Vers la mort du Design Thinking ? Quand j’ai cherché ce qu’était le « design thinking » la première fois, je suis tombé sur cette définition : le design thinking permet de réaliser des produits ou des services « désirables par le consommateur, même s’il n’aurait jamais exprimé clairement un tel vœu, réalisables techniquement et viables économiquement », résume Véronique Hillen, aujourd’hui doyenne de la Paris-Est d.school à l’École des ponts . Le design thinking est « un mode d’application des outils de conception utilisés par les designers pour résoudre une problématique d’innovation, par une approche multidisciplinaire centrée sur l’humain ». Si certains annoncent déjà la mort du design thinking, ses méthodologies se retrouvent aujourd’hui disséminés dans toutes les situations où quelque chose est conçu (nouveau produit ou service). Les projets que je soutiens dans le cadre professionnel ont de plus en plus cette approche (je pense à 3pod par exemple). Les grandes dates du design thinking: Mais que reproche M.
Qu'est-ce que le Design Thinking ? - Prim à bord Le Design Thinking est une méthodologie issue du monde des designers qui s’étend aujourd’hui à toutes les sphères professionnelles. Elle s’applique à toute sorte de projet dont l’objectif consiste à inventer un nouveau concept, service, objet pour répondre à un besoin. Il s’agit d’une méthode d’innovation centrée sur la créativité . Depuis une trentaine d’années, le développement du Design Thinking a reçu plusieurs déclinaisons méthodologiques. Dans les années 90, l’approche centrée sur la résolution de problème en lien avec l’intelligence collective s’est développée autour de cinq principales phases : Empathie : identifier la problématique, être à l’écoute du besoin, comprendre l’utilisateur, ce qu’il fait ressent et dit de son environnement. Plus qu’un simple processus, le Design Thinking représente un état d’esprit, une façon d’appréhender les problématiques d’où les expressions de “Pensée Design” et “Esprit Design”. Des exemples dans le monde éducatif : Un dispositif en réseau :
Valoriser l’innovation pédagogique grâce au codesign Le codesign se développe favorablement au sein des entreprises qui, guidées par la nécessité de travailler dans un monde VUCA et s’inspirant de méthodes Agile et Scrum de gestion de projet, ont su tirer le bénéfice d’une nouvelle organisation du travail. Cette démarche vise à valoriser des échanges propices à la créativité entre des talents aux profils variés afin d'élaborer des produits et services innovants. Si cette démarche a su s’adapter au monde de l’entreprise, elle reste encore en marge du monde de l’éducation alors que les volontés individuelles à collaborer sont de plus en plus nombreuses. Le codesign, une démarche favorisée par l’entreprise Le codesign permet la co-élaboration de produits et de services grâce au travail collaboratif et participatif de différents métiers de l’entreprise. Le codesign dans le monde éducatif, bientôt une réalité ? Le monde éducatif peine à adopter une telle démarche. Illustration : Rawpixel, Shutterstock.com Références Soudoplatoff, Serge.
Qu’est-ce que le design thinking ? Dans mon billet précédent, je soulignais l’importance de l’innovation en bibliothèque. Mais comment s’y prendre pour innover ? Doit-on se fier uniquement à l’intuition ou bien y a t-il des outils sur lesquels s’appuyer ? Dans ce billet, je vais parler du design thinking, une méthode née dans les ateliers des designers mais qui s’étend désormais à toutes les sphères où l’on cherche à innover : industrie, technologie, services… et même la culture. Une méthode pour la conduite de projets innovants Le design thinking a aujourd’hui de nombreux promoteurs mais les définitions varient beaucoup en fonction des cas. Brown est président d’IDEO, une société de conseil dont les membres fondateurs ont notamment créé la première souris pour Apple en 1980. En termes de management, on se situe dans un cadre bien précis : la conduite de projet. Trois éléments importants de la méthode Concrètement, la méthode se divise, de façon variable en fonction des présentations, en 3, 4, 5 ou 7 étapes.
Le design thinking appliqué à l’éducation pourrait révolutionner l’école de demain Lorsqu’on parle d’éducation et d’organisation des écoles, le sujet soulève rapidement un tas de questions et de revendications. Les avis divergent du côté des 3 partis concernés, les professeurs, les parents et les élèves. Ce manque de positionnement retarde l’objectif principal de l’éducation qui est de préparer les jeunes à s’introduire dans la société actuelle. Or, nous sommes forcés de constater que les méthodes utilisées pour apprendre aux étudiants sont encore très traditionnelles. Hormis l’aspect matériel qui reflète l’obsolescence du système éducatif, il y a aussi de grosses lacunes en terme de méthodologies. Une méthode appliquée dans une école en cas critique Ces problèmes d’organisation ont une conséquence directe sur le résultat des élèves, c’est d’ailleurs ce qui a amené l’établissement Castle High School (Hawaii) à procéder aux méthodes de design thinking. Repenser l’ensemble de la journée d’un écolier Le manuel que propose IDEO Découvrir le PDF Design Thinking For Educator
[leçon] Qu'est-ce-que le design thinking ? Qu’est-ce-que le design thinking ? Le Design Thinking est tout simplement le terme utilisé pour désigner l’ensemble des méthodes et des outils qui aident, face à un problème ou un projet d’innovation, à appliquer la même démarche que celle qu’aurait un designer. C’est une approche de l’innovation et de son management qui se veut une synthèse entre la pensée analytique et la pensée intuitive. Il s’appuie beaucoup sur un processus de co-créativité impliquant des retours de l’utilisateur final. Ces méthodes ont été élaborées dans les années 80 par Rolf Faste sur la base des travaux de Robert McKim. Le design thinking, des années 50 à aujourd’hui Années 1950: Le publicitaire américain Alex Osborn, en mettant au point la technique du brainstorming, sensibilise le monde de l’entreprise à la pensée créative. La technologie est morte, vive l’expérience ! La valeur économique a commencé avec les ressources (céréales, minéraux). Pourquoi le design thinking ? Le design thinking, les principes Entrer
Le Design Thinking au service de l’éducation Comment pourrions-nous considérer les élèves comme des demandeurs de connaissances plutôt que comme des destinataires passifs de l'information ? Voici une question qui pose un problème comme le ferait un designer. Là est tout l'enjeu de la "pensée design" que présente Tim Brown dans le livre que je vous présente ci-dessous. J'entendais parler du design thinking depuis un bon bout de temps. Selon Tim Brown, "la méthodologie propre à la pensée design (sortir du studio et explorer le monde pour s'inspirer des expériences vécues, réaliser des prototypes pour apprendre avec ses mains, créer des histoires pour partager ses idées, collaborer avec des spécialistes d'autres disciplines) permet d'approfondir notre savoir et d'élargir l'impact de nos actions". Comment penser les problèmes d'éducation comme le ferait un designer ? Leur outil phare se nomme "Les bâtisseurs de possibles". Je vous invite à découvrir toutes les actions menées par Synlab sur les sites consacrés : A lire ensuite
Le Flat design est mort, vive le Material design Il y a quelques mois, on vous présentait les principes du flat design aujourd’hui, c’est au tour du material design ! Le material design est un concept créé par Google et pour le moment destiné aux applications Android. Il a pour but de garantir la facilité d’utilisation des applications. Celles-ci seraient plus intuitives tout en mettant en évidence les capacités techniques. Par ailleurs, on peut se demander, si Google ne cherche pas à normaliser le flat design. Le réalisme des ombres : chaque élément est comparable à une feuille superposée à la précédente. Accent mis sur les actions de l’utilisateur : simple, intuitif et épuré, le design doit mettre en évidence les actions possibles. Le mouvement moteur des actions : le mouvement part du point d’interaction sans rupture de la continuité de l’expérience utilisateur. Pour faire simple, le material design s’appuie sur le réalisme et la physique. Présenté en avril 2014, le material design reste pour le moment marginalisé.
Les fondamentaux de la culture design thinking – Design Sprint Rester centré sur l’humain Vous l’aurez compris, il s’agit ici d’empathie. Avec le client bien entendu, mais également entre les collaborateurs. En effet, lorsque les relations et interactions au sein des équipes sont de qualité, cela a un impact positif sur la relation entre l’entreprise et le client. Cela peut s’expliquer par la tendance naturelle des individus à reproduire les comportements qu’ils observent autour d’eux. Travailler en pluridisciplinarité Les équipes projet dont les membres appartiennent à des domaines d’expertise variés sont souvent plus innovantes. Adopter une approche systémique Lorsqu’on a pour ambition de délivrer une véritable expérience à ses clients, il n’y a pas d’autres moyens que d’adresser cette expérience dans sa globalité (de bout en bout). Moins de texte… et plus d’images Autre élément distinctif de la culture design thinking, le visual management consiste à montrer les choses par des illustrations plutôt que de les expliquer par des mots.
Principes de flat design Le flat design ou le « design plat » est la nouvelle lubie des designers d’interfaces. Ce courant graphique se distingue en prônant des interfaces minimalistes aux couleurs vives. L’exemple le plus emblématique d’application de flat design, c’est le système d’exploitation Windows 8. Le flat design, c’est quoi ? Le flat design est un design graphique minimaliste “à plat”, débarrassé de tout relief, ce qui a pour but d’améliorer sa lisibilité. Par exemple, la métaphore du « bureau » avec la présence d’une « corbeille » rappelle la corbeille que l’on trouve sous un bureau. Le skeuomorphisme reprend les caractéristiques de l’objet réel (couleur, forme et relief). Rien d’incompatible : le skeumorphisme rend l’utilisation d’un l’objet familier intuitive et le flat design minimalise son design pour faciliter sa lisibilité. Le flat design préfère réinventer le réel, plutôt que de l’imiter. Simple tendance ou courant postmoderne ? Le design web, comme la mode, est traversé par des tendances.
Design thinking Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le design thinking (littéralement « penser le design »), en français démarche design[1] ou conception créative[2], est une méthode de gestion de l'innovation élaborée à l'université Stanford aux États-Unis dans les années 1980 par Rolf Faste. Cette méthode, qui se veut une synthèse entre pensée analytique et pensée intuitive, relève du design collaboratif, pratique du design qui implique les usagers dans un processus de co-créativité. Trois approches[modifier | modifier le code] Le design thinking comporte plusieurs étapes dont le nombre varie en fonction des auteurs : Approche en cinq étapes selon la d.school[modifier | modifier le code] La d.school[7] de l'université Stanford définit cinq étapes[8] qui s'enchaînent logiquement mais ne doivent pas être prises comme un processus linéaire : on peut et doit faire plusieurs cycles, revenir à l'empathie pendant qu'on prototype, etc.[5]. Comprendre le client[modifier | modifier le code]
Principes de flat design Le flat design ou le « design plat » est la nouvelle lubie des designers d’interfaces. Ce courant graphique se distingue en prônant des interfaces minimalistes aux couleurs vives. L’exemple le plus emblématique d’application de flat design, c’est le système d’exploitation Windows 8. On y retrouve tous les éléments qui caractérisent les flat design : un panel de couleurs chatoyantes et des icônes minimales pour une lisibilité maximale. Le flat design, c’est quoi ? Le flat design est un design graphique minimaliste « à plat », débarrassé de tout relief, ce qui a pour but d’améliorer sa lisibilité. Le panier de e-commerce, version skeuomorphisme. Par exemple, la métaphore du « bureau » avec la présence d’une « corbeille » rappelle la corbeille que l’on trouve sous un bureau. Le skeuomorphisme reprend les caractéristiques de l’objet réel (couleur, forme et relief). Le panier de e-commerce, version flat design. Le flat design préfère réinventer le réel, plutôt que de l’imiter.