Eduscol - Ressources pour les EANA Accueillir les élèves et les parents nouvellement arrivés en France L'obligation d'accueil dans les écoles et les établissements s'applique de la même façon pour les élèves allophones nouvellement arrivés en France que pour les autres élèves. Cet accueil commence par une information claire et accessible qui présente le système éducatif français, les droits et devoirs des familles et des élèves ainsi que les principes qui régissent le fonctionnement de l'École. Un livret d'accueil bilingue Le livret d'accueil est un outil d'information et de communication qui s'adresse aux parents et aux élèves allophones nouvellement arrivés découvrant le système éducatif français. Il se présente sous la forme d'un livret bilingue traduit actuellement en douze langues. Ce livret et sa version audio peuvent être mis à la disposition des parents et des élèves dès le premier accueil afin de faciliter la prise de repères dans le système scolaire. Télécharger les livrets d'accueil bilingues :
LE RACISME EN THÉORIES - Clio Prépas « Le racisme est la valorisation, généralisée et définitive, de différences réelles ou imaginaires, au profit de l’accusateur et au détriment de sa victime, afin de justifier ses privilèges ou son agression » [1] La définition du grand sociologue Albert Memmi, souvent reprise, fait autorité. Elle recouvre bien l’ensemble de la pensée et des comportements racistes. Elle souligne en particulier leur caractère instrumental et leur dimension fantasmatique, souvent inextricablement mêlés. Le problème est qu’elle est trop large. Prise en charge dans les pays communistes sous forme de « haine de classe », valorisée et encadrée, elle conduisit dans certains cas à d’effroyables ravages, qui ne le cèdent en rien en gravité à ceux du pire racisme. Le racisme y ajoute du performatif et une visée politique, qu’elle s’en tienne au discours ou se traduise en actes. Pour presque tous les racistes, le mélange des races est une abomination, les métis des dégénérés : la mixophobie est à l’ordre du jour.
Méfiez-vous des cartes, pas des migrants Peut-on faire confiance aux cartes des migrations ? Paradoxalement, c’est un atlas qui pose la question, et qui donne une réponse sans appel : il faut s’en méfier. Fruit d’un long travail de terrain, mené par le réseau Migreurop (1), qui réunit militants et chercheurs, l’Atlas des migrants en Europe (2) propose de déconstruire les cartes «officielles» des phénomènes migratoires. Face à un Vieux Continent qui croit prendre sa part de la misère du monde et qui le montre avec une carte où chaque pays affiche un cercle rouge proportionnel aux quelques milliers de Syriens accueillis, les auteurs élargissent le cadre. Ils intègrent les pays du Moyen-Orient, notamment la Turquie, le Liban et la Jordanie, où se trouve l’immense majorité des réfugiés syriens, pour relativiser la générosité européenne. Même chose avec l’idée d’un péril migratoire, matérialisé par d’énormes flèches rouges en provenance de chaque pays d’Afrique qui se rejoignent en un flux massif vers une Europe prise d’assaut.
ASL WEB Race et histoire | Nous et les Autres La rotonde déroule le fil de l’histoire des idées du 17e au 19e siècle Sur les parois d’un espace cylindrique, se font face, dans l’ordre chronologique, le contexte historique des conquêtes coloniales et la construction scientifique de la notion de « race ». Les dates clefs et les éléments portés à la connaissance des visiteurs sont appuyés par des documents iconographiques et par des objets. Trois bornes multimédia présentent, sous forme d’images et de récits, le contexte historique de l’esclavagisme et du colonialisme et la démarche scientifique. Des esclaves aux indigènes : quand le droit entérine la suprématie des européens Partis à la conquête du monde à la fin du 15e siècle, les Européens, entrant en contact avec des peuples « autres » par leur couleur de peau et leurs pratiques culturelles, vont justifier leur domination par la prétendue supériorité de la « race » blanche et édicter des règles pour asseoir leur suprématie. Quand la science s’en mêle…
Missing Migrants Project Migration across the Mediterranean: context in brief There is a long history of migration via the Mediterranean. Human mobility in all directions across the Mediterranean has occurred for thousands of years. [1] For example, UNITED for Intercultural Action and the Deaths at the Border Database Central Mediterranean The Central Mediterranean route is the overseas crossing from North Africa to Italy and, to a lesser degree, Malta. Between 1997 and 2010, an average of about 23,000 migrants arrived in Italy each year across the Mediterranean, though the number of arrivals recorded dropped to less than 10,000 between 2009 and 2010. Western Mediterranean The Western Mediterranean has been a crossing point between North Africa and Spain for thousands of years. Eastern Mediterranean The Eastern Mediterranean route involves maritime migration from Turkey to Greece and, to a lesser degree, Cyprus and Bulgaria. Overview of migrant deaths in the Mediterranean Data collection and challenges Resources
Liste des outils This site uses cookies to offer you a better browsing experience. Find out more on how we use cookies and how you can change your settings. Skip to Content List of all tools Download all tools in pdf version Tool 1 - The geopolitical context of migration Download Tool 1 - The geopolitical context of migration - Word version Download Tool 1 - The geopolitical context of migration - PDF version Tool 2 - The rights and legal status of refugees: some basic facts and terms Download Tool 2 - The rights and legal status of refugees: some basic facts and terms - Word version Download Tool 2 - The rights and legal status of refugees: some basic facts and terms - PDF version Tool 3 - Ethical and intercultural issues to be aware of when working with refugees Download Tool 3 - Ethical and intercultural issues to be aware of when working with refugees - Word version Download Tool 3 - Ethical and intercultural issues to be aware of when working with refugees - PDF version Tool 5 - Arabic: some information
L’antisémitisme sans fin | Revue Esprit Esprit vous offre encore : 3 visites Le 16 mai 1896, Émile Zola publiait dans Le Figaro un article courageux, solitaire et retentissant, « Pour les Juifs ». Se dressant contre les violences antijuives en France qui niaient les valeurs démocratiques de la République, le futur auteur du « J’accuse… ! » du 13 janvier 1898 proclamait sa pleine solidarité avec les Juifs. L’article lui valut les foudres d’Édouard Drumont et de son journal, La Libre Parole, le moniteur de l’antisémitisme depuis 1892. Faut-il aujourd’hui rappeler ce précédent et écrire une suite à l’article de 1896 ? Depuis ces dernières décennies, ces dernières années, et encore récemment, une doxa progresse inexorablement en France, à la fois en intensité, en diversité et en gravité. Avec cette logique de disculpation, la Shoah, ce serait seulement l’Allemagne nazie et Auschwitz, c’est-à-dire des réalités si extrêmes et si étrangères que l’on serait sûr qu’elles ne reviendraient jamais.
Mobilités et migrations intra-africaines La majorité des migrants internationaux africains changent de pays sans sortir du continent. D'après un volet récent de l'émission « Le Dessous des cartes », 13,4 % des 32 millions de migrants comptabilisés dans le monde sont africains, et une majorité d'entre eux reste en Afrique. L'Afrique du Sud est le pays d'Afrique qui compte le plus d'immigrés : 3,15 millions venus principalement des pays voisins. Le documentaire rappelle aussi que la xénophobie est présente dans les pays d'accueil comme l'Afrique du Sud ou la Côte d'Ivoire. Les migrations économiques ne doivent pas faire oublier les réfugiés et les déplacés qui sont plus nombreux en Afrique qu'en Syrie et en Irak réunis. La convention de Kampala de 2008 vise à mieux accueillir ces déplacés mais plusieurs pays ne l'ont pas encore ratifiée. « Migrations intra-africaines », Le Dessous des Cartes du 6 janvier 2018, disponible jusqu'au 6 mars 2018, Arte, 13 min. Voir aussi : Dans la littérature scientifique Sitographie
Tous nos téléchargements | OFII Aller au contenu principal Navigation principale Fil d'Ariane Tous nos telechargements Tous nos téléchargements Vous êtes étudiant, chercheur ou partenaire de l’OFII ? Les Cahiers de l’Administration : La modernisation de l’OFIIL’OFII, un Etablissement Public aux multiples facettes Plaquette institutionnelle de l’OFII Découvrez la plaquette institutionnelle de l’OFII 2018Découvrez la plaquette institutionnelle de l’OFII 2017 Rapports d’activité Rapport d'activité de l'OFII 2016Rapport d'activité de l'OFII 2015Rapport d'activité de l'OFII 2014Rapport d'activité de l'OFII 2013Rapport d'activité de l'OFII 2012Rapport d’activité de l’OFII 2011Rapport d’activité de l’OFII 2010 Rapport d’activité de l’OFII 2009 Immigration Formulaire de demande de Regroupement Familial Accueil et Intégration Demandeurs d’asile Etat du Dispositif National d’Accueil des Demandeurs d’Asile et des Réfugiés (DNA) Aide au Retour Rapport sur la réforme du régime des aides aux retours volontaires et à la réinsertion en 2009 _
« Islamophobie », un mot, un mal plus que centenaires Historiquement, l’affrontement armé a encadré la totalité de l’histoire des rapports entre l’Occident et le monde musulman. Il fut le premier mode de contact, lors de la conquête arabe du sud de l’Europe, puis lors des Croisades, en Orient. Et si l’on s’en tient à la colonisation française à l’ère moderne, toutes les générations de Français depuis 1830 ont perçu des échos d’affrontements avec le monde arabo-musulman au sein de l’empire : prise d’Alger (1830), guerre menée par Abd el-Kader (1832-1847), révolte de Kabylie (1871), lutte contre les Kroumirs et établissement du protectorat sur la Tunisie (1880-1881), conquête du Maroc et établissement du protectorat sur ce pays (1907-1912), révolte en Algérie (1916-1917), guerre du Rif (1924-1926), révolte et répression en Algérie (mai 1945), affrontements avec l’Istiqlal et le sultan au Maroc (1952-1956), avec le Néo-Destour en Tunisie (1952-1954), cycle clos par la guerre d’Algérie (1954-1962). Un mot qui remonte à 1910 Schizophrénie.