Euthanasie - Le respect du mourant dans le judaïsme Détails Publication : dimanche 11 janvier 2015 21:25 par Jiminycriquette Sur la question de l'euthanasie : par le site « Halacha Yomit », 28/12/2014, (extraits) ... Question : Récemment, un malade en phase finale a demandé à ses médecins d’interrompre le fonctionnement des machines qui le maintenaient en vie, et entrainer ainsi sa mort. Réponse : Il est enseigné dans une Michna du traité Chabbat (151b) : « Celui qui ferme les yeux d’un mort au moment où il rend son dernier souffle est un meurtrier. » Cela signifie que celui qui ferme les yeux d’une personne agonisante, et rapproche ainsi sa mort d’un instant, est un véritable meurtrier, et son statut est le même que celui qui aurait assassiné un nourrisson d’un jour, car la chose n’est pas quantifiable, puisque même si la personne aurait pu vivre ne serait-ce qu’un instant supplémentaire et qu’on anticipe sa mort, il s’agit d’un meurtre. Source : halachayomit.co.il
Aide médicale à mourir Renseignez-vous sur l'aide médicale à mourir, y compris les exigences de la loi fédérale, l'admissibilité et le processus de demande. De même, vous pouvez vous renseigner à propos des examens indépendants actuellement en cours relatifs à des demandes qui ne sont pas admissibles en vertu de la loi. Vous pouvez également lire les rapports intérimaires donnant un aperçu de l'aide médicale à mourir à travers le pays et en savoir plus sur les exigences en matière de production des rapports sur l'aide médicale à mourir qui entreront en vigeur le 1er novembre 2018. Sur cette page À propos de l'aide médicale à mourir Changements au Code criminel En février 2015, la Cour suprême du Canada a statué dans l'affaire Carter c. En juin 2016, le parlement du Canada a adopté une loi fédérale qui permet aux adultes canadiens admissibles de demander l'aide médicale à mourir. Qui peut fournir l'aide médicale à mourir ou aider à la fournir Ceux qui peuvent fournir l'aide médicale à mourir sont : ou
Point de vue religieux sur le suicide Le suicide est un acte traditionnellement condamné par les doctrines religieuses. En effet, si le fait de se suicider est d'abord un acte contre soi-même, dans certaines conceptions religieuses la destinée de l'homme appartient à Dieu et le suicide constitue alors une rupture dans la relation de l'homme avec la souveraineté de son Dieu. Dans d'autres cas, l'acte est plus simplement considéré comme une action négative. Bouddhisme[modifier | modifier le code] Selon les enseignements de Bouddha, ce qu'un individu fait à tout moment aura une conséquence sur son avenir, dans cette vie ou dans la suivante (voir le principe de la réincarnation). Le premier précepte des bouddhistes étant d'empêcher la destruction de la vie, y compris la sienne, le suicide est clairement considéré comme une forme d'action négative entraînant un karma négatif, mais moins grave que le meurtre[réf. nécessaire]. En revanche l’acte d’assistance au suicide est assimilé au meurtre d’un point de vue religieux.
Description - Aide médicale à mourir - Programmes et mesures d'aide La Loi concernant les soins de fin de vie vise l’encadrement des soins palliatifs et de l’aide médicale à mourir. Les situations de fin de vie peuvent être difficiles. Malgré les soins de qualité et l’accompagnement offerts aux personnes en fin de vie, il est possible que, pour une minorité d’entre elles, les soins palliatifs n'arrivent pas à soulager certaines souffrances de manière satisfaisante. L’aide médicale à mourir consiste en l’administration de médicaments par un médecin à une personne en fin de vie, à sa demande, dans le but de soulager ses souffrances en entraînant son décès. L’aide médicale à mourir est une intervention exceptionnelle comprenant des conditions très restrictives. Les demandes d’aide médicale à mourir sont rares.
-Aide au suicide définition- Dispositif d'aide au suicide utilisé à quatre reprises en Australie entre 1995 et 1997 L'aide au suicide, ou suicide assisté, désigne l'acte de fournir un environnement et des moyens nécessaires à une personne pour qu'elle se suicide. L'aide au suicide est différente de l'euthanasie[1]. Il convient de distinguer, suivant les motivations et le cadre dans lequel ils se déroulent, « l'aide au suicide simple » du « suicide médicalement assisté ». Le terme de suicide possédant une connotation fortement péjorative, il est fréquent que d'autres termes soient employés tels que : « aide à mourir », « aide à la fin de vie », « mourir dans la dignité », etc. Un petit nombre de pays ont légalisé certaines formes d'aide au suicide, dans un cadre médicalisé et réglementé. L'aide au suicide ou le suicide assisté se produit lorsqu'un individu qui souhaite se donner la mort demande et obtient l'assistance d'un autre individu pour mettre fin à ses jours. Terminologie[modifier | modifier le code]
maison Bienvenue chez DIGNITAS - Vivre dignement - Mourir dignement. En qualité d’association d‘utilité publique, nous nous engageons pour l’autodétermination, la liberté de choix et la dignité humaine jusqu’au dernier instant de la vie. Nos activités de conseil englobent les sujets des soins palliatifs, de la prévention des tentatives de suicide, des directives anticipées et du suicide accompagné. Les principaux textes et informations en un clin d’œil et quelques clics: Sondages sur le choix fin de sa vie 71% des médecins en France sont favorables à la légalisation de l’euthanasie ou au suicide médicalement assisté >> Sondage Medscape << 96 % des personnes interrogées en France se sont prononcées en faveur de l'euthanasie; 60 % en cas de souffrances graves et incurables d’une personne; 36 % quelles que soient les conditions de santé. >> Sondage Institut ipsos << Mourir dans la dignité… à l’étranger >> article par Monique Hamel << Faut-il autoriser l'euthanasie en France?
Suicide assisté au Canada Le suicide assisté est l’acte de mettre volontairement fin à sa propre vie avec l’aide d’une personne qui en fournit les moyens ou les connaissances (voir aussi : Suicide). Entre 1892 et 2016, le suicide assisté est illégal au Canada aux termes de l’article 241 b) du Code criminel. En 2015, après des décennies de contestations judiciaires, la Cour suprême du Canada décide à l’unanimité d’autoriser le suicide assisté par un médecin. En juin 2016, le gouvernement fédéral vote la Loi sur l’aide médicale à mourir, qui définit les critères d’admissibilité et les garanties procédurales afférents au suicide assisté médicalement. Contexte et code criminel Avec l’introduction du Code criminel au Canada en 1892, le suicide et la tentative de suicide sont dorénavant considérés comme des infractions pénales aux termes de l’article 241 b). Différence entre suicide assisté et euthanasie Sue Rodriguez conteste la validité de la loi sur le suicide assisté (1993) Lorsque l’affaire Carter c.
témoignages „Merci beaucoup à toute l’équipe de DIGNITAS pour ce message. Merci surtout pour le travail extraordinaire que vous menez depuis deux décennies. Sauver des vies, c’est aussi aider celles et ceux qui choisissent de mourir dignement. Pour cela, vous avez toute ma gratitude et mon admiration. B.S., Singapour „Vivre dans la dignité et mourir avec dignité devrait être un programme généralisé dans tout pays démocratique. R.C., Allemagne „En effet je suis membre depuis 2004. S.D., France „J'ai adhéré à DIGNITAS voilà maintenant une bonne dizaine d'années pour la raison majeure qu'en France les lois sur la fin de vie étaient plus que mal définies (malheureusement dix ans après même s'il y a eu évolution, nous en sommes à peu près au même stade). Pourquoi avoir choisi le suicide assisté ? Jacques Devaux, France „DIGNITAS répond à ma préoccupation existentielle majeure: pouvoir administrer ma mort, part inhérente de ma vie. Patrick Lévy, Brésil A.R., Espagne C.G., France
Aide médicale à mourir et suicide assisté Aide médicale à mourir L'aide médicale à mourir est un concept introduit au Québec dans le cadre de la réflexion ayant mené au projet de Loi concernant les soins de fin de vie [Lien externe]. Il s'agit d'une forme d'euthanasie, c'est-à-dire un acte qui consiste à poser intentionnellement un geste dans le but de provoquer la mort d'une personne pour mettre fin à ses souffrances. Sa définition légale est la suivante : [...] un soin consistant en l'administration de médicaments ou de substances par un médecin à une personne en fin de vie, à la demande de celle-ci, dans le but de soulager ses souffrances en entraînant son décès. Il faut distinguer l'aide médicale à mourir, parfois appelée euthanasie active, de la cessation de traitement qui entraîne la mort, parfois appelée euthanasie passive. Il n'est question d'aide médicale à mourir que dans les cas où il est nécessaire de poser un acte supplémentaire, ayant spécifiquement pour but de causer la mort de la personne. Suicide assisté
Le fonctionnement de DIGNITAS Le fonctionnement de DIGNITAS (PDF) Pour voir le fichier PDF, peut-être vous avez besoin du programme gratuit Adobe Acrobat Reader Voici le contenu de la brochure: Le fonctionnement de DIGNITAS Sur quels principes philosophiques repose l’activité de cette organisation? 3e édition / mai 2014 L’association » DIGNITAS – Vivre dignement – Mourir dignement « a été créée le 17 mai 1998. Au cours de la même période, DIGNITAS a aidé plus de 1’700 personnes à terminer leur vie de leur propre volonté, sans violence, en toute sécurité et, dans la plupart des cas, entourées de membres de leur famille et/ou d’amis. Par ailleurs, DIGNITAS ne s’est pas limitée à accorder cette assistance aux seules personnes domiciliées en Suisse. En parallèle, l’activité de DIGNITAS a mené à des controverses mais aussi à des débats politiques, autant sur le plan international que national. Enfin, les médias nationaux et internationaux exposent souvent l’activité de DIGNITAS de manière lapidaire et déformée. 1. 1.1. 1.1.1.
Mes 14 bonnes raisons de dire non à l'euthanasieKoztoujours Et voici notre bonne Toussaint, désormais flanquée d’Halloween et de la prétendue « journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité ». Et voilà le marronnier, particulièrement de saison : l’euthanasie, et son sondage mortifère. Oublions la belle promesse de la Toussaint, nous ne débattrons plus désormais ces jours-ci que du nouvel élargissement de l’euthanasie. En ce 2 novembre, jour des morts, on peut désormais se souvenir qu’ils auraient tout de même pu partir plus tôt. Cette année, l’information se répand : 94% des Français sont favorables à l’euthanasie et l’ADMD – c’est un autre marronnier – « réclame un débat ». Voilà mes quatorze bonnes raisons de m’opposer à l’euthanasie. Une société ne rompt pas avec l’interdit de donner la mort sans conséquences. On ne doit pas se résoudre à l’impuissance. p style= »text-align: center; »>* * * crédit photo : Adrián Afonso