Le bonheur est un choix, en voici la preuve scientifique BIEN-ETRE - Une des hypothèses courantes des recherches en psychologie est que nous aurions un seuil de bonheur qui prédétermine en grande partie notre bien-être général. Nous orbitons autour de ce seuil, nous sentant plus heureux lorsque quelque chose de positif survient dans notre vie, et l'inverse, pour retrouver notre équilibre par la suite. Or, il se trouve que ce seuil peut, dans une certaine mesure, être recalibré. Bien que notre humeur et notre bien-être soient en partie déterminés par des facteurs génétiques et culturels, les experts s'entendent pour dire qu'environ 40% de notre bonheur dépend entièrement de nous-mêmes. De vastes pans de la recherche autour de la psychologie positive ont démontré que le bonheur est choix que nous pouvons tous faire. Comme l'a dit le psychologue William James, "une des plus grandes découvertes de notre temps, c'est que l'humain peut changer sa vie en changeant son attitude face à celle-ci". Essayez. Choisissez la pleine conscience. Contactez-nous
Michel Serres : "L'informatique joue un rôle essentiel pour transformer les sciences humaines" BINAIRE - Vous avez écrit sur la transformation de l'individu par l'informatique. C'est un sujet qui intéresse particulièrement Binaire. MICHEL SERRES - Cette transformation se situe dans un mouvement très ancien. Au-delà de l'individu, l'informatique transforme tout de la société... Je commencerais volontiers par les métiers. Le lien social a également été profondément transformé. Est-ce que vous y voyez une intensification des liens sociaux ? Quantitativement c'est certain. Ces groupes se sont presque tous effondrés. Le réseau social d'une personne était naguère déterminé par son voisinage. Oui. Non, le risque principal des réseaux sociaux aujourd'hui, ce n'est pas l'enfermement, ce sont les bobards, les rumeurs, les fausses nouvelles. Nous ne savons pas encore mesurer les effets de ces bobards. Cela donne une idée de la morale nouvelle. Dans cette société qui se transforme, ne faut-il pas également que la politique se transforme ? Vous avez raison. On le voit tous les jours.
SOL FRANCE | sol france Au début des années 80, et sur fond de crise pétrolière, Arie de Geus, alors Directeur Général adjoint du Groupe Royal Dutch Shell, coordinateur du groupe Planning, recherche avec son équipe à définir les conditions de la survie et de la pérennité des entreprises. Ensemble, ils mettent en lumière les caractéristiques communes à toutes les entreprises qui ont survécu parfois pendant des siècles et cherchent à mieux comprendre l’interaction entre ces éléments. C’est la première ébauche d’organisation apprenante. Arie se tourne vers le MIT où il rencontre Peter Senge, Professeur à la Sloan School of Management qui l’aide à analyser les résultats de cette expérience pour les transposer et les enrichir. Ces réflexions sont modélisées par Peter Senge dans son livre «La 5ème discipline» et plus tard par Arie de Geus dans «La pérennité des entreprises» («The Living Company» ) . Formalisée au début des années 90, l’impulsion de l’organisation apprenante est née.
La science prouve que le bonheur est un choix La science prouve que le bonheur est un choix Une des hypothèses communes des recherches en psychologie est que nous aurions un seuil de bonheur qui prédétermine en grande partie notre bien-être général. Nous orbitons autour de ce seuil, nous sentant plus heureux quand quelque chose de positif arrive dans notre vie, et l’inverse, pour retrouver notre équilibre par la suite. Cependant, il se trouve que ce seuil peut, dans une certaine mesure, être recalibré. Comme le bonheur est un choix, voici huit stratégies pour prendre votre bonheur en main: Même un tout petit effort peu faire considérablement augmenter votre bonheur. On a ensuite demandé à un des deux groupes de faire des efforts conscients pour être plus heureux alors qu’on a demandé à l’autre groupe de ne rien tenter activement pour améliorer leur humeur. Faites de votre bonheur votre priorité numéro un. Les gens les plus heureux sont invariablement ceux qui font de leur bonheur un objectif de vie, d’après le psychologue Tom G.
Motivation : on a tout faux ! Des primes ou des bonnes notes... Nous récompensons les actions que nous souhaitons favoriser et encourager. Et si ces récompenses étaient le poison qui tue progressivement la motivation ? Ces principes sont souvent présentés dans le contexte de l'entreprise et du travail salarié. Tout commence par une expérience réalisée en 1949, qui visait à explorer les capacités cognitives des macaques rhésus. Harry Harlow n'a pas poursuivi ces expériences et ce n'est que vingt ans plus tard que Edward Deci expérimente une situation similaire avec des humains. À la suite de Deci et Ryan, Daniel Pink insiste sur la différence entre les motivations extrinsèques et les motivations intrinsèques. La motivation intrinsèque est liée à l'activité elle-même, au sentiment d'efficacité, aux échanges sociaux qu'elle implique, etc. Mais la motivation intrinsèque est aussi très fragile. Mais attention, les auteurs cités ne préconisent pas d'arrêter de payer les salariés. Théorie X et théorie Y L'autonomie
Principes positifs Archives - Organisations Positives Définition d’empowerment : augmentation de la capacité d’agir. C’est le processus par lequel un individu, une communauté, une association, un collectif de travail prend le contrôle des évènements qui le concerne. En entreprise, c’est la manière de permettre aux salariés, dans leurs collectifs de travail et individuellement, d’accéder à un sentiment de maîtrise de leur activité et plus largement de leur vie professionnelle. Pour Marie-Hélène Bacqué et Carole Biewener, « L’empowerment articule deux dimensions, celle du pouvoir, qui constitue la racine du mot, et celle du processus d’apprentissage pour y accéder. »[i] Ce mot est difficile à traduire : capacitation, pouvoir d’agir, puissance d’agir, autonomisation sont des traductions souvent rencontrées. Une origine politique et sociale : l’usage de ce terme s’est développé aux USA dans le cadre de la reconnaissance des droits des femmes, qui, pour pouvoir exercer leur autonomie, ont dû apprendre à le faire. Clarifications Sens. Coach,
La recette du bonheur existe, c'est Harvard qui le dit ! En novembre 2015, lors d’une conférence TEDx, Robert Waldinger a révélé l’aboutissement d'une longue, d'une très longue étude. Pendant 75 ans, des chercheurs de la prestigieuse Harvard Medical School ont suivi à la loupe le quotidien de 724 hommes. Alors que, généralement, les études de cet acabit s’arrêtent au bout d’une dizaine d’années, faute de moyens, ici pas moins de quatre directeurs d’étude se sont succédés depuis 1938 pour mener à bien les recherches. La chaire sur le « développement de l’adulte » (Study of Adult Development) de l'université a passé au crible tous les aspects de la vie des participants. Un travail titanesque Le projet original était ambitieux, tant au niveau des fins que des moyens. Choisir ainsi deux milieux sociaux diamétralement opposés permettait d'isoler les facteurs psychologiques et biologiques ayant un impact sur la santé et le bien-être à tous les âges de la vie. Pour être heureux, connectez-vous à votre entourage À lire aussi :
Débuter la coopération au lycée. Pourquoi? Comment? Pourquoi? La pédagogie coopérative se développe à tous les niveaux d'enseignement. Ceci pour de nombreuses raisons: - La coopération est un moyen de créer le conflit cognitif nécessaire à tout apprentissage. -C'est un support de développement des compétences relationnelles indispensables au futur citoyen. -Proposer des situations de groupes permet de différencier au sein d'une classe hétérogène. -La coopération motive. -Elle fait vivre l'entraide en classe et reconnaît la maturité réflexive des élèves. -Coopérer en classe répond au besoin d'appartenance des jeunes. Comment? Si chacun s'accorde à trouver ces quelques intérêts à coopérer en classe, la question du COMMENT reste très présente. Toutes ces questions sont légitimes et méritent d'être posées et prises en compte. Comment obtenir un climat de classe propice à la coopération entre des jeunes parfois trop tournés vers eux-mêmes et leur propre réussite ou échec? Pour cela, il vous faudra du temps. Le tutorat s'apprend. -Classroomscreen.
Gestion de Projet Simple Introduction Cet article vise à décrire un cadre méthodologique de gestion de projet simple. Il s’adresse à toute association de personnes (équipe) désireuses de mener un projet quel qu’il soit aboutissant à ce qu’on appellera par abus de langage un “Produit”. Les membres de l’équipe peuvent travailler à temps plein ou partiel, partager un même lieu de travail ou non et participer à l’ensemble des étapes du projet avec ou sans hiérarchie. Étapes du projet Définir la vision du “Produit” Le projet débute par la formalisation de la vision du “produit fini” faisant l’objet du projet. Construire et ordonnancer le “Product Backlog” Une fois que la vision est partagée et claire pour tout le monde, il est temps de faire la liste de toutes les tâches – connues à date – nécessaires à la réalisation du “Produit”. Diviser le temps Planifier le sprint Exécuter le sprint Durant le sprint, chaque membre de l’équipe prêt à commencer une tâche, s’affecte cette dernière et la passe au statut “En cours”.
Dix choses que les gens heureux font différemment des autres | Paula Davis-Laack
5'40 : 3 aspects de la tyrannie du mental
1. mental est négatif
2. mental est compulsif
3. mental est intérieur by chris6672 Apr 23