Cut the bullshit: organizations with no hierarchy don’t exist
Do completely horizontal organizations truly exist? Fueled by growing excitement about self-management, bossless leadership and new governance models such as Holacracy, I increasingly hear large claims about the potential of “flat organizations”, which are being used as synonymous to “having no hierarchy”. I often wonder whether I am reading correctly: Organizations with no hierarchy at all, with real live people in them? I feel like there has been a misunderstanding here. To explain why I’ve been quite frustrated with this misunderstanding, let me describe a scenario I have been confronted with multiple times in the past years: a new person, let’s call her Lisa, joins OuiShare to actively contribute to our network. Pretty soon after joining and getting to work, Lisa notices she is having a hard time putting things in motion and garnering support for their work. It’s dynamic hierarchy, stupid! Hierarchy does not need to disappear from our organizations, but it needs to change.
Le travailleur nomade, ce travailleur des temps modernes - Pour travailler autrement
Travailleur nomade, portrait-robot À quoi il ressemble ce travailleur nomade dont le nom invite au voyage et qui donne l’impression qu’il a tout compris à la vie et au travail, tellement il semble épanoui dans sa vie ? Tout d’abord, c’est un homme ou une femme, freelance de préférence, ayant surtout besoin d’internet et d’un téléphone pour exercer son art. Dans certains cas, il peut être salarié dans l’une des quelques entreprises françaises qui se sont laissées tenter par le télétravail et qui offrent des conditions plus souples à leurs collaborateurs. Enfin, dans des cas plus rares, le travailleur nomade (appelons-le Camille) est bien celui qui voyage, qui passe de New York à Tombouctou en passant par Shanghai dans le week-end, et qui passe la moitié de son temps dans les transports. Notez que New York, Shanghai et Tombouctou peuvent aisément être remplacés par Paris, Bordeaux ou Arras par exemple. Aspirations & Ambitions Demain, tous nomades ?
Réunions, séminaires et formations : sortez du cadre
Votre objectif est clair, vous connaissez le thème et les défis de votre journée, vous avez un « bon » sujet. Sa mise en scène va lui donner vie et en faire une « bonne » pièce. Vous souhaitez l’assistance de spécialistes de l’animation ? L’organisation de séminaires et de formations est notre métier d’origine et nos experts ont l’expérience pour vous aider. Vous pourrez préparer avec eux le déroulé de votre journée, apprendre à utiliser les différents outils pédagogiques et technologiques : les fournitures, les Zalthaplans™, les Mnemos™, les paperboards de couleurs, les smartboards et autres Zaltha-trucs innovants. Vous avez besoin d’un fil rouge pour le bon déroulé de votre journée ? Nous vous proposons des journées-types et des fils conducteurs pour améliorer la cohérence, la dynamique et l’alternance de vos séquences. Vous avez prévu des séquences spécifiques ? Nous pouvons vous fournir des « kits » prêts à l’emploi.
The Silver Lining Of Anti-Globalism Might Be The Creation Of A True Digital Economy | Co.Exist | ideas + impact
The folks at Davos this week are trying to behave as if everything is normal. Sure, England is Brexiting from Europe and the United States appears to be retreating from the global stage altogether. But somehow the word from Switzerland is that a mix of the right interest rates, investment strategies, and business optimism will keep free trade and globalization on course and safe from this boorish surge of populism. They’re missing the point. Don’t get me wrong. Back then, the emergence of low-cost computers and networking appeared to augur a peer-to-peer, fluid, and more open economic landscape, one where we all step off the industrial-age, punch-the-clock treadmill and work in our own time, collaboratively, on creative pursuits, from home, in our underwear. Why aren’t we getting new, digitally enabled forms of community currency, worker-owned businesses, networked cooperatives, and peer-to-peer marketplaces? That’s the economy we’ve been living in for the past 600-or-so years.
Travail numérique
Le travail numérique regroupe toutes sortes de travail rémunéré, mal rémunéré ou non rémunéré, mais aussi d'activités non reconnues, de l'ombre, parfois atypiques ou anodines, ainsi que des activités assimilées à du loisir, du partage ou de la coopération[3]. Histoire[modifier | modifier le code] Externalisation des processus d'affaires[modifier | modifier le code] L'histoire du travail numérique est étroitement lié à l'histoire d'Internet et de l'externalisation (outsourcing) des processus d'affaires ou business process outsourcing (BPO)[4]. Au milieu du xxe siècle, les premières formes d'externalisation à l'étranger commencent à apparaître. Les maquiladoras, zones de traitement pour l'exportation qui ont apparu au Mexique après la fin du programme Bracero en 1964, produisaient des marchandises exonérées de droits de douane à finalité d'exportation. Plateformes de travail numérique[modifier | modifier le code] Diversité[modifier | modifier le code] Services[modifier | modifier le code]
Ressources humaines 2.0, 6 conseils pour recruter sur les réseaux
Aujourd’hui les réseaux sociaux font partie du quotidien des entreprises, pour développer l’activité, le chiffre d’affaires, communiquer mais également recruter. En effet les médias sociaux ont radicalement transformé et repositionné les méthodes du recrutement. Les réseaux professionnels LinkedIn et Viadeo mais aussi Twitter, Facebook, Google+ sont les nouveaux leviers préférés du recrutement 2.0. Les DRH sont nombreux à se lancer dans la bataille du recrutement sur les médias sociaux. Par exemple l’Oréal a fait du numérique son premier canal de recrutement. Mais les ressources humaines 2.0, c’est aussi un enjeu d’image de marque et d’attractivité auprès des candidats. Infographie : Quelques données sur le recrutement 2.0 6 conseils pour recruter efficacement sur les réseaux sociaux 1 – Définissez et adaptez votre stratégie Les réseaux sociaux permettent d’obtenir des candidatures plus qualitatives que les job boards. 2– Définissez les médias sociaux les plus pertinents
Holacratie… est-ce que ça marche ? | L’ADN
Il y a des idées qui font plus d’admirateurs que d’émules. La sociocratie, l’holacratie, l’entreprise libérée… beaucoup en parlent, peu les pratiquent. Pourtant l’idée de remettre en cause les organisations hiérarchiques pyramidales n’est pas nouvelle, et ses plus ardents défenseurs ont été des entrepreneurs au bilan remarquable : William L. McKnight chez 3M dans les années 1930, Bill et Genevieve Gore, inventeurs de Gore-Tex® en 1970, et, dans une certaine mesure, Sakichi Toyoda avec son système de production chez Toyota (TPS) à la fin de la Seconde Guerre mondiale… Pourtant, seules quelques expérimentations sont à l’œuvre dans les grands groupes (Danone, Michelin, Leroy Merlin, Kiabi, Orange, Castorama…), et elles restent discrètes. Pourquoi si peu d’émules ? On résume souvent ces trois concepts cousins (sociocratie, holacratie, entreprise libérée) par un lapidaire : on supprime les chefs. Ce n’est pas complètement faux, mais ce n’est pas entièrement juste non plus. Abscons ? Brian J.
Transformation digitale : l’évolution des mentalités avant tout
Lorsque l’on parle de transformation digitale, il est souvent commun de se concentrer sur l’évolution technologique, la mise à disposition de nouvelles technologies (le big data, les objets connectés …). En somme, on innove et on se modernise afin d’être plus efficace. Mais cela va plus loin et les mentalités jouent un rôle essentiel. Devenir une entreprise « digitale » demande une vraie volonté de changer. © Pixabay La transformation digitale est ainsi bien plus que la seule accumulation d’actions isolées (présence sur les réseaux sociaux, utilisation des médias digitaux, mise en place de nouvelles technologies dans les métiers de l’entreprise). L’humain au coeur de la transformation digitale 57 % des entreprises françaises déclarent que la transformation numérique fait partie de leurs axes stratégiques à moyen terme. Si l’objectif premier d’une entreprise reste la satisfaction de ses clients (sans négliger la profitabilité), l’enjeu est de savoir comment y répondre plus efficacement.