Préparation examen final. -Aide au suicide définition- Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Rappel : Wikipédia ne donne pas de conseils médicaux. Si vous avez des pensées suicidaires, il existe dans chaque pays des associations ou organismes d'écoute et d'aide, que vous pouvez contacter par téléphone (généralement 24/24 h, 7/7 jours, de manière anonyme). En France, 01 45 39 40 00 [archive] ; en Belgique : 0800 32 123 [archive] ; en Suisse : 143 [archive] ; au Québec : 418 683-4588 [archive]. Aide médicale à mourir. Renseignez-vous sur l'aide médicale à mourir, y compris les exigences de la loi fédérale, l'admissibilité et le processus de demande.
De même, vous pouvez vous renseigner à propos des examens indépendants actuellement en cours relatifs à des demandes qui ne sont pas admissibles en vertu de la loi. Vous pouvez également lire les rapports intérimaires donnant un aperçu de l'aide médicale à mourir à travers le pays et en savoir plus sur les exigences en matière de production des rapports sur l'aide médicale à mourir qui entreront en vigeur le 1er novembre 2018. Sur cette page. Suicide assisté au Canada. Le suicide assisté est l’acte de mettre volontairement fin à sa propre vie avec l’aide d’une personne qui en fournit les moyens ou les connaissances (voir aussi : Suicide).
Entre 1892 et 2016, le suicide assisté est illégal au Canada aux termes de l’article 241 b) du Code criminel. En 2015, après des décennies de contestations judiciaires, la Cour suprême du Canada décide à l’unanimité d’autoriser le suicide assisté par un médecin. Aide médicale à mourir et suicide assisté. Aide médicale à mourir L'aide médicale à mourir est un concept introduit au Québec dans le cadre de la réflexion ayant mené au projet de Loi concernant les soins de fin de vie [Lien externe].
Il s'agit d'une forme d'euthanasie, c'est-à-dire un acte qui consiste à poser intentionnellement un geste dans le but de provoquer la mort d'une personne pour mettre fin à ses souffrances. Elle est rigoureusement encadrée, doit être faite par un médecin et est ainsi assimilée à un soin de fin de vie (soulagement des souffrances).
Sa définition légale est la suivante : [...] un soin consistant en l'administration de médicaments ou de substances par un médecin à une personne en fin de vie, à la demande de celle-ci, dans le but de soulager ses souffrances en entraînant son décès. Il faut distinguer l'aide médicale à mourir, parfois appelée euthanasie active, de la cessation de traitement qui entraîne la mort, parfois appelée euthanasie passive. L’euthanasie et l’aide au suicide au Canada. 1 Définition du sujet En raison des progrès accomplis dans le domaine médical, il est désormais possible de prolonger la vie et de retarder la mort.
Toutefois, la capacité de vivre plus longtemps s’accompagne souvent, chez ceux qui souffrent de maladies dégénératives ou incurables, d’une qualité de vie diminuée. Point de vue religieux sur le suicide. Le suicide est un acte traditionnellement condamné par les doctrines religieuses.
En effet, si le fait de se suicider est d'abord un acte contre soi-même, dans certaines conceptions religieuses la destinée de l'homme appartient à Dieu et le suicide constitue alors une rupture dans la relation de l'homme avec la souveraineté de son Dieu. Dans d'autres cas, l'acte est plus simplement considéré comme une action négative.
Il existe cependant des nuances à ce rejet global du suicide quand la notion de sacrifice ou d'honneur entre en jeu. Bouddhisme[modifier | modifier le code] Selon les enseignements de Bouddha, ce qu'un individu fait à tout moment aura une conséquence sur son avenir, dans cette vie ou dans la suivante (voir le principe de la réincarnation). Prix2014_christe_margaux. Le clergé catholique et l’aide médicale à mourir. Euthanasie - Le respect du mourant dans le judaïsme. Détails Publication : dimanche 11 janvier 2015 21:25 par Jiminycriquette Sur la question de l'euthanasie : par le site « Halacha Yomit », 28/12/2014, (extraits) ...
Question : Récemment, un malade en phase finale a demandé à ses médecins d’interrompre le fonctionnement des machines qui le maintenaient en vie, et entrainer ainsi sa mort. Réponse : Il est enseigné dans une Michna du traité Chabbat (151b) : « Celui qui ferme les yeux d’un mort au moment où il rend son dernier souffle est un meurtrier. » Cela signifie que celui qui ferme les yeux d’une personne agonisante, et rapproche ainsi sa mort d’un instant, est un véritable meurtrier, et son statut est le même que celui qui aurait assassiné un nourrisson d’un jour, car la chose n’est pas quantifiable, puisque même si la personne aurait pu vivre ne serait-ce qu’un instant supplémentaire et qu’on anticipe sa mort, il s’agit d’un meurtre.
Source : halachayomit.co.il. La question catholique et l’aide médicale à mourir. L'euthanasie et les religions. Catholicisme L’euthanasie est en opposition directe avec le 5ème commandement : « tu ne tueras point ».
L’euthanasie est donc un crime qu’aucune loi humaine ne peut prétendre légitimer. Cependant, les soins palliatifs sont acceptés, il est notamment « licite de supprimer la douleur au moyen de narcotiques, même avec pour effet d’amoindrir la conscience et d’abréger la vie. » Le pape Benoit XVI a ainsi dit, fin janvier 2009, "Jésus a souffert et il est mort sur la croix par amour. De cette façon, il a donné sens à notre souffrance, un sens que beaucoup d'hommes et de femmes (...) ont compris, en vivant dans une sérénité profonde (...) de dures épreuves physiques et morales", et a ajouté que "l'euthanasie est une fausse solution au drame de la souffrance, une solution indigne de l'homme".
Protestantisme Certains courants du protestantisme ne partagent pas l'idée catholique sur ce point. Jésus dit : « Ne vend-t-on pas deux moineaux pour un sou ? Islam. « La Tradition juive et la médecine Fin de vie, euthanasie et suicide assisté », Rabbin Yann Boissière - Judaïsme libéral, ressources en Français. Rabbin Yann Boissière.
POUR vs. CONTRE - Suicide assisté. Mes 14 bonnes raisons de dire non à l'euthanasieKoztoujours. Et voici notre bonne Toussaint, désormais flanquée d’Halloween et de la prétendue « journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité ».
Et voilà le marronnier, particulièrement de saison : l’euthanasie, et son sondage mortifère. Oublions la belle promesse de la Toussaint, nous ne débattrons plus désormais ces jours-ci que du nouvel élargissement de l’euthanasie. En ce 2 novembre, jour des morts, on peut désormais se souvenir qu’ils auraient tout de même pu partir plus tôt. Avec une petite aide de notre part… Arguments contre l’euthanasie – Vivre dans la Dignité.