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CSP Pierre Marie Lledo : les neurosciences et la formation

CSP Pierre Marie Lledo : les neurosciences et la formation
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Les six attitudes de Porter - WikiMediation De WikiMediation. Elias Porter (1914 - 1987) est dans la mouvance de Carl Roger. Il prône la non-directivité dans les interventions d'accompagnement. Comme lui, il imagine qu'il doit être possible d'entrer dans la pensée d'autrui dès lors que l'on est en phase, d'autres diront que l'on se synchronise et pousseront l'idée à l'extrême (voire à l'absurde) dans la gestuelle et l'énonciation verbale (cf. la programmation neuro-linguistique). Porter contribue à définir le profil de la personne "empathique", soit celle qui a une "écoute bienveillante". Pour cela, il va élaborer un questionnaire dont l'objectif va être de distinguer six types d'attitudes : évaluation-jugement, interprétation, soutien-encouragement, investigation-enquête, suggestion-conseil-ordre, compréhension. "the therapist communicates their desire to understand and appreciate their clients perspective" "le thérapeute communique leur désir de comprendre et d'apprécier leur point de vue des clients." « Comment… ?

Les neurosciences au service de la formation en entreprise Directeur général de Xos learning, Guillaume Coppin présentait à l’occasion du iLearning Forum 2017 en janvier dernier les principaux enseignements qu’il avait retenu des neurosciences pour concevoir des sessions de formation plus efficace. En voici un rapide résumé : Il existe de nombreux mythes sur l’apprentissage sur lesquels on est revenus ces dernières années. Parmi ceux-ci citons en cinq : Contrairement à ce nous avons longtemps cru (Cf. le film « Lucy » de Luc Besson) nous avons déjà la capacité d’utiliser 100 % de notre cerveau et non pas 10, 15 ou 20 %.Une étude récente en Angleterre a par ailleurs montré qu’un apprenant ne va pas mieux apprendre si son style d’apprentissage (auditif, visuel ou kinesthésique) est favorisé.Des chercheurs de l’Institut de Neurosciences de l'Université de New-York ont démontré en 2015, que le multitâche ne fonctionne pas car l’anticipation d’une tâche à venir perturbe la performance de celle en cours.

Un livret pédagogie et neuropsychologie gratuit pour tous les enseignants et parents Rémi Samier et Sylvie Jacques, orthophonistes, sont à l’origine d’un livret très complet sur la pédagogie et la neuropsychologie. Il s’adresse à la fois aux enseignants et aux parents en prodiguant des explications scientifiques et des conseils pratiques pour faciliter l’apprentissage des enfants. Les troubles dys sont aussi traités. Le livret est à télécharger via ce lien.

Neurosciences à l'école : la controverse C’est la grande controverse éducative contemporaine: quelle place donner aux neurosciences et aux sciences cognitives à l’école ? D'une certaine manière, le ministre de l’Éducation nationale a déjà tranché : il vient d’installer un Conseil scientifique de l’éducation qui fait la part belle aux spécialistes des neurosciences, avec à sa tête le chercheur le plus en vue sur la question, Stanislas Dehaene. Mais des voix s’élèvent pour critiquer ce qui pourrait être une vision limitée de l’éducation : le milieu social, les moyens donnés à l’école, le niveau et la qualité de la formation des enseignants ne sont-ils pas des facteurs décisifs pour expliquer la réussite ou l’échec des enfants ? La passion actuelle pour les neurosciences ne risque-t-elle de le faire oublier en essentialisant l'enfant et en évacuant la dimension politiques des choix en terme d'éducation? Avec Les neurosciences remettent l’enfant au centre des apprentissages. Le site de la Main à la pâte Tribunes dans le monde:

Tous les secrets pour créer une (bonne) Escape Room – Gus and Co Temps de lecture: 8 minutes Depuis quelques mois, c’est la folie furieuse. Toutes les villes au monde, ou presque, comptent désormais leur Panic Room Experience. Ou Escape Room. Ou Live Escape Game. Ces jeux grandeur nature poussent littéralement comme des champignons aux quatre coins de la planète. Mais de quoi parle-t-on exactement là? Le concept est souvent le même. Et comment expliquer le succès (planétaire) de ces événements? On collabore, on essaie de relever un défi. En 2012 nous avons lancé The Panic Room Experience à Genève. Si vous aussi vous comptez vous lancer dans l’aventure et créer votre propre Room, voici quelques idées. 1. Juste enfermer les joueurs dans une salle et leur demander de résoudre des énigmes dans un temps limité est sympa. Pourquoi est-ce que les joueurs se retrouvent enfermés dans la salle? L’aspect narratif est important parce qu’il plongera vos joueurs dans un véritable film. Les gens, vous, moi, rêvons tous de vivre une aventure. 2. Quelles émotions? 3. 5.

9 manières de réduire la charge cognitive de vos participants durant vos formations et présentations Comme je vous le disais dans l’article de lundi, la surcharge cognitive est un phénomène crucial qui peut menacer la digestion mentale de vos participants. Lorsque leur mémoire de travail est trop sollicitée – notamment en raison d’un contenu trop important ou trop complexe – le cerveau de vos participants peut rapidement devenir saturé en informations. Outre un tube d’aspirine, je vous invite à découvrir ci-dessous 9 manières de réduire la charge cognitive au moment de délivrer votre contenu, que ce soit dans le cadre de formations, conférences et présentations : Découvrez 9 manières de réduire la charge cognitive de vos participants lors de vos prochaines formations et présentations en public. 1. Dans le cas d’une présentation, si vous avez tendance à inclure trop d’informations sur vos diaporamas, réduisez-en le contenu en privilégiant des images, photos, animations, schémas, mots-clés… Accompagnez vos slides en présentant oralement le contenu et les détails. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

Neuromythes : 4 risques quand on s'intéresse à la neuroéducation La science et l’intuition se rencontrent et s’opposent : certains disent qu’il faut se fier à l’instinct (aux sensations, aux émotions, à ce que ça fait à l’intérieur) et d’autres disent que les décisions (politiques, sociétales, marketing, économiques, éducatives) doivent être guidées par les sciences. Aujourd’hui, nous avons la possibilité de nous informer rationnellement pour confirmer ou infirmer les informations envoyées par nos sensations et nos émotions. Pour autant, toutes les informations disponibles qui se réclament scientifiques ne sont pas pour autant dénuées de biais. Elena Pasquinelli, chercheuse en philosophie et sciences cognitives, professeure à l’école normale supérieure de Paris, nous invite donc à la prudence en ce qui concerne l’application des découvertes en neurosciences à l’éducation et à la pédagogie (la neuroéducation). Risque 1 : l’utilisation du savoir scientifique comme prescriptif. Risque 2 : croire qu’on peut passer du laboratoire à la société directement.

Les 4 piliers de l’apprentissage d’après les neurosciences – Stanislas DEHAENE D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, auteurs de La pédagogie positive, la définissent comme Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique. Stanislas Dehaene ajoute que l’attention sert à sélectionner les informations, module massivement l’activité cérébrale et facilite l’apprentissage. Mais l’attention peut être sélective. Quelles conséquences pour l’enseignement ? 2. Stanislas Dehaene écrit : 3. 4.

Les Neurones Miroirs : rôle et utilité •ParcoursduLoupBlanc.com Découverts dans les années 90 par Giacomo Rizzolatti, neurologue à Parme, les neurones miroirs sont une révélation majeure dont on n’a pas fini de faire le tour ! Les neurones miroirs signifient que le cerveau réagit non seulement à soi mais aussi à son semblable. Fondamentales donc dans notre système de relation, ces neurones miroirs font partie de nos 100 milliards de neurones. Ils s’activent (en miroir) lorsqu’il y’ a geste et également, chez l’homme, lorsqu’il y’ a intention de geste. Les conséquences de cette découverte dans la compréhension de nos processus de communication sont prodigieuses. Caractéristiques des neurones miroirs Leur caractéristique principale est de s’activer (aire F5 du lobe frontal) non seulement quand on exécute une action mais aussi quand on l’observe chez l’autre. Et d’anticiper ; je pourrais vous dire à ce moment là, « Attention, c’est chaud ! L’activation du système miroir ne s’active qu’au sein d’une même espèce. Neurones miroirs : comment ça marche ?

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