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Les GAFAM contre l'Internet : « Leur objectif, c'est d'absorber le marché »

Les GAFAM contre l'Internet : « Leur objectif, c'est d'absorber le marché »
Le sociologue Nikos Smyrnaios propose une critique radicale de l'histoire d'Internet. L'objectif : offrir un cadre théorique cohérent à la critique de l'économie politique du réseau, et de ses acteurs économiques principaux, Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft (GAFAM). Un retour critique sur l'histoire d'Internet. C'est ce que propose le chercheur en science de l'information et de la communication Nikos Smyrnaios dans son ouvrage Les GAFAM contre l'Internet (ed. Eléments de réponse avec cet enseignant chercheur en science de l'information et de la communication à l'université Toulouse 3. Usbek & Rica : Quel est l'objet de cet ouvrage ? Nikos Smyrnaios : Le livre est une tentative de mettre en place une critique de l'économie politique de l'Internet contemporain, en essayant de mettre en perspective les discours dominants. Quel a été le processus qui vous a amené à revenir sur l'ensemble de l'histoire d'Internet ? C'est un long processus. Les GAFAM sont là pour rester. Related:  Pause numérique 4Education médiasVeille informationnelle sur les GAFAM

Le lecteur de la presse veut participer à ses contenus Dans le cadre de #DemainLaPresse, la campagne d’envergure de promotion de la presse menée par l’ACPM en mars dernier, une étude de perception en ligne a été proposée aux lecteurs, afin de cerner leurs attentes, leurs visions et la façon dont ils envisagent les marques presse de demain. (Bonne) surprise, plus de 50 000 personnes ont répondu présents pour cette grande enquête quali qui comprenait une trentaine de questions, nous a indiqué Stéphane Bodier, vice-président de l’ACPM. Rassurante, l’étude pointe tout de même que 77% des sondés ont lu la presse le jour où ils ont été interrogés alors que 89% réclameraient la presse si elle n’existait pas. L’étude montre également la distance que les personnes interrogées mettent encore entre presse et publicité.

Entre satire et « attrape-clics », voyage au pays des usines à buzz D’un site satirique à des inquiétudes bien réelles, comment une fausse information fait le tour d’Internet. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Maxime Delrue « Toutes nos sources sont vérifiées par un huissier assermenté », assure le site, maquette blanc et noir, logo vert criard, ironie à tous les étages : bienvenue sur Secret News. Des Simpson qui prédisent l’élection de Marine Le Pen avec quinze ans d’avance à Philippe Poutou reconnu dans un film porno, le ton de ce site « d’info » est donné. Dans la section des articles les plus partagés, les hommes et femmes politiques tiennent le haut du pavé, mais ils ne sont pas seuls. En bas de chaque page, un avertissement, glissé discrètement : « Toutes les informations présentes sur ce site sont satiriques et/ou parodiques. (…) Les opinions ou idées développées sont fausses et ne peuvent être tenues comme authentiques. 100 % putàclic. » Fake news, vraies conséquences Le rituel est immuable. « Plus on va loin, plus ça marche ! Homme ou femme ?

Education aux médias et à l’information > Affiches sur les GAFAM | Professeurs Documentalistes- Académie d'Amiens En poursuivant votre navigation, vous acceptez le dépôt de cookies destinés à mesurer la fréquentation du site ainsi que vous proposer des vidéos, des boutons de partage, des remontées de contenus de plateformes sociales et des contenus animés et interactifs.J’accepteDésactiver les cookies Sommaire {{La Quadrature du Net}} a lancé une action pour alerter sur les pratiques des géants appelés {{GAFAM}} (Google, Facebook, Amazon, Apple, Microsoft). Ils mettent entre autre à disposition des affiches que nous pouvons apposer dans nos CDI. A diffuser sans modération. La Quadrature du Net a lancé une action contre les GAFAM. La Quadrature du Net a lancé une action pour alerter sur les pratiques des géants appelés GAFAM (Google, Facebook, Amazon, Apple, Microsoft). Ils mettent entre autre à disposition des affiches que nous pouvons apposer dans nos CDI. A diffuser sans modération. format PDF - 1.2 Mo

The Washington Post to start experimenting with audio articles using Amazon Polly By WashPostPR By WashPostPR June 9 The Washington Post today announced it has started experimenting with audio articles using Amazon Polly, a service that converts article text into lifelike speech. For the next month, mobile users will be able to listen to an audio version of four articles daily across business, lifestyle, technology and entertainment news categories. “This is a new technology that can give users more choice and better accessibility to our content, so we wanted to create an experiment to dive deeper into the user experience,” said Joseph Price, product manager at The Post. Audio articles in the pilot can be found here on mobile devices and will include a “Listen to this article” button on the article page. The Post will explore personalized playlists in future iterations as well as integration with its mobile apps. The Lincoln Motor Company is the pilot launch sponsor and will present a brief audio ad before each article play.

Sushis, vaccins et viande humaine : le « palmarès » des fausses infos Combien de personnes les « fake news » peuvent-elles toucher ? Qui les produit ? Comment circulent-elles ? Eléments de réponse, à partir de données compilées par Les Décodeurs. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Adrien Sénécat Les Décodeurs ont analysé la circulation d’une centaine de fausses informations, à partir d’un ensemble d’environ mille articles associés. Pour alimenter le Décodex, nous avons identifié ces derniers mois un millier d’articles et de vidéos qui diffusent de fausses informations. Les fausses informations peuvent toucher des millions d’internautes Il est toujours délicat d’évaluer la portée du phénomène des fausses informations. Notre travail ne permet pas de répondre à ces questions en profondeur, mais il donne tout de même une idée de l’ampleur du phénomène. Sur les 101 histoires que nous avons identifiées, les trois quarts (74) ont suscité plus de 10 000 interactions. Derrière les politiques, les fausses infos touchent de nombreux thèmes

Les GAFAM et les NATU, nouveaux maîtres du monde de l’économie numérique Encore des néo-acronymes anglo-saxons au menu aujourd’hui ! Levons le suspens tout de suite. GAFAM regroupe les initiales de Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft et NATU ceux de Netflix, Air BNB, Telsa et Uber. En gros les dix plus grandes sociétés américaines de l’économie numérique. Deux acronymes pour une valorisation boursière comparable, tenez vous bien, au budget annuel de la France et un chiffre d’affaire annuel supérieur à celui du Danemark avec « seulement » 300 000 employés. Je ne vais pas présenter tout le monde mais pour faire vite, disons qu’ils se partagent les grandes fonctions de l’économie numérique. Google est un peu la matrice du système car il touche à tout : il fournit gratuitement à chacun la boîte à outils pour naviguer dans les mondes numériques et se finance en revendant les précieuses données qu’il récolte. Netflix est la plus grosse plateforme de diffusion de films et séries. Tout à fait. Il y a toujours 2 types d’attitudes devant un tel défi.

What’s behind the recent media bloodbath? The dominance of Google and Facebook – Poynter It seems like with each passing day, the small world that is the media industry gets a little smaller. On Tuesday, Time, Inc. announced it would be laying off or buying out 300 people as part of a plan to re-engineer its cost structure and become more efficient, according to a memo sent to employees by CEO Rich Battista. Then, HuffPost laid off 39 people Wednesday as part of broader cuts made during parent company Verizon's acquisition of Yahoo. Finally — as if the first two weren't enough — Vocativ announced Wednesday that it would be cutting its entire editorial department in a strategic move to triple its investment in video production and partnerships. This all sounds like a lot, right? So, what's behind all the doom and gloom? "There is a clear correlation between layoffs and buyouts with the growth in market share for the duopoly — Google and Facebook," said Jason Kint, CEO of the trade organization Digital Content Next, in an email to Poynter. What's left for media organizations?

Voici des sites internet qui publient des conspirations, des fausses informations, des rumeurs et des fausses nouvelles MISE À JOUR : Ceci est la deuxième version de l’article «Voici les sites internet qui publient des fausses nouvelles». On y trouve les mêmes sites, mais beaucoup plus de détails sur le type de contenu qu’ils partagent. Le titre précédent laissait croire que tous les sites présentés fabriquaient des nouvelles de toute pièce. C’est incorrect. Voici une version revisitée, plus précise, de cette liste. Fausse nouvelle, définition de l’Inspecteur viral : Une fausse nouvelle est une information, soit carrément fausse, soit détournée, exagérée ou dénaturée à un point tel qu’elle n’est plus véridique, présentée comme une vraie nouvelle dans le but de tromper les gens. Les sites internet mentionnés plus bas ne fabriquent pas nécessairement toutes leurs nouvelles. En fait, la majeure partie d’entre eux se basent sur l’actualité, sur des faits établis et prouvables. Je rappelle que l’omission volontaire de faits cruciaux à une histoire tient automatiquement de la désinformation. Santé et bien-être

CHATONS, le collectif anti-GAFAM Suite à la mise en place de la campagne Dégooglisons Internet, Framasoft souhaite impulser la création d’un Collectif d’Hébergeurs Alternatifs, Transparents, Ouverts, Neutres et Solidaires (C.H.A.T.O.N.S. ! :-P ). Ce collectif rassemblerait les organisations souhaitant proposer des services alternatifs à ceux de GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft), respectueux de la vie privée des utilisateurs. Le projet n’en est qu’à ses débuts et ne sera pas ouvert au public avant plusieurs mois, mais ce billet permet d’informer les actuels hébergeurs de services libres de l’initiative. Rappel des épisodes précédents Depuis son lancement en octobre 2014, notre campagne « Dégooglisons Internet » a rencontré d’excellents échos. Rappelons que ce projet, qui s’étale sur plusieurs années, vise à résister à la colonisation du web par Google, Apple, Facebook, Amazon ou Microsoft (GAFAM pour les intimes, et la totalité des internautes sont, justement, très intimes avec eux). Un bilan positif

With its new Reader Center, The New York Times wants to forge deeper connections with its readers When it comes to hearing from readers, The New York Times wants to go a lot further than just letting people chime in at the bottom of some articles. Last week, the newspaper announced The New York Times Reader Center, a new initiative focused on finding new ways to connect with Times readers and deepening the connections it already has. The team, whose “exact size is still taking shape,” according to a Times spokesperson, will be staffed by a handful of journalists who will work with various Times departments — including interactive news, social, and even marketing and branding — on various reader-centered projects. “Our agenda is not for our little team to make a splash. Our agenda is for The New York Times to have stronger connections with readers,” said Hanna Ingber, editorial director of the Reader Center. The Reader Center has already pushed out a handful of projects. “We want to do everything we can to hear more of those voices and amplify them,” Ingber said.

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