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Point de vue religieux sur le suicide

Point de vue religieux sur le suicide
Le suicide est un acte traditionnellement condamné par les doctrines religieuses. En effet, si le fait de se suicider est d'abord un acte contre soi-même, dans certaines conceptions religieuses la destinée de l'homme appartient à Dieu et le suicide constitue alors une rupture dans la relation de l'homme avec la souveraineté de son Dieu. Dans d'autres cas, l'acte est plus simplement considéré comme une action négative. Il existe cependant des nuances à ce rejet global du suicide quand la notion de sacrifice ou d'honneur entre en jeu. Bouddhisme[modifier | modifier le code] Selon les enseignements de Bouddha, ce qu'un individu fait à tout moment aura une conséquence sur son avenir, dans cette vie ou dans la suivante (voir le principe de la réincarnation). En revanche l’acte d’assistance au suicide est assimilé au meurtre d’un point de vue religieux. Hindouisme et jainisme[modifier | modifier le code] Christianisme[modifier | modifier le code] Chez les protestants[modifier | modifier le code] Related:  Suicide Assisté

Euthanasie - Le respect du mourant dans le judaïsme Détails Publication : dimanche 11 janvier 2015 21:25 par Jiminycriquette Sur la question de l'euthanasie : par le site « Halacha Yomit », 28/12/2014, (extraits) ... Question : Récemment, un malade en phase finale a demandé à ses médecins d’interrompre le fonctionnement des machines qui le maintenaient en vie, et entrainer ainsi sa mort. Réponse : Il est enseigné dans une Michna du traité Chabbat (151b) : « Celui qui ferme les yeux d’un mort au moment où il rend son dernier souffle est un meurtrier. » Cela signifie que celui qui ferme les yeux d’une personne agonisante, et rapproche ainsi sa mort d’un instant, est un véritable meurtrier, et son statut est le même que celui qui aurait assassiné un nourrisson d’un jour, car la chose n’est pas quantifiable, puisque même si la personne aurait pu vivre ne serait-ce qu’un instant supplémentaire et qu’on anticipe sa mort, il s’agit d’un meurtre. Source : halachayomit.co.il

Souad (auteur de Brûlée vive) Brûlée vive de Souad Préface Je vivais dans l' anonymat et la souffrance d' une injustice que je pensais incommunicable. Lorsque j' ai pu enfin l' exprimer dans ce livre, et ensuite dans les médias, mon existence a été transformée. Jeune fille illetrée, premier témoin vivant parlant de " crimes d' honneur ", j' ai découvert non seulement la liberté d' expression, mais l' acceptation d' un corps que je croyais meurtri à jamais. Je parle au nom de toutes celles qui en souffrent aujourd' hui dans le monde et je ne cesserai d' en parler le reste de mes jours, jusqu' à mon dernier souffle. Ce récit a été traduit dans plus de vingt pays, mon témoignage a donc entrepris de parcourir les librairies du monde entier, à la portée de toutes les femmes et de tous les hommes. Ce livre est mon plus grand espoir, je souhaite qu' il redonne à d' autres femmes la liberté de vie, qu' il pénètre dans le coeur des hommes et les arrache enfin à cette barbarie d' un autre âge. Souad, Janvier 2004 + Lire la suite

Non à l'euthanasie et au suicide assisté: Aucune condition particulière ne les justifie - Campagne Québec-Vie Ce qui suit s'agit d'une version abrégée d’un mémoire présenté au Collège des médecins du Québec le 30 août 2009 par Joseph Ayoub, m.d. André Bourque, m.d, Catherine Ferrier, m.d., François Lehmann m.d., et José Morais,m.d.. Le mémoire a aussi reçu l’appui d’un nombre significatif de médecins de la province de Québec. Le débat sur la dépénalisation de l’euthanasie et du suicide assisté ne cesse de ressurgir au Canada et au Québec depuis les derniers vingt ans. Le mouvement en faveur de l’euthanasie motive son instauration sur la nécessité de respecter l’autonomie et la « dignité » de la personne. Nos tribunaux ont été interpellés sur quelques cas particuliers au cours des dernières années et la Cour Suprême du Canada a réaffirmé la valeur intrinsèque de la vie humaine et les limites imposées à l’autonomie de la personne qui souhaite mettre fin à ses jours. L’adoption du projet de loi C-384 rendrait légal l’euthanasie et le suicide assisté au Canada.

-Aide au suicide définition- Dispositif d'aide au suicide utilisé à quatre reprises en Australie entre 1995 et 1997 L'aide au suicide, ou suicide assisté, désigne l'acte de fournir un environnement et des moyens nécessaires à une personne pour qu'elle se suicide. L'aide au suicide est différente de l'euthanasie[1]. C'est la personne elle-même qui déclenche sa mort et non un tiers[2]. Une approche du suicide assisté pourrait permettre aux personnes suicidaires d'explorer leur désir de mort et d'avoir des discussions franches avec des professionnels de la santé, sans crainte de s'exprimer ou d'être opprimé[3]. Alexandre Baril, professeur qui s'intéresse aux discours tenus sur le suicide au sein des mouvements et études anti-oppression, recommande que « lorsque des personnes ressentent un besoin profond et stable de mourir, (…) que nous accompagnions ces personnes dans une démarche de suicide assisté, à partir d’une approche fondée sur la compassion et la réduction des méfaits »[3]. Le test est spécifique au contexte.

Homme nouveau et totalitarisme : l'expérience des Khmers Rouges L’expérience des Khmers Rouges est évoquée ici, on l’aura compris, au titre de l’homme social et non de l’homme biologique. L’exemple tragique du régime qui, sous le nom de Khmers Rouges, a gouverné le Cambodge de 1975 à 1979, a semblé pertinent pour illustrer une réflexion sur la fabrication de l’humain en politique. En effet, dessiner un homme nouveau a été au cœur de ce projet monstrueux et son observation conduit à une interrogation essentielle : tout projet de fabrication de l’humain ne recèle-t-il pas en réalité une tendance à la destruction de celui-ci ? Le scientifique qui pousse ses recherches et aborde ou croit aborder le secret de la vie, est en position d’éliminer la contingence ou, avec les thérapies germinales, de la réduire de manière spectaculaire. Pour ce qui est des éléments et des fondements de l’homme nouveau, on relèvera tout d’abord que ce projet est présent dans de nombreux courants religieux et dans toutes les doctrines politiques révolutionnaires.

1)Les arguments favorables L'homme doit être le seul décideur des droits associé à son corps, seul maître de sa vie c'est la définition de la liberté individuelle. L'argument premier des partisans est le respect de la vie d'autrui, le patient doit être libre de son corps et de son esprit. C'est donc lui qui doit pouvoir décider de sa vie ou de sa mort. D'après certaine personne il doit pouvoir avoir le choix d'une mort digne qui serait désiré et décidé par lui même. L'euthanasie ne représenterait pas seulement la fin d'une vie, mais pour certains une véritable libération, la fin de grandes souffrances.

Aide médicale à mourir Renseignez-vous sur l'aide médicale à mourir, y compris les exigences de la loi fédérale, l'admissibilité et le processus de demande. De même, vous pouvez vous renseigner à propos des examens indépendants actuellement en cours relatifs à des demandes qui ne sont pas admissibles en vertu de la loi. Vous pouvez également lire les rapports intérimaires donnant un aperçu de l'aide médicale à mourir à travers le pays et en savoir plus sur les exigences en matière de production des rapports sur l'aide médicale à mourir qui entreront en vigeur le 1er novembre 2018. Sur cette page À propos de l'aide médicale à mourir Changements au Code criminel En février 2015, la Cour suprême du Canada a statué dans l'affaire Carter c. En juin 2016, le parlement du Canada a adopté une loi fédérale qui permet aux adultes canadiens admissibles de demander l'aide médicale à mourir. Qui peut fournir l'aide médicale à mourir ou aider à la fournir Ceux qui peuvent fournir l'aide médicale à mourir sont : ou

liens de pages 2)Les arguments contres D'autres contre-attaquent en disant que l'euthanasie peut-être assimilée à un suicide ou un meurtre. Or le suicide est considéré comme rabaissant pour le patient lui même. L'euthanasie active doit donc rester interdite. Ces personnes n'accepteraient aucune exception, car il pourrait y avoir des débordements et il serait donc très difficile de les contrôler. Le serment d'Hippocrate dit même qu'un médecin « ne provoquera jamais la mort délibérément » Or l'euthanasie c'est provoquer la mort. Suicide assisté au Canada Le suicide assisté est l’acte de mettre volontairement fin à sa propre vie avec l’aide d’une personne qui en fournit les moyens ou les connaissances (voir aussi : Suicide). Entre 1892 et 2016, le suicide assisté est illégal au Canada aux termes de l’article 241 b) du Code criminel. En 2015, après des décennies de contestations judiciaires, la Cour suprême du Canada décide à l’unanimité d’autoriser le suicide assisté par un médecin. Contexte et code criminel Avec l’introduction du Code criminel au Canada en 1892, le suicide et la tentative de suicide sont dorénavant considérés comme des infractions pénales aux termes de l’article 241 b). Différence entre suicide assisté et euthanasie Bien que le suicide assisté soit parfois appelé euthanasie volontaire ou active, les deux actes sont en fait différents. Sue Rodriguez conteste la validité de la loi sur le suicide assisté (1993) Euthanasie et l’affaire Robert Latimer (1994) Légalisation du suicide assisté par médecin au Canada (2015)

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