Synchronicité et Hasard (Par Hans Primäs) [1] En 1992 est apparue dans les éditions Springer la correspondance entre le psychiatre Carl Gustav Jung et le physicien théorique Wolfgang Pauli - un document de premier ordre relatif à l’histoire des idées [2]. A côté de beaucoup d’informations personnelles - qui ne nous intéressent ici que de façon secondaire - il s’agit surtout de discussions sur la relation entre la psyché et la matière. En partant de leurs domaines professionnels respectifs, le psychologue Jung et le physicien Pauli sont parvenus tous les deux avec une concordance remarquable à la supposition de "l’existence d’un seul monde, dans lequel la psyché et la matière seraient une seule et même chose, que nous distinguons uniquement pour mieux les connaître en eux-mêmes" [3]. Jung a écrit dans une lettre datée de 1956 : "Je ne doute pas que la psyché objective contienne des images qui éclaircissent le secret de la matière. 1. "L’Orient fonde sa pensée et son évaluation des faits sur un autre principe.
J'ai un arbre dans ma vie "J'aime appuyer ma main sur le tronc d'un arbre devant lequel je passe, non pour m'assurer de l'existence de l'arbre - dont je ne doute pas - mais de la mienne." Christian Bobin "Je suis en sève, c’est vrai. Le printemps remue toute ma nature de plante et me fait produire des fruits littéraires qui éclosent en moi, je ne sais comment. " Guy de Maupassant En cherchant bien, nous avons tous un arbre qui a marqué notre vie. Nos modes de vie urbanisés nous éloignent, voire nous déconnectent de la nature et de ses arbres. Avec : Les mécènes de tilleuls (tilia ) plantés dans l’allée des Mortemets au parc du Château de Versailles *Catherine Pégard, * présidente de l'établissement public du domaine national de Versailles *Alain Baraton, * jardinier responsable du Grand parc du château de Versailles Marc Grollimund , agro-écologue Les * *stagiaires en permaculture de la Ferme du Bec-Hellouin Réginald Freuchet fondateur du parc des Arbres de Mémoire Un documentaire de Claire Bastier et Anna Szmuc
Dans l’Hérault, les pales d’éoliennes tuent des oiseaux protégés Les générateurs d’Aumelas ont abattu 33 faucons crécerellettes. France nature environnement assigne EDF en justice. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Emilie Veyssié Sur le causse d’Aumelas, dans le département de l’Hérault, s’étend un parc éolien d’environ 800 hectares entre deux zones de protection spéciale. Ces surfaces, créées en application de la directive oiseaux, doivent assurer la protection de l’avifaune. Le causse est justement le terrain de chasse du faucon crécerellette, rapace de 75 centimètres d’envergure, et très rare en Europe, qui est revenu coloniser le sud de la France ces dernières années. C’est ici que se dressent les éoliennes dont EDF Energies nouvelles (EN) est le gestionnaire. La Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) de l’Hérault, chargée de suivre sur le site la mortalité des faucons crécerellettes depuis 2010, a retrouvé 33 cadavres au pied des éoliennes. Etude d’impact Effarouchement Les éoliennes représentent un danger pour la faune volante en général.
Le cerveau : de Hamlet à l’imagerie cérébrale La Semaine du Cerveau (link is external)est devenue le plus grand évènement scientifique grand public après la Fête de la Science. Du 13 au 19 mars 2017, pour sa 19e édition, dans plus de 30 villes françaises, des dizaines de milliers de personnes iront à la rencontre de centaines de chercheurs bénévoles pour échanger, pour mieux connaître le cerveau et pour s'informer sur l'actualité de la recherche en neurosciences. La Semaine du Cerveau (link is external) est une manifestation internationale d’information grand public, gratuite, coordonnée en France par la Société des Neurosciences (link is external), sous l’égide de la Fondation Dana Alliance, et en partenariat avec La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau (link is external), les grands organismes de recherche (INSERM, CNRS, INRA) et d’éducation (Universcience, Ministère de l’Education Nationale) et des entreprises privées (Cerveau & Psycho, Casden, Science et Vie TV).
Des animaux morts pour la France ! Histoire des bêtes de tranchées 11 millions d'équidés, 100 000 chiens, 200 000 pigeons : les animaux ont été enrôlés en masse dans la Grande Guerre, pour porter, tirer, guetter, secourir, informer... Parfois pourchassés, plus souvent gardés et choyés, ils ont souvent aidé les soldats à survivre dans l'enfer, à occuper leur temps. “Bêtes de tranchée”, mortes sur les champs de bataille..., c’est à ses animaux enrôlés, projetés dans la grande guerre et oubliés, qu'Eric Baratay consacre son dernier livre. Deux disciplines mises au service de ce projet, l’éthologie et l’histoire rassemblées pour faire surgir ces récits que l’on retrouve dans les souvenirs et témoignages de poilus, mais qui ont occupés bien peu de place dans notre historiographie officielle jusqu’aux années 2000. 11 millions d’équidés, 100 000 chiens, 200 000 pigeons pour ne citer qu’eux, qui servaient à porter, guetter, secourir, informer... Et tous les autres animaux sauvages et domestiques vivant dans ces secteurs de combat !
Métier : bergères En partenariat avec les pages Planète-Sciences du Monde Diplômées, compétentes, porteuses d’atouts liés à leur genre, beaucoup d’entre elles viennent du monde urbain et s’épanouissent sur ce terrain réputé pour son exigence, sa solitude et sa dureté ! Mues par la passion, avant tout, les Alpages sont pour elles un choix de vie, un lieu voulu et assumé, pour embrasser un métier qui s’apprend et qui vous fait respirer avec la nature et les animaux. Ces femmes, la journaliste Hélène Armand a souhaité les rencontrer, comprendre leur choix, leur quotidien, leur force et leur faiblesse, découvrir leur spécificité et leurs atouts face à la rudesse de leur milieu ; et elle nous livre aujourd'hui son regard sur France Culture à travers son livre Bergères en leurs alpages paru chez Glénat, regard sur ce monde et ces femmes du 21e siècle qui contribuent à moderniser l’alpagisme. Revue de web sur l'environnement Découvrez aussi des initiatives écolos et solidaires sur son Twitter : Initiavertes
Conscience and Consciousness | Academic Philosophy for a General Audience La cruauté envers les animaux est-elle synonyme de violences envers les humains ? Depuis plusieurs mois, l’affaire des chevaux mutilés défraie la chronique. Dans différentes régions françaises, des équidés sont blessés, tués ou mutilés à l’arme blanche, sans motif apparent. Ces faits divers sordides sont l’occasion de nous interroger sur la cruauté envers les animaux et son lien avec les violences envers les êtres humains. Un vice qui pose question depuis l’Antiquité La dureté des mœurs de son temps envers les animaux a inspiré à l’artiste William Hogarth sa fameuse fable picturale intitulée « les quatre étapes de la cruauté », réalisée en 1751. Dans cette série de gravures, l’artiste a représenté l’escalade cruelle d’un jeune Londonien, Tom Nero, de son enfance jusqu’à sa pendaison après avoir commis un homicide. « Les gravures ont été réalisées dans l’espoir de corriger, dans une certaine mesure, ce traitement barbare des animaux, dont la seule vue rend les rues de notre métropole si pénibles pour tout esprit sensible. Catégorisations animales
Mesure « Protection des troupeaux contre le risque de prédation » / Aides à la protection des troupeaux / Pastoralisme / Environnement / Politiques publiques / Accueil - Les services de l'État dans le Jura Mise à jour le 04/04/2017 Mesure « Protection des troupeaux contre le risque de prédation » La mesure 7.6 A « protection des troupeaux contre la prédation » du PDR vise à assurer le maintien des activités pastorales ovine et caprine malgré la contrainte de la prédation par le loup. Cette mesure propose l’accompagnement des éleveurs ovins et caprins dans l’adaptation de leurs systèmes d’élevage en limitant les surcoûts liés à la protection des troupeaux. Cette mesure participe à la politique nationale française de protection des espèces protégées sur le territoire français tout en limitant son impact sur l’élevage. Ce dispositif, cofinancé par l’Etat et le fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER) permet le financement des surcoûts dus à la protection à 80 % sous forme de contrats annuels et porté à 100 % pour les tests de comportement des chiens, les analyses de vulnérabilité. Éligibilité à la mesure : Actions soutenues : 1. 2. 3. 4. Complément d’information :
Why life on Earth was a sure thing By Rowan Hooper WHAT if life on Earth was inevitable – and arose merely as a consequence of the laws of physics? Perhaps it would encourage alien hunters in their search for life elsewhere in the universe. The notion that life is bound to emerge has been given renewed credence by an experiment that has run parts of the key metabolic reaction known as the Krebs cycle in reverse. Almost all organisms on Earth use the Krebs cycle to produce energy by breaking down carbohydrates, liberating carbon dioxide in the process; it is one of the most ancient and fundamental of all biochemical reactions. The Harvard researchers mixed a chemical called oxaloacetate with particles of the zinc sulphide mineral sphalerite, and irradiated them with UV light. In the 1950s the American chemist Stanley Miller famously produced amino acids, the building blocks of proteins, by zapping a mixture of simple chemicals with electricity.
Morbihan : bientôt plus aucun pesticide dans le champ voisin de chez Cloé, atteinte de leucémie C'est une victoire pour les opposants aux pesticides mais, surtout, un soulagement pour les parents de Cloé, 11 ans. Leur petite fille, qui souffre de leucémie lymphoblastique, la privant de défenses immunitaires, ne sera plus exposée aux pesticides épandus jusqu'alors par un agriculteur dans le champ au-dessus de chez eux. La mairie de Saint-Nolff, dans le Morbihan, s'y est engagée après plusieurs mois de négociations menées notamment par le Collectif de soutien aux victimes des pesticides de l'Ouest et Saint-Nolff 21 (SN21). « Nous n'accusons pas l'agriculteur d'avoir rendu notre fille malade mais nous voulons éviter de provoquer une récidive », explique son père, Stéphane. Après avoir tenté sans succès de dialoguer avec l'agriculteur, la famille avait fait appel aux associations et à la municipalité. Ils avaient obtenu au printemps dernier qu'une bande de 70 mètres à côté du domicile ne soit plus traitée en échange d'une indemnisation de l'agriculteur.