« La Tradition juive et la médecine Fin de vie, euthanasie et suicide assisté », Rabbin Yann Boissière - Judaïsme libéral, ressources en Français Rabbin Yann Boissière « La Tradition juive et la médecine Fin de vie, euthanasie et suicide assisté » ● « J'ai placé devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction ; choisis la vie » (Deutéronome 30, 19). ● « La vie m’a appris trois choses : la première est que je n’éviterai ni ma mort ni celle de mes proches. ● « R. ► Ce texte contient : ■ Remarques introductives. ● Actualité de ce texte (dans le contexte français). ● La voix de la tradition. ● Le statut de ce texte. 1 / La médecine dans la tradition juive. 1.1 / La mitsva (« commandement ») de guérir : ● D’où la médecine est-elle un commandement ? ● Sauver, c’est pouvoir sauver. 1.2 / Le patient. 1.3 / Le médecin et la question de la confidentialité : ● La confidentialité au cœur de la thérapie. ● Le secret médical a-t-il des limites ? 1.4 / Le droit du patient de savoir : ● La stratégie du silence. ● L’information comme facteur thérapeutique. 2 / La fin de vie. 2.1 / La fin de vie – définition. 2.2 / Le droit de refuser un traitement :
L’euthanasie et l’aide au suicide au Canada 1 Définition du sujet En raison des progrès accomplis dans le domaine médical, il est désormais possible de prolonger la vie et de retarder la mort. Toutefois, la capacité de vivre plus longtemps s’accompagne souvent, chez ceux qui souffrent de maladies dégénératives ou incurables, d’une qualité de vie diminuée. Divers facteurs ont amené les gens à vouloir avoir leur mot à dire sur les décisions relatives à la vie et à la mort; mentionnons le désir de se voir épargner une longue agonie et une meilleure compréhension des moyens par lesquels la technologie médicale parvient à prolonger la vie et à influer sur sa fin. Ces facteurs ont également ravivé l’intérêt pour l’euthanasie et le suicide assisté. 2 Contexte et analyse 2.1 Historique L’euthanasie a beaucoup attiré l’attention des médias ces derniers temps; toutefois, ni cette pratique ni la controverse qui l’entoure ne sont nouvelles. Le coût de plus en plus élevé des soins de santé est un autre facteur pertinent. M. À la fin de 1997, M.
Mes 14 bonnes raisons de dire non à l'euthanasieKoztoujours Et voici notre bonne Toussaint, désormais flanquée d’Halloween et de la prétendue « journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité ». Et voilà le marronnier, particulièrement de saison : l’euthanasie, et son sondage mortifère. Oublions la belle promesse de la Toussaint, nous ne débattrons plus désormais ces jours-ci que du nouvel élargissement de l’euthanasie. En ce 2 novembre, jour des morts, on peut désormais se souvenir qu’ils auraient tout de même pu partir plus tôt. Avec une petite aide de notre part… Cette année, l’information se répand : 94% des Français sont favorables à l’euthanasie et l’ADMD – c’est un autre marronnier – « réclame un débat ». Voilà mes quatorze bonnes raisons de m’opposer à l’euthanasie. Une société ne rompt pas avec l’interdit de donner la mort sans conséquences. On ne doit pas se résoudre à l’impuissance. p style= »text-align: center; »>* * * crédit photo : Adrián Afonso
Aide médicale à mourir et suicide assisté Aide médicale à mourir L'aide médicale à mourir est un concept introduit au Québec dans le cadre de la réflexion ayant mené au projet de Loi concernant les soins de fin de vie [Lien externe]. Il s'agit d'une forme d'euthanasie, c'est-à-dire un acte qui consiste à poser intentionnellement un geste dans le but de provoquer la mort d'une personne pour mettre fin à ses souffrances. Elle est rigoureusement encadrée, doit être faite par un médecin et est ainsi assimilée à un soin de fin de vie (soulagement des souffrances). Sa définition légale est la suivante : [...] un soin consistant en l'administration de médicaments ou de substances par un médecin à une personne en fin de vie, à la demande de celle-ci, dans le but de soulager ses souffrances en entraînant son décès. Il faut distinguer l'aide médicale à mourir, parfois appelée euthanasie active, de la cessation de traitement qui entraîne la mort, parfois appelée euthanasie passive. Suicide assisté
-Aide au suicide définition- Dispositif d'aide au suicide utilisé à quatre reprises en Australie entre 1995 et 1997 L'aide au suicide, ou suicide assisté, désigne l'acte de fournir un environnement et des moyens nécessaires à une personne pour qu'elle se suicide. L'aide au suicide est différente de l'euthanasie[1]. C'est la personne elle-même qui déclenche sa mort et non un tiers[2]. Une approche du suicide assisté pourrait permettre aux personnes suicidaires d'explorer leur désir de mort et d'avoir des discussions franches avec des professionnels de la santé, sans crainte de s'exprimer ou d'être opprimé[3]. Il convient de distinguer, suivant les motivations et le cadre dans lequel ils se déroulent, « l'aide au suicide simple » du « suicide médicalement assisté ». Le terme de suicide possédant une connotation fortement péjorative, il est fréquent que d'autres termes soient employés tels que : « aide à mourir », « aide à la fin de vie », « mourir dans la dignité », etc. Terminologie[modifier | modifier le code]
Point de vue religieux sur le suicide Le suicide est un acte traditionnellement condamné par les doctrines religieuses. En effet, si le fait de se suicider est d'abord un acte contre soi-même, dans certaines conceptions religieuses la destinée de l'homme appartient à Dieu et le suicide constitue alors une rupture dans la relation de l'homme avec la souveraineté de son Dieu. Dans d'autres cas, l'acte est plus simplement considéré comme une action négative. Il existe cependant des nuances à ce rejet global du suicide quand la notion de sacrifice ou d'honneur entre en jeu. Bouddhisme[modifier | modifier le code] Selon les enseignements de Bouddha, ce qu'un individu fait à tout moment aura une conséquence sur son avenir, dans cette vie ou dans la suivante (voir le principe de la réincarnation). En revanche l’acte d’assistance au suicide est assimilé au meurtre d’un point de vue religieux. Hindouisme et jainisme[modifier | modifier le code] Christianisme[modifier | modifier le code] Chez les protestants[modifier | modifier le code]
Euthanasie - Le respect du mourant dans le judaïsme Détails Publication : dimanche 11 janvier 2015 21:25 par Jiminycriquette Sur la question de l'euthanasie : par le site « Halacha Yomit », 28/12/2014, (extraits) ... Question : Récemment, un malade en phase finale a demandé à ses médecins d’interrompre le fonctionnement des machines qui le maintenaient en vie, et entrainer ainsi sa mort. Réponse : Il est enseigné dans une Michna du traité Chabbat (151b) : « Celui qui ferme les yeux d’un mort au moment où il rend son dernier souffle est un meurtrier. » Cela signifie que celui qui ferme les yeux d’une personne agonisante, et rapproche ainsi sa mort d’un instant, est un véritable meurtrier, et son statut est le même que celui qui aurait assassiné un nourrisson d’un jour, car la chose n’est pas quantifiable, puisque même si la personne aurait pu vivre ne serait-ce qu’un instant supplémentaire et qu’on anticipe sa mort, il s’agit d’un meurtre. Source : halachayomit.co.il
Aide médicale à mourir Renseignez-vous sur l'aide médicale à mourir, y compris les exigences de la loi fédérale, l'admissibilité et le processus de demande. De même, vous pouvez vous renseigner à propos des examens indépendants actuellement en cours relatifs à des demandes qui ne sont pas admissibles en vertu de la loi. Vous pouvez également lire les rapports intérimaires donnant un aperçu de l'aide médicale à mourir à travers le pays et en savoir plus sur les exigences en matière de production des rapports sur l'aide médicale à mourir qui entreront en vigeur le 1er novembre 2018. Sur cette page À propos de l'aide médicale à mourir Changements au Code criminel En février 2015, la Cour suprême du Canada a statué dans l'affaire Carter c. En juin 2016, le parlement du Canada a adopté une loi fédérale qui permet aux adultes canadiens admissibles de demander l'aide médicale à mourir. Qui peut fournir l'aide médicale à mourir ou aider à la fournir Ceux qui peuvent fournir l'aide médicale à mourir sont : ou
Suicide assisté au Canada Le suicide assisté est l’acte de mettre volontairement fin à sa propre vie avec l’aide d’une personne qui en fournit les moyens ou les connaissances (voir aussi : Suicide). Entre 1892 et 2016, le suicide assisté est illégal au Canada aux termes de l’article 241 b) du Code criminel. En 2015, après des décennies de contestations judiciaires, la Cour suprême du Canada décide à l’unanimité d’autoriser le suicide assisté par un médecin. En juin 2016, le gouvernement fédéral vote la Loi sur l’aide médicale à mourir, qui définit les critères d’admissibilité et les garanties procédurales afférents au suicide assisté médicalement. Contexte et code criminel Avec l’introduction du Code criminel au Canada en 1892, le suicide et la tentative de suicide sont dorénavant considérés comme des infractions pénales aux termes de l’article 241 b). Différence entre suicide assisté et euthanasie Sue Rodriguez conteste la validité de la loi sur le suicide assisté (1993) Lorsque l’affaire Carter c.