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Chasseurs d'infos : devenez le rédacteur en chef de demain! - Francetv Éducation

Chasseurs d'infos : devenez le rédacteur en chef de demain! - Francetv Éducation
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[détox] Comment s'informe la jeune génération ? Un rapport de la Knight Foundation explique que les jeunes font de moins en moins confiance aux médias traditionnels et dévoile leurs méthodes d’information et de vérification des contenus proposés. Au travers de cet article, nous allons aborder les conclusions issues du rapport de Knight Foundation, qui explore la façon dont les jeunes utilisent les smartphones, les applications mobiles ou encore les réseaux sociaux pour suivre l’actualité. Si vous souhaitez lire le rapport complet, en anglais, vous pouvez le télécharger en cliquant sur ce lien. >> Retrouvez tous nos articles de la série [detox] Un faible niveau de confiance >> Comment parler aux millenials quand on est un média ? On constate ainsi que les jeunes suivent les actualités de façon aléatoire et ont tendance, la plupart du temps, à tomber sur une actualité au hasard au gré de leurs consultations des réseaux sociaux. Évaluer la pertinence d’un contenu de façon indépendante et collective À propos de l’étude et de la fondation

Tous victimes des pirates de l’attention Vous « scrollez » sur Internet depuis une heure alors que vous avez du boulot ? Accrochez-vous, nous sommes tous victimes des ­pirates de l’attention. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Lorraine de Foucher Cet article a été très compliqué à écrire. Des cœurs et des flammes Ma quête a commencé par un rendez-vous avec Emma, 15 ans. « Tous les matins, dès que je me réveille, je passe au moins dix minutes à entretenir toutes mes flammes » Emma, lycéenne A côté des cœurs, ce sont les flammes, qui apparaissent quand Emma et son amie Anna échangent au moins un « snap » quotidien, un compteur défile, avec le nombre de jours passés à échanger des photos : « Anna et moi, on est vraiment proches, alors j’entretiens la flamme.

Séance Info ou intox Les jeunes sont les plus exposés aux dangers du net. (Balint Szlanko/AP/SIPA) Apprendre à se repérer sur la toile avec un esprit critique pour devenir des e-citoyens avertis, qui consomment et produisent des informations de manière responsable, sans se faire berner ni manipuler : tel est l’enjeu d’un projet inédit d’éducation aux médias que je viens d’expérimenter auprès d’enfants de 10-11 ans. Des clés indispensables pour naviguer sur le net. Mes élèves se sont donnés à fond dans ce projet Jeudi dernier a eu lieu une cérémonie de remise des diplômes "d’apprenti hoaxbuster". Au cours des huit séances de 1h30, ils se sont tous, sans exception, donnés à fond dans mon projet "info ou intox sur internet, comment faire la différence ?". Même les vendredis, veille de vacances, ou jour d’éclipse, ils sont restés attentifs et ont vécu intensément cette expérience. Les résultats concluants des évaluations prouvent que l’on peut aborder cette problématique avec des enfants aussi jeunes.

Outils évaluation information Affiche interactive 3QPOC Pour animer une séance en classe, utilisez l'affiche interactive du 3QPOC (Qui, Quoi, Quand, Pourquoi, Où, Comment). L'affiche interactive est disponible en version Flash pour les ordinateurs et en version HTML 5.0 pour les tablettes. Affiche 3QPOC pour évaluer un site Internet (critères généraux) Cliquez sur l'imagette pour obtenir l'agrandissement. Affiche 3QPOC pour évaluer un site Internet (critères détaillés) Cliquez sur l'imagette pour obtenir l'agrandissement. Grille d'évaluation, version Enseignant Grille d'évaluation pour un seul site, version Élève Version PDF Version Word Grille d'évaluation pour trois sites, version Élève Martine Mottet, Licence Creative Commons Paternité - Pas d'utilisation commerciale - Partage des conditions initiales à l'identique 2.0 Canada

Trois fausses informations récentes qui ont influencé l’opinion Retour sur plusieurs cas d’intox qui ont massivement circulé en ligne, jusqu’à convaincre une part non négligeable de la population. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Adrien Sénécat Les fausses informations parviennent-elles à modifier profondément l’opinion publique ? Le baromètre 2017 de la « confiance des Français dans les médias » Kantar Sofres pour La Croix, publié en février, donne quelques cas instructifs. 1. « En France, l’Etat a réservé plus de 77 000 HLM pour l’accueil des familles de migrants » 29 % de « probablement vrai », 10 % de « certainement vrai » Pourquoi c’est faux ? Le chiffre de « 77 000 » logements n’était donc ni un objectif en soi, ni une mesure entérinée, mais une simple proposition, non reprise par le gouvernement. Lire notre article : Non, 77 000 logements sociaux ne vont pas être préemptés pour les réfugiés Qui a relayé la rumeur ? Qui l’a démentie ? 2. « Hillary Clinton était gravement malade durant la campagne présidentielle américaine » Pourquoi c’est faux ?

On a testé… « Bad News », le jeu qui vous met dans la peau d’un rédacteur de fausses informations Pour sensibiliser le public aux campagnes de désinformation, un collectif néerlandais prend le contre-pied et propose d’incarner ceux qu’ils appellent « les méchants ». Tout commence par un tweet énervé, dénonçant au choix les médias, le gouvernement ou les prétendus petits secrets de la communauté scientifique. Puis, de fil en aiguille, notre internaute va, pour diffuser ses idées, se faire passer pour quelqu’un qu’il n’est pas, puis monter de toutes pièces un blog de désinformation qu’il va faire passer pour un média. Vingt minutes plus tard, le voilà agent actif d’une vaste entreprise de désinformation, dont chaque mot est suivi, répété, amplifié, par des dizaines de milliers de personnes. La réalité de la création des « fake news » n’est peut-être pas si simple. Jouer le méchant Ce n’est pas la première initiative du genre : on pourrait citer le quiz que proposait la Radio Télévision Suisse le 15 février dernier. Jouable gratuitement sur getbadnews.com (en anglais). L’avis de Pixels

Lexique "fake news", etc. Théorie selon laquelle l'émotion et la croyance comptent désormais plus que les faits Post-truth, en anglais, fut le mot de l'année 2016, selon l'Oxford Dictionnary. Il se rapporte, explique la publication britannique, aux « circonstances dans lesquelles les faits objectifs ont moins d'influence sur l'opinion publique que ceux qui font appel à l'émotion ou aux croyances personnelles ». Si Ralph Keyes consacrait déjà un livre au sujet en 2004 (The Post-truth Era), c'est véritablement avec la campagne britannique sur le Brexit et la campagne présidentielle américaine que l'expression s'est démocratisée. L'idée ne va pas sans poser de soucis : elle peut laisser croire que la vérité était auparavant chose acquise, au moins comme valeur. 🔗 Partager cet élément :

Les réseaux sociaux sont-ils les médias de demain? Spontanément, j’ai tendance à répondre que les réseaux sociaux sont déjà les médias d’aujourd’hui! En tout cas, les usages des Français en termes de consommation de l’information ont évolué et les contenus se sont diversifiés. Les nouveaux moyens d’information sont plus participatifs, favorisent les échanges et engagent d'avantage l’individu. Les Français ne vivent pas coupés du monde et s’informent quotidiennement. Selon une étude de Médiamétrie (​Enquête Actu 24/7)​, 98% des personnes de 18 ans et plus consultent l’actualité dont 63% plusieurs fois par jour. 38% de la population déclarent accéder à l’information depuis internet en passant par différents médias, notamment les réseaux sociaux. Facebook, Twitter et les autres ont réellement changé les habitudes de consommation d’informations. Quel média tire son épingle du jeu? Les internautes utilisent donc les réseaux sociaux pour s’informer. Quel format tend à s’imposer? L’expert

7 familles de l’informatique Histoire du numérique Jeu de 7 familles de l’informatique Maxime AmblardChristine Leininger Niveau facile Niveau 1 : Facile Jeu de 7 familles de l’informatique Lire l’article AlgorithmesLangages, programmation & logiciel Famille « Algorithmes & programmation » Famille « Algorithmes & programmation » Famille « Mathématiques & informatique » Famille « Mathématiques & informatique » Sécurité & Vie privée Famille « Sécurité & confidentialité » Niveau intermédiaire Niveau 2 : Intermédiaire Famille « Sécurité & confidentialité » Architecture & SystèmesRéseaux & Communication Famille « Systèmes & réseaux » Famille « Systèmes & réseaux » Architecture & Systèmes Famille « Machines & Composants » Famille « Machines & Composants » Intelligence artificielle Famille « Intelligence Artificielle » Famille « Intelligence Artificielle » Interaction Humain/Machine Famille « Interaction Homme-Machine » Famille « Interaction Homme-Machine » Culture & Société Jouez avec les 7 familles de l’informatique Maxime Amblard

Comment vivent les adolescents qui refusent les réseaux sociaux L’année dernière, le Pew Research Center publiait plusieurs études passionnantes sur le rapport des adolescents à la technologie. Dans l’une d’entre elles, on apprenait que 92% des ados américains (ayant entre 13 et 17 ans), vont sur internet quotidiennement, 71% utilisent Facebook, 50% Instagram et 41% Snapchat. De manière générale, les adolescents connectés à au moins un réseau social représentent une large majorité de leur classe d’âge. Mais comment se passe la vie de ceux qui refusent de rejoindre ces réseaux et de vivre dans ce monde ultra-connecté? Le Wall Street Journal est allé à la rencontre de ces jeunes qui demandent directement à leurs amis ce qu’ils font de leurs vacances au lieu de le voir sur internet. «Je préfère voir mes amis en personne que leur envoyer un tweet, explique Annie, 19 ans.

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