Google sur le point de corriger un problème fondamental de l'intelligence artificielle En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez nos CGU et l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... Accueil PierreFONTAINE Journaliste Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter Actualités Les IA utilisant des réseaux neuronaux sont très performantes pour réaliser un type de tâches mais oublient ce qu’elles ont appris quand on leur confie un nouveau travail. Avant de mettre à terre des champions du jeu de Go, les intelligences artificielles de DeepMind, société britannique rachetée par Google en 2014, s’attelaient à faire mieux que les humains face à quelques vieux jeux Atari. L'oubli catastrophique L'inspiration des neurosciences Le poids élastique du savoir Un progrès immense. Source :Blog de DeepMind Pierre FONTAINE à suivre sur Sage
Google Earth VR : un tour du monde en réalité virtuelle Puisqu'il est quasiment impossible de voyager dans le monde entier, Google propose de le faire de chez soi, par l'intermédiaire d'un casque de réalité virtuelle, en l'occurrence le Vive d'HTC, et d'une application dédiée, Google Earth VR. L'idée est de pouvoir totalement s'immerger dans un survol virtuel de la Terre, et d'admirer aussi bien les grandes villes que les sites naturels exceptionnels vus du ciel. Google Earth VR permet ainsi un voyage sur quelques 510 millions de km², ce qui offre l'embarras du choix pour profiter durant des heures d'un spectacle véritablement exceptionnel. Toutefois, seuls les heureux propriétaires d'un casque Vive signé HTC peuvent pour le moment profiter de cette application disponible gratuitement depuis la plate-forme Steam. À ce tarif élevé, il faut encore ajouter 1.000 à 1.500 euros pour une ordinateur de bureau doté d'une configuration suffisamment puissante pour faire tourner des applications de réalité virtuelle très gourmandes en ressources.
Intelligence artificielle : Google DeepMind se dote d’une unité de recherche sur l’éthique Cette entreprise, parmi les plus avancées du secteur, veut travailler sur plusieurs thématiques liées à l’IA, comme le respect de la vie privée, l’impact économique ou encore les armes autonomes. « La technologie n’est pas neutre, et les ingénieurs doivent prendre leurs responsabilités concernant l’impact éthique et social de leur travail. » C’est avec ces mots que DeepMind, l’entreprise d’intelligence artificielle (IA) londonienne rachetée par Google en 2014, a annoncé mardi 3 octobre sur son blog la création d’une unité de recherche en son sein sur les questions éthiques. « Nous pensons que l’IA peut bénéficier au monde de façon extraordinaire, mais seulement en se tenant aux plus hauts standards éthiques », écrit l’entreprise. DeepMind est notamment connue pour avoir mis au point AlphaGo, le premier programme informatique à avoir battu les meilleurs professionnels du jeu de go, en mars 2016 – un bel exploit dans le monde de l’intelligence artificielle. Vie privée et armes autonomes
Le Japon voit son avenir économique dans l'IA et les robots - Business Conscient du vieillissement de la population, le premier ministre japonais considère que l'intelligence artificielle et la robotisation permettront au pays de rester en croissance malgré ses problèmes démographiques. Confronté à une population vieillissante, le Japon pourrait s’appuyer sur l’intelligence artificielle pour soutenir sa croissance et maintenir ainsi le niveau de vie de la société et sa compétitivité sur le plan international. C’est en filigrane ce qu’a laissé entendre le premier ministre du pays, Shinzō Abe, à l’occasion du salon allemand CeBIT qui se déroule du 20 au 24 mars à Hanovre. « Le Japon n’a pas peur de l’intelligence artificielle. La réalité, c’est que l’intelligence artificielle et la robotique sont déjà en train de se répandre dans divers pans de l’économie japonaise, que ce soit le secteur primaire, secondaire ou tertiaire. Le Japon, comme n’importe quel pays, a besoin de main d’œuvre.
DeployHappiness | Hiring the Perfect IT Employee Nothing can screw up a team faster than hiring a bad employee. The focus is often on certifications, degrees, and experience (CDEs). Softer traits like honesty and adaptation are often ignored. For the most part, it is easier to look at hard stats than to measure these soft qualities. Below are five specific traits you should look for along with the steps you can take to gauge these attributes. Honesty Of the five traits, honesty is the most important. Separating these two in an interview involves a bit of game theory. Method 1: Stump the Chump This isn’t the most accurate of titles as you don’t actually want to make the applicant look bad. Method 2: Worst Mistake In IT, we have this huge fear when talking about a mess up that we’ve caused. Preventive If you are a regular reader, I would bet that you are a huge believer in the magician style of work. Ask questions about past problems at work and solutions that they have come up with. It is this last one that is so difficult to answer.
Microsoft AI Factory : 7 start-ups pour construire une communauté de l’IA au cœur de Station F - Hub Presse Microsoft France Issy-Les-Moulineaux, 13 septembre 2017 – Partenaire de l’écosystème innovant en France depuis plus de 30 ans, Microsoft France s’est engagé auprès de Station F afin de stimuler l’émergence de champions français de l’intelligence artificielle au sein de Microsoft AI Factory. Sept start-ups, déjà reconnues sur le marché, ont ainsi fait leur rentrée en septembre à Station F, dans le cadre du programme déployé par Microsoft. Elles vont bénéficier d’un accompagnement privilégié : mentoring resserré, hébergement pendant un an au sein de l’espace Microsoft de Station F, soutien des chercheurs de Microsoft et Inria, accès au programme BizSpark Plus ainsi que des conseils en matière de promotion et commercialisation de leurs solutions dans le cadre d’une démarche de co-marketing et co-selling. Sept start-ups pour animer une communauté française de l’Intelligence Artificielle Les sept start-ups d’ores et déjà sélectionnées et accompagnées par Microsoft au sein de Station F sont les suivantes :
DeepCoder, l'IA qui code en s'inspirant d'autres logiciels - Tech Des développeurs de Microsoft et de l'Université de Cambridge ont conçu une IA capable de coder des logiciels simples. Elle pourrait devenir très utile pour les développeurs comme pour les personnes moins à l'aise avec la programmation informatique. L’intelligence artificielle DeepCoder pourrait être très utile aux codeurs en herbe. Cette technique, nommée « synthèse de programme », s’appuie sur un processus d’apprentissage qui vise à combiner de manière fonctionnelle les fragments de codes en s’assurant que leur combinaison fonctionne. Armando Solar-Lezama, un développeur du MIT non impliqué dans le projet, est convaincu de l’apport de cette IA : « Le potentiel d’automatisation offert par ce genre de technologies permet d’envisager une énorme [réduction] des efforts nécessaires pour coder. » À la différence d’un développeur humain, l’IA est capable d’effectuer des recherches de codes plus approfondies et de les combiner d’une manière utile et, parfois, impensable.
How Today's Computers Weaken Our Brain At 10 P.M. on September 22, 1912, Franz Kafka, then a twenty-nine-year-old lawyer, sat down at his typewriter in Prague and began to write. He wrote and wrote, and eight hours later he had finished “Das Urteil” (“The Judgment”). Kafka wrote in his diary, “I was hardly able to pull my legs out from under the desk, they had got so stiff from sitting. The fearful strain and joy, how the story developed before me, as if I were advancing over water.” In April, 1951, on the sixth floor of a brownstone in New York’s Chelsea neighborhood, Jack Kerouac began taping together pieces of tracing paper to create a hundred-and-twenty-foot-long roll of paper, which he called “the scroll.” In 1975, Steve Jobs, working the night shift at Atari, was asked if he could design a prototype of a new video game, Breakout, in four days. The accomplishments of Kafka, Kerouac, and Wozniak are impressive, but not completely atypical of what can be achieved by talented people in states of supreme concentration.
L'intelligence artificielle de Deepmind (Google) apprend en se souvenant Les systèmes d’apprentissage par « deep learning » ont une limitation majeure : ils perdent la mémoire face à chaque nouveau problème. Du coup, ils excellent à une tâche spécifique (reconnaître une image, traduire un texte, jouer au Go) mais ils ont une polyvalence inférieure à celle d’un poisson rouge. Deepmind, la start-up rachetée par Google en 2014, affirme cependant avoir mis au point des réseaux neuronaux capables d’apprendre « en continu », une percée majeure sur la route d’une intelligence artificielle générale (IA « forte ») qui nous mettra tous au chômage. Attention à ne pas s’enflammer, on est encore très loin de la « singularité », ce moment hypothétique où émergera une « super-intelligence ». Le système de Deepmind avait déjà mis l’humain minable en apprenant tout seul à jouer à une trentaine de jeux d’arcade (Space Invaders, Pong etc.) en se basant uniquement sur le score pour évaluer l’impact positif ou négatif d’une action.
Avec TensorFlow en version finale, Google veut frapper fort dans le domaine de l'IA Google vient de publier en version finale son moteur d’apprentissage profond, TensorFlow. La nouvelle mouture se veut beaucoup plus rapide dans ses calculs, et plus flexible. Elle s’enrichit de plusieurs fonctionnalités au passage, tout en s’ouvrant à de nouveaux langages. En novembre 2015, Google prenait la décision d’ouvrir son moteur TensorFlow à l’open source, en le plaçant sous licence Apache 2.0. Il était question alors de prendre de l’avance dans le domaine de l’intelligence artificielle, et plus particulièrement dans les architectures de type neuronal, utilisées pour gérer de grandes quantités de données, l’apprentissage profond (ou automatique) ainsi que certains calculs spécifiques. Cette trousse à outils, utilisée par Google pour ses propres services (notamment la reconnaissance vocale), est désormais disponible en version 1.0 finale. Google veut aller vite, très vite Quelles nouveautés pour cette version 1.0 ? Nouveaux modules et ouverture aux langages Fédérer pour mieux régner
La Blockchain, une révolution qui va changer le monde La Blockchain est apparue en 2009 avec la monnaie bitcoin, qui s'est révélée ensuite n'être qu'une des nombreuses utilisations possibles de cette technologie. Elle consiste en un registre public, tel un grand livre de compte, où sont inscrits l'ensemble des échanges effectués entre les utilisateurs de cette Blockchain depuis sa création. Tous ces échanges sont consultables par tout un chacun qui peut en vérifier la validité, et ne sont pas falsifiables. La particularité de la Blockchain réside d'une part dans son fonctionnement sans intermédiaire (ce qui permet par exemple d'éliminer des frais d'infrastructure), d'autre part dans sa sécurité : cette technologie repose en effet sur un grand nombre de noeuds, en lieu et place d'un seul serveur. Pirater une Blockchain nécessiterait en théorie de prendre le contrôle d'au moins la moitié des noeuds, un exploit quasiment hors de portée. L'important n'est cependant pas la Blockchain elle-même, mais ce qu'elle rend possible.
Rentrez dans l'univers du Watson Summit Paris 2017 - Technologie Le mardi 10 octobre, plongez dans le Watson Summit Paris 2017 en Facebook Live et sur Twitter avec Les Clés de Demain. Nos journalistes partageront les décryptages des experts et les impressions des entreprises et startups venues découvrir l'intelligence artificielle d'IBM.#WatsonSummitFR. Le Watson Summit Paris, rendez-vous annuel organisé par IBM, convie quelque 1500 professionnels à plonger dans l'intelligence artificielle, l'analyse cognitive, le cloud... Le 10 octobre, grandes entreprises, startups et experts y débattront des subtilités des intelligences artificielle et augmentée, de l'entreprise apprenante ou de la blockchain. A cette occasion, Nicolas Sekkaki, président d'IBM France a accordé un entretien exclusif aux Clés de Demain. « L'IA, c'est la quatrième révolution industrielle, insiste-t-il en introduction. Impossible, enfin, de ne pas s'intéresser à quelques-unes des startups du Village Expo Start-up.
Les changements d'état de la matière n'ont plus de secret pour les intelligences artificielles Des physiciens utilisent des intelligences artificielles pour identifier les états exotiques de la matière. Grâce à une grande base de données, les IA produisent des résultats impressionnants. Des physiciens du Perimeter Institute du Canada et de l’École polytechnique fédérale de Zurich ont utilisé des intelligences artificielles pour mener deux observations indépendantes sur les états exotiques de la matière. Ces derniers sont au cœur de l’actualité scientifique depuis qu’une étude à leur sujet a remporté le Prix Nobel de physique en 2016. Cette théorie signée David Thouless, Duncan Haldane et Michael Kosterlitz se penchait sur le concept des transitions de phase : des altérations drastiques des propriétés physiques de la matière ; par exemple avec le passage d’un gaz à un état solide ou le contraire. De cette manière, les scientifiques pourront mieux identifier les conditions qui provoquent les transitions de phases et engendrent de nouveaux états exotiques de la matière.