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Related: L’aide médicale à mourrir • Suicide AssistéAide médicale à mourir: comment se dérouleront les derniers instants? Avec l’aide médicale à mourir qui sera prochainement offerte au Nouveau-Brunswick, nombreux sont ceux qui se demandent avec justesse de quelle façon sera administrée cette aide médicale et quel sera le décorum qui entourera cette étape ultime de la vie. Le guide sur l’aide médicale à mourir du Collège des Médecins et Chirurgiens du Nouveau-Brunswick demeure pour l’instant plutôt vague au sujet de la méthode d’assistance pour mourir. Le Collège estime que les méthodes devront s’appuyer sur les normes courantes et sur les volontés du patient et que la décision de la Cour suprême laisse entendre que deux méthodes sont acceptables, soit l’utilisation de la voie orale ou la voie intraveineuse. «Les médecins du Nouveau-Brunswick font équipe avec les patients afin de choisir leurs soins et cela ne changera pas une fois que la législation fédérale sur l’aide médicale à mourir sera en place», a indiqué John Whelan, le président de la Société médicale du Nouveau-Brunswick.
Mes 14 bonnes raisons de dire non à l'euthanasieKoztoujours Et voici notre bonne Toussaint, désormais flanquée d’Halloween et de la prétendue « journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité ». Et voilà le marronnier, particulièrement de saison : l’euthanasie, et son sondage mortifère. Oublions la belle promesse de la Toussaint, nous ne débattrons plus désormais ces jours-ci que du nouvel élargissement de l’euthanasie. En ce 2 novembre, jour des morts, on peut désormais se souvenir qu’ils auraient tout de même pu partir plus tôt. Aide médicale à mourir: choisir de partir en douceur Samedi seront célébrées les funérailles d’Alain Michaud. Âgé de 56 ans et atteint d’une maladie dégénérative et incurable, l’homme de Rivière-du-Loup a choisi de mettre fin à ses souffrances par l’aide médicale à mourir. Depuis juin 2016, plus de 45 personnes du Bas-Saint-Laurent ont terminé leurs jours de cette façon. «Je vais toujours admirer le courage qu’il a eu de dire, c’est là que ça se fait», soutient Judith Pelletier, l’épouse de M. Michaud.
Aide médicale à mourir: des pour et des contre SHIPPAGAN – Le jugement de la Cour suprême du Canada est une avancée importante sur le plan de l’éthique de fin de vie, estime Valois Robichaud, gérontologue et fondateur de l’Association Jusqu’à la Mort Accompagner la Vie du Nouveau-Brunswick. Un jugement unanime rendu vendredi par la Cour suprême du Canada donne raison aux militants pro-euthanasie. Les adultes canadiens qui sont atteints de problèmes de santé graves et irrémédiables auront le droit de réclamer un soutien médical pour mettre fin à leurs jours. Les cas de deux femmes de la Colombie-Britannique, Kay Carter et Gloria Taylor, ont propulsé de nouveau le débat sur le suicide assisté à l’avant-plan de l’intérêt public. Les deux femmes, qui sont maintenant décédées, souffraient de maladies dégénératives et souhaitaient avoir le droit d’obtenir de l’aide médicale à mourir au Canada.
Aide médicale à mourir et suicide assisté Aide médicale à mourir L'aide médicale à mourir est un concept introduit au Québec dans le cadre de la réflexion ayant mené au projet de Loi concernant les soins de fin de vie [Lien externe]. Il s'agit d'une forme d'euthanasie, c'est-à-dire un acte qui consiste à poser intentionnellement un geste dans le but de provoquer la mort d'une personne pour mettre fin à ses souffrances.
Aide médicale à mourir Renseignez-vous sur l'aide médicale à mourir, y compris les exigences de la loi fédérale, l'admissibilité et le processus de demande. De même, vous pouvez vous renseigner à propos des examens indépendants actuellement en cours relatifs à des demandes qui ne sont pas admissibles en vertu de la loi. Vous pouvez également lire les rapports intérimaires donnant un aperçu de l'aide médicale à mourir à travers le pays et en savoir plus sur les exigences en matière de production des rapports sur l'aide médicale à mourir qui entreront en vigeur le 1er novembre 2018.
L’aide médicale à mourir plus populaire Plus de six Canadiens par jour ont obtenu l’aide médicale à mourir au cours de la première moitié de l’année, révèle un bilan gouvernemental rendu public vendredi. Pas moins de 1179 décès médicalement assistés ont eu lieu au pays entre le 1er janvier et le 30 juin dernier, selon le deuxième rapport intérimaire publié par Santé Canada depuis l’adoption de la législation en juin 2016. « Ça illustre que l’aide médicale à mourir répond vraiment à un besoin, et que c’est une réforme qui était absolument nécessaire pour respecter la dignité des gens », estime la députée de Joliette, Véronique Hivon, qui a piloté le projet de loi sur les soins de fin de vie à Québec. Photo d'archives, Simon Clark
L’euthanasie et l’aide au suicide au Canada 1 Définition du sujet En raison des progrès accomplis dans le domaine médical, il est désormais possible de prolonger la vie et de retarder la mort. Toutefois, la capacité de vivre plus longtemps s’accompagne souvent, chez ceux qui souffrent de maladies dégénératives ou incurables, d’une qualité de vie diminuée. Divers facteurs ont amené les gens à vouloir avoir leur mot à dire sur les décisions relatives à la vie et à la mort; mentionnons le désir de se voir épargner une longue agonie et une meilleure compréhension des moyens par lesquels la technologie médicale parvient à prolonger la vie et à influer sur sa fin.
Les enjeux éthiques de l'aide médicale à mourir “Connaissez-vous la différence entre Dieu et un médecin? Dieu ne se prend pas pour un médecin ! Un médecin n’est pas non plus un juge, un ministre ou un officier de police. C’est un professionnel qui est censé délivrer des soins à un patient en fonction de ce que celui-ci considère être des soins. Désormais, les médecins ne sont plus ceux qui décident ce qui est bon ou ce qui ne l’est pas pour leurs patients, mais assistent ces derniers -ils ne sont pas obligés de le faire- quand ceux-ci veulent prendre des décisions capitales concernant leur vie ou leur mort, en respectant leur liberté. C’est aujourd’hui le principal enjeu de la bioéthique.” L’aide médicale à mourir Au Québec, une personne en fin de vie qui éprouve de graves souffrances peut demander à un médecin de lui administrer des médicaments pour mettre fin à ses jours. C’est ce qu’on appelle l’aide médicale à mourir. Les conséquences de l’aide médicale à mourir étant irréversibles, la loi encadre très strictement son application. Cet article vous explique les conditions à respecter pour obtenir l’aide médicale à mourir, ainsi que la marche à suivre pour la demander.
-Aide au suicide définition- Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Rappel : Wikipédia ne donne pas de conseils médicaux. Si vous avez des pensées suicidaires, il existe dans chaque pays des associations ou organismes d'écoute et d'aide, que vous pouvez contacter par téléphone (généralement 24/24 h, 7/7 jours, de manière anonyme). L'euthanasie et les religions Catholicisme L’euthanasie est en opposition directe avec le 5ème commandement : « tu ne tueras point ». L’euthanasie est donc un crime qu’aucune loi humaine ne peut prétendre légitimer.
Aide médicale à mourir: beaucoup de médecins refusent de l'administrer Des médecins en faveur de l'aide médicale à mourir (AMM) « en théorie » refusent pourtant de l'administrer à un patient, invoquant « l'objection de conscience » lorsqu'ils en reçoivent concrètement la demande. Ces médecins se servent de l'objection de conscience comme « échappatoire » pour justifier leur refus, ont découvert deux chercheuses québécoises - l'une éthicienne et l'autre médecin - qui ont mené une étude inédite sur le sujet auprès de médecins qui travaillent à Laval. Dans la majorité des cas (59 %), c'est plutôt un fardeau émotionnel trop lourd qui est en cause, et ce, même s'ils sont « théoriquement » en faveur de la loi. Selon la Loi sur les soins de fin de vie - entrée en vigueur en décembre 2015 -, un médecin peut refuser d'administrer l'AMM en vertu d'une « objection de conscience ». Avant l'entrée en vigueur de la loi, le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Laval avait sondé les médecins de son territoire.
Point de vue religieux sur le suicide Le suicide est un acte traditionnellement condamné par les doctrines religieuses. En effet, si le fait de se suicider est d'abord un acte contre soi-même, dans certaines conceptions religieuses la destinée de l'homme appartient à Dieu et le suicide constitue alors une rupture dans la relation de l'homme avec la souveraineté de son Dieu. Dans d'autres cas, l'acte est plus simplement considéré comme une action négative.