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La CNIL appelle à un encadrement des services numériques dans l’éducation

Face à l’utilisation croissante des services numériques dans les pratiques pédagogiques des enseignants et au développement de l’offre commerciale en ce domaine, il est plus que jamais nécessaire de fixer un cadre de régulation adapté qui protège de façon effective les données personnelles des élèves et de enseignants. A cet égard, la CNIL estime intéressante l’initiative prise par le ministère de l’éducation nationale d’inciter les fournisseurs de ces services-éditeurs de logiciels éducatifs comme fournisseurs du web à s’engager, par une Charte de confiance, dans une offre de services numériques respectueux des droits des personnes. Elle appelle donc les responsables éducatifs, enseignants et les collectivités territoriales à être vigilants et à ne recourir qu’à des services numériques respectant ces règles et principes. Related:  GAFA

Élèves, bientôt tous fichés - Rue des écoles Titre : Élèves, bientôt tous fichés ? Quel encadrement pour le numérique dans l’éducation ?Intervenants : Daniel Agacinski, agrégé de Philosophie - Céline Authemayou, journaliste - Victor Demiaux, conseiller auprès de la présidente de la CNIL - Jean-François Clair, professeur de mathématiques, représentant du SNES - Marie-Caroline Missir, journaliste - Louise Tourret, journalisteLieu : Émission Rue des écoles - France CultureDate : Juin 2017Durée : 40 minÉcouter le podcast de l'émissionLicence de la transcription : Verbatim Description Transcription De 00 à 01'50 Louise Tourret : Bonsoir à tous. [Musique] L’école en sait beaucoup sur les élèves, et les enseignants aussi d’ailleurs, données personnelles, administratives, évaluations, coûts, données sur les apprentissages avec de nouveaux logiciels issus des Ed’Tech, ces nouvelles entreprises des nouvelles technologies et de l’éducation, et même données sur le comportement à travers les logiciels de vie de classe et les livrets des enfants.

Les images conçues par intelligence artificielle, nouvel outil de désinformation Comme un petit air de dystopie. Alors que le mois de mars a été marqué par l’escalade de violence entre une partie des opposants à la réforme des retraites et des forces de l’ordre, c’est un nouveau type d’images-chocs qui a commencé à circuler sur les réseaux sociaux : des photographies entièrement conçues par intelligence artificielle (IA). Ainsi de ce cliché d’un octogénaire édenté, tempes en sang, entouré de plastrons et de visières d’unités de maintien de l’ordre, présenté sur Twitter comme un « manifestant » dont l’image aurait « fait le tour du monde ». A défaut du monde, elle a fait le tour des observateurs de la désinformation, jusqu’à ce que le 31 mars, AFP Factuel ne prouve son caractère artificiel. Ces dernières semaines, de nombreux médias ont publié leur guide pratique pour apprendre à reconnaître une image conçue par IA.

Les Gafam dans les écoles : une menace pour la filière française des ENT ? L’Education nationale ouvre ses portes aux solutions des Apple, Google et autre Microsoft. Une volte-face qui fait bondir trois patrons d’éditeurs spécialisés, les ENT, qui critiquent une forme de deux poids, deux mesures. La porte que le ministère de l’Education vient d’ouvrir à Apple, Google ou Microsoft continue d’agiter le Landerneau éducatif. Trois patrons de sociétés proposant des espaces numériques de travail (ENT), Arnaud Albou (Open Digital Education), Alain Ecuvillon (Itslearning) et Hervé Borredon (Itop), ont pris la plume pour dire en termes directs leur indignation (lire en PDF) face à cette irruption des Gafam dans les écoles françaises. Une vision qui fait bondir Arnaud Albou : « on tente d’emmener le débat sur terrain juridique, mais ce n’est pas un débat juridique. Heureusement que ces plates-formes se conforment à la loi ! Renoncer à une politique vieille de 15 ans Concurrents des ENT ou pas ? A lire aussi : Les GAFAM dans les écoles françaises : oui, mais sous conditions

Le forum de Trajan – Travaux d’Unicaen Différents travaux de recherches de l’Université de Caen (au sein du projet “Le plan de Rome : restituer la Rome antique”) ont abouti à la publication de plusieurs pages de restitutions virtuelles concernant le forum de Trajan. 1/ La basilique Ulpienne (basilica Ulpia) : – des restitutions virtuelles (Dossier Scientifique : B. Leterrier, S. – une histoire de l’édifice accompagnée d’une maquette : « La basilique construite par Trajan qui lui donna le nom de sa famille, Ulpia, fut la plus grande des basiliques : elle mesurait en effet 170 m sur son plus grand axe, 120 m sans les absides et 60 m environ de largeur. […] » – une photographie du site actuel. 2/ La double bibliothèque de la basilique (bibliotheca Ulpia) : – des restitutions virtuelles (Dossier Scientifique : B. – une histoire de l’édifice accompagnée d’une maquette : « [Elle] prend la forme de deux édifices construits en vis-à-vis. 3/ La colonne Trajane : – des restitutions virtuelles (Dossier Scientifique : B.

Elèves, bientôt tous fichés? Nous allons vous parler des "Gafam", des ENT des algorythmes ou encore des learnings analytics… Oui le numérique éducatif est un sujet technique, on y emploie aussi nombre d’acronymes et des termes en anglais... Mais derrière le jargon, les enjeux sont énormes car il s’agit de protéger les informations qui concernent nos enfants, ce que beaucoup d’entre nous oublient de faire dans leur vie numérique de tous les jours où l’on donne notre avis, publions des photos et ouvrons des comptes personnels en livrant nom, date de naissance et adresse. Alors, Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft sont-ils prêts à pénétrer le marché de l’Education Nationale dans le but de récupérer le plus possible de données personnelles comme ils-le font déjà ailleurs? Comment une institution aussi énorme que l’Education nationale peut-elle s’adapter et formuler des règles et des bonnes pratiques compréhensibles, applicables et protectrices? - Des mesures seraient inspirées par l’Institut Montaigne?

Facebook, Google, Apple... : comment les géants de la tech gagnent-ils de l'argent ? - Business Apple, Alphabet, Amazon, Microsoft et Facebook gagnent de l'argent : ce n'est pas nouveau. Mais avec quoi en gagnent-ils ? Une infographie résume tout. Chaque trimestre fiscal nous donne l’occasion de comprendre comment des entreprises comme Apple, Alphabet (Google), Amazon ou encore Microsoft et Facebook font entrer (beaucoup) d’argent dans leurs caisses. Si elles ne se dérangent jamais pour donner des noms obscurs à certaines catégories passe-partout (le fameux « Other Products » d’Apple bien connu des analystes), ces rapports trimestriels nous permettent de saisir dans les grandes lignes avec quel type de produit ces entreprises envisagent leur croissance. Pour mieux comprendre ce qui anime les cinq entreprises citées, VisualCapitalist vient de produire une infographie qui permet, en un clin d’œil, de voir quels segments se sont imposés comme les piliers de chacune des entreprises. AppleApple : l’iPhone est toujours une poule aux œufs d’or AlphabetAlphabet : pub pub pub

Les GAFA sont-ils devenus trop puissants ? GAFA : Ce n’est pas tant qu’ils aient les poches pleines mais plutôt le fait qu’ils puissent contrôler nos esprits qui commence à faire réfléchir les analystes et les politiques. Avec les printemps arabes dans les années 2010, les plates-formes de réseaux sociaux Twitter et Facebook avaient réussi à vendre l’idée qu’ils étaient de formidables outils d’émancipation et de défense de la liberté. Ils étaient encore relativement nouveaux et le manque de recul pouvaient accréditer cette thèse. Mais en quelques années, le vent a tourné, et tous les espoirs que certains avaient placé dans ces outils, devenus totalement invasifs lorsqu’on les combine aux smartphones, se transforment peu à peu en crainte, méfiance ou doute voire dans certains cas colère et indignation. Il y a d’abord la question économique car la nature même de leur activité facilite grandement de décorréler les flux commerciaux et les flux comptables. Une grande part de cerveau disponible phénoménal. Faut-il casser ces monopoles ?

Les GAFA se portent mieux que jamais - ITnumeric Les résultats pour le troisième trimestre d’Apple et de Facebook ne sont pas encore connus, mais ceux d’Amazon, de Microsoft et d’Alphabet Google préfigurent des cours de bourse extravagants. Celui d’Amazon s’établit à 1070 dollars (27-10-17) et Jeff Bezos possède en propre une fortune de 90 milliards de dollars. Le cours de l’action de Google grimpe à 1050 dollars. Visiblement, les investisseurs entérinent la domination impériale de ces sociétés sur l’économie mondiale. Amazon se targue d’une croissance de 29% de ses ventes (hors les supermarchés WholeFoods qui apporte un surcroit d’1,3 milliard de dollars de CA). Le CA d’Amazon s’élève pour ce trimestre à 43,7 milliards de dollars en augmentation de 30%. Google a officialisé un CA trimestriel de 27,8 milliards de dollars et 6,7 milliards de bénéfices. Derrière ces deux stars des technologies, Microsoft, un vieux de la vieille, produit également d’excellents trimestriels. Enregistrer

Chiffres clés sur Google en 2017 : société, produits et services Article mis à jour le 22/09/2017, publié initialement le 14/11/2007 Remarque : vous devriez apprécier aussi ces articles : Les produits de Google Le moteur de recherche : ~93% des français utilisent Google contre (seulement) + de 80% aux Etats-UnisEn novembre 2015 (source), Google avait identifié 120 000 milliards de pages, dont 60% environ sont des doublons (contenus dupliqués). Voici des infos (source) qui devraient intéresser ceux qui travaillent le SEO (référencement naturel) : En 2016, Google a procédé à 130 336 tests de la qualité des résultats de recherche. Google+ : Android : 600 modèles de smartphones Android sont sortis rien qu’en 2015 ! YouTube : Google Photos : 200 millions d’utilisateurs et 24 milliards de selfies répertoriés en mai 2016 (source Google I/O 2016) Autres : Résultats financiers de Google Chiffres mis à jour après les derniers résultats Google : L’anniversaire de Google Les 20 ans de google.com en septembre 2017 Les 18 ans de Google en septembre 2016 Le doodle du 27/09/2016 :

Apple contre Google : comprendre l’économie des applications (2) Google avec son système d’exploitation Android et Apple avec l’iPhone dominent le monde des téléphones intelligents. Ils ne se livrent pas pour autant une concurrence front contre front. Ils baignent en effet dans des écosystèmes et des modèles d’affaires de nature différente. De plus et surtout, leurs plates-formes sont différenciées, même si elles offrent les mêmes applications-phares d’Angry Birds à YouTube en passant par Facebook et Uber. Cela explique pourquoi la rivalité entre les deux entreprises californiennes est amenée à perdurer sans que l’une ne marginalise forcément l’autre. Du côté des développeurs d’applis, en revanche, la concurrence est frontale et féroce. Business model app ou comment apporter de la valeur aux clients et en transformer une partie en profit L’iPhone lancé en 2007 est fidèle à la stratégie d’intégration d’Apple dans le matériel et le logiciel. Business ecosystem app ou le jeu des collaborations et des complémentarités Le secteur des applis est mature.

Apple contre Google : comprendre l’économie des applications (1) Le mobile a mangé la planète. Elle compte aujourd’huiprès d’un demi-milliard d’iPhones et près de deux milliards de téléphones mobiles sous Android, le système d’exploitation de Google. Chacun propose plus d’un million d’applications téléchargeables, des plus connues comme Facebook, YouTube ou WhatsApp aux plus loufoques, utiles seulement si vous avez besoin d’un briquet virtuel pour les concerts, d’éclater du papier bulle pour vous détendre, ou même d’un décapsuleur numérique. Quels mécanismes et forces de la concurrence sont à l’œuvre derrière ce gigantisme ? Décryptage en deux volets à l’aide d’une série d’applis d’économie. GPT app ou l’adoption universelle d’une technologie Le téléphone intelligent est une technologie d’usage général (general purpose technology). Nous ne voyons plus ces caractéristiques, car l’objet est devenu ordinaire alors qu’il n’a pourtant que dix ans d’existence. Le téléphone intelligent est en train de devenir universel.

Qui doute encore du modèle économique de Facebook ? Le temps où l’on doutait de la capacité de Facebook à monétiser son activité semble loin. Mark Zuckerberg a prouvé à ses détracteurs que le réseau social n’était pas un phénomène de mode. Et les résultats trimestriels publiés par la firme de Menlo Park mercredi 27 janvier feront taire les derniers sceptiques. Des bénéfices plus que doublés Et c’est une succession de chiffres tous plus impressionnants les uns les autres qu’a dévoilé Mark Zuckerberg, tout juste rentré d’un congé paternité d’un peu moins de deux mois pour l’occasion. Gagner sur tous les terrains Une série de records qui illustre un sentiment diffus dans la Silicon Valley : rien ne semble pouvoir arrêter la firme de Menlo Park.

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