’un EventStorming ? L’idée de cet atelier est de permettre d’explorer rapidement, en 2 heures, un domaine métier. Conclusion
Serge Poliakoff SOL FRANCE | sol france Au début des années 80, et sur fond de crise pétrolière, Arie de Geus, alors Directeur Général adjoint du Groupe Royal Dutch Shell, coordinateur du groupe Planning, recherche avec son équipe à définir les conditions de la survie et de la pérennité des entreprises. Ensemble, ils mettent en lumière les caractéristiques communes à toutes les entreprises qui ont survécu parfois pendant des siècles et cherchent à mieux comprendre l’interaction entre ces éléments. C’est la première ébauche d’organisation apprenante. Arie se tourne vers le MIT où il rencontre Peter Senge, Professeur à la Sloan School of Management qui l’aide à analyser les résultats de cette expérience pour les transposer et les enrichir. Ces réflexions sont modélisées par Peter Senge dans son livre «La 5ème discipline» et plus tard par Arie de Geus dans «La pérennité des entreprises» («The Living Company» ) . Formalisée au début des années 90, l’impulsion de l’organisation apprenante est née.
L'art contemporain n'est-il qu'un discours La sociologue Nathalie Heinich, directrice de recherche au CNRS, spécialiste d'art, fait paraître chez Gallimard, Le paradigme de l'art contemporain : structures d'une révolution artistique. Nathalie Heinich étudie la surprise du public face à l'art contemporain. Elle est l'auteure de nombreux ouvrages sur cette question. L'historien et critique d'art Stéphane Guégan, commissaire en 2011 de l'exposition "Manet, inventeur du Moderne" au Musée d'Orsay, sera aux côtés de Caroline Broué et d'Antoine Mercier pour interroger Nathalie Heinich. Quelle est la valeur de l'art contemporain ? On parle d'art contemporain pour qualifier un monde plutôt que des oeuvres. Dans l'expression "art contemporain", le mot contemporain n'est pas un terme chronologique, mais un terme générique qui désigne une certaine catégorie d'art. La singularité est un impératif fondamental de l'art contemporain. L'oeuvre dans l'art contemporain ne réside plus dans l'objet mais dans l'expérience que l'objet va provoquer.
Principes positifs Archives - Organisations Positives Définition d’empowerment : augmentation de la capacité d’agir. C’est le processus par lequel un individu, une communauté, une association, un collectif de travail prend le contrôle des évènements qui le concerne. En entreprise, c’est la manière de permettre aux salariés, dans leurs collectifs de travail et individuellement, d’accéder à un sentiment de maîtrise de leur activité et plus largement de leur vie professionnelle. Pour Marie-Hélène Bacqué et Carole Biewener, « L’empowerment articule deux dimensions, celle du pouvoir, qui constitue la racine du mot, et celle du processus d’apprentissage pour y accéder. »[i] Ce mot est difficile à traduire : capacitation, pouvoir d’agir, puissance d’agir, autonomisation sont des traductions souvent rencontrées. Une origine politique et sociale : l’usage de ce terme s’est développé aux USA dans le cadre de la reconnaissance des droits des femmes, qui, pour pouvoir exercer leur autonomie, ont dû apprendre à le faire. Clarifications Sens. Coach,