Grâce à l’intelligence artificielle, la NASA et Google identifient deux nouvelles exoplanètes L’ordinateur a appris à différencier les véritables planètes des erreurs de mesure en observant 15 000 enregistrements du télescope Kepler. Ce jeudi 14 décembre, la NASA et Google ont annoncé lors d’une conférence de presse commune avoir découvert deux nouvelles planètes extérieures à notre système solaire, ou exoplanètes, baptisées Kepler-80g et Kepler-90i. Une découverte qui vaut davantage pour sa méthode que pour son objet : depuis sa mise en service en 2009 et jusqu’en 2013, le télescope spatial Kepler a déjà permis d’identifier 4 000 exoplanètes en observant les variations lumineuses de 200 000 étoiles. En revanche, c’est la première fois que le mérite de cette découverte revient à un réseau de neurones artificiels. Lire nos explications : Comment le « deep learning » révolutionne l'intelligence artificielle
L'intelligence artificielle d'IBM remplace 34 employés d'un assureur Alors que les exemples de systèmes d'intelligence artificielle remplaçant les humains sont actuellement rares, ils seront de plus en plus nombreux dans les prochaines années. Le journal national japonais Mainnichi rapporte que l'intelligence artificielle d'IBM, basée sur le système Watson, permet à une société d’assurance-vie japonaise (la Fukoku Mutual Insurance) de remplacer 34 employés (25 % du personnel). Le système assure le travail du département de l'évaluation des paiements. Facebook veut détecter les messages suicidaires grâce à l’intelligence artificielle Après une expérience jugée satisfaisante aux Etats-Unis, le plus grand réseau social au monde veut élargir ce dispositif. Comment détecter plus rapidement les internautes suicidaires, pour les empêcher de passer à l’acte ? En réponse à cette problématique, Facebook a annoncé lundi 27 novembre qu’il allait déployer à grande échelle une technologie d’intelligence artificielle visant à repérer automatiquement les messages laissant penser à des intentions suicidaires.
AlphaZero : l'IA de Google DeepMind devient imbattable aux échecs DeepMind, filiale de Google, a fait une nouvelle démonstration des performances de son programme d'intelligence artificielle. AlphaZero, une variante d'AlphaGo qui pratique l'apprentissage par renforcement, n'a mis que quatre heures en partant des règles de base pour vaincre le meilleur programme de jeux d'échecs actuel. Après avoir démontré l'implacable supériorité de son intelligence artificielle (IA) au jeu de go, DeepMind, filiale de Google, cherche désormais à rendre celle-ci plus généraliste. L'objectif est de créer une IA réussissant à accomplir des tâches complexes dans le monde réel avec un minimum de connaissances a priori. Intelligence artificielle : l'ordinateur de Google a vaincu un humain au jeu de go La date du 25 mai entre dans l'histoire de l'intelligence artificielle. L'ordinateur AlphaGo Master, construit par la société américaine Google, a battu ce jeudi le champion mondial du jeu de go, le Chinois Ke Jie. Ce jeu de go a justement été inventé en Chine, durant ce qu'on appelle la période des Printemps et Automnes, avant Jésus-Christ. C'est probablement le jeu le plus simple dans ses règles et le plus compliqué dans la stratégie.
Google développe une intelligence artificielle grâce aux mégadonnées d'hôpitaux britanniques Les données de plus de 1,6 million de patients anglais vont être analysées par un programme d'intelligence artificielle développé par Google, rapporte New Scientist. Un accord a été signé entre DeepMind, une entreprise propriété de Google, et le Royal Free NHS Trust (qui dépend du service de santé public), qui gère trois hôpitaux à Londres. DeepMind est notamment connu pour AlphaGo, une intelligence artificielle qui a battu les champions mondiaux de Go au début de l'année. Le projet vise à développer d'une application portant sur les maladies du foie dédiée à aider au diagnostic et aux décisions. Les systèmes d'intelligence artificielle sont basés sur des techniques dites d'apprentissage profond à partir de gigantesques bases de données.
Intelligence artificielle : la France dévoile son plan pour rester dans la course Le président de la République Emmanuel Macron a dévoilé un plan d'investissement de 1,5 milliard d'euros pour soutenir le développement de l'intelligence artificielle en France. Il s'appuie sur le rapport commandé au mathématicien et député Cédric Villani. Pour que la France « ne rate pas le train de l'intelligence artificielle » (IA), Emmanuel Macron a présenté jeudi un plan ambitieux pour développer cette nouvelle technologie en passe de révolutionner l'économie et la société et qui est actuellement dominée par les États-Unis et la Chine (voir le discours du chef de l'État via YouTube).
Avec son école d'intelligence artificielle, Microsoft a bien l’intention de faire de l’ombre à l’école 42 Microsoft a ouvert la première école IA en partenariat avec Simplon. La formation dure de sept mois et aboutit à 12 mois de contrat de professionnalisation au sein des entreprises partenaires de Microsoft. Quatre certifications sont remises à l’issue de la formation. 2017, année de la grande bascule vers l'intelligence artificielle 2016 a été une grande année pour l'intelligence artificielle. Mais l'année 2017 devrait être encore plus prospère. Les progrès dans le domaine de l'IA devraient continuer à s'accélérer l'an prochain, avec une adoption encore plus forte par l'industrie, les entreprises, dans les applications et les services. Depuis des années, les chercheurs promettent une révolution dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA). En 2016, la technologie a fait des progrès majeurs. Et aujourd’hui, le temps de cette révolution semble enfin arrivé. « L’année 2016 a été exceptionnelle pour l’IA », a déclaré Patrick Moorhead, analyste chez Moor Insights & Strategy. « Des géants de l'industrie comme Microsoft, Google, Amazon, IBM, Intel et Nvidia, s’ils n’ont pas tous fait de l’IA un de leurs objectifs principaux, ont soutenu le secteur et ont multiplié leurs offres pour démocratiser ces technologies ».
L'intelligence artificielle en plein essor grâce à la révolution de l'« apprentissage profond » Les techniques d'« apprentissage profond » (« deep learning ») ont, en moins de 5 ans, complètement bouleversé le domaine de l'intelligence artificielle (IA), selon Yann LeCun qui dirige le nouveau laboratoire d'intelligence artificielle de Facebook à Paris. L'apprentissage profond est utilisé, par exemple, par Siri, Cortana et Google Now pour la reconnaissance vocale, par Google Maps pour déchiffrer le texte présent dans les paysages (comme les numéros de rue) et par Facebook pour détecter les images contraires à ses conditions d'utilisation et pour reconnaître les utilisateurs présents sur les photos publiées (une fonctionnalité non disponible en Europe). « Toutes les grandes entreprises tech s'y mettent : Google, IBM, Microsoft, Amazon, Adobe, Yandex ou encore Baidu y investissent des fortunes », rapportait la journaliste Morgane Tual dans Le Monde en juillet 2015. La journaliste cite Yann Ollivier, chercheur en IA au CNRS, qui explique : « Comment reconnaître une image de chat ?
Intelligence artificielle L'intelligence artificielle (IA) est « l'ensemble des théories et des techniques mises en œuvre en vue de réaliser des machines capables de simuler l'intelligence humaine »[1]. Ses finalités et son développement suscitent, depuis toujours, de nombreuses interprétations, fantasmes ou inquiétudes s'exprimant tant dans les récits ou films de science-fiction que dans les essais philosophiques[5]. La réalité semble encore tenir l'intelligence artificielle loin des performances du vivant ; ainsi, l'IA reste encore bien inférieure au chat dans toutes ses aptitudes naturelles[6]. Définition[modifier | modifier le code]
Boeing dévoile son Loyal Wingman, un drone d'escorte armé et quasi autonome Une escorte furtive sans pilote pour les pilotes de chasse: tel est le concept du Loyal Wingman de Boeing. Au lieu de mobiliser des chasseurs pour en escorter un autre, l'armée australienne pourra désormais en envoyer un seul en mission, épaulé par un ou plusieurs drones armés et quasi autonomes pour leur pilotage. Avec 11,7 mètres de long et 3.700 kilomètres d'autonomie, il permettra aussi de mieux protéger les chasseurs et de mettre en place de nouvelles tactiques militaires. Le projet, annoncé il y a quatorze mois, est issu d'une collaboration entre Boeing Australie et le ministère australien de la Défense. Ces drones sont quasi autonomes en ce qui concerne leur pilotage. Un opérateur leur donne la direction générale à suivre, puis l'IA prend le relais.
merci pour cet article positif qui montre les perspectives de l'I.A. en médecine; notamment dans les domaines où les avancées sont difficiles, comme les patients résistants aux traitements anticancéreux classiques by crepieux_groupec Jan 24