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NY Times : 2012 year of the MOOC

That’s what everyone is trying to figure out. Many places offer MOOCs, and more will. But Coursera, Udacity and edX are defining the form as they develop their brands. Coursera casts itself as a “hub” — Dr. While Coursera will make suggestions, Dr. No one showed at the meet-up that Stacey Brown, an information technology manager at a Hartford insurance company, scheduled for a 14th-floor conference room on a Thursday after work, despite R.S.V.P.’s from a few classmates in the area. Others like the discipline a group offers. Udacity has stuck close to its math and computer science roots and emphasizes applied learning, like “How to Build a Blog” or “Building a Web Browser.” Udacity courses are designed and produced in-house or with companies like Google and Microsoft. Related:  MOOC

xMOOC et cMOOC, les deux tendances majeures Ces deux appellations sont déjà obsolètes, selon les observations de Matthieu Cisel, doctorant à l'ENS Cachan, mais restent néanmoins très usitées. À l'origine, suivant l'historique de l'apparition des MOOC, on trouve les xMOOC, cours à vocation de transmission et duplication du savoir (cf. Coursera, Udacity et edX). Here a MOOC, there a MOOC, everywhere a MOOC, MOOC . . . image above: Cow Eating Lettuce - Pelmof"Power is shifting away from selective university admissions officers into the hands of educational consumers, who will soon have their choice of attending virtually any university in the world online."-Nathan Harden 16 Possible Effects of MOOCs The good, the bad and the ugly by C.J. Westerberg During the second half of 2012, conversations within the ed-tech world were all a-Twitter linking and blogging about MOOCs at a fever pitch, identifying them as the impending disruptor in higher education. Spires not wiresSome of Europe's best schools are determinedly unruffled. For a bit of fun, we feature a humorous 16-second video below that captures the spirit of our Oxbridge educators quoted above. In brief, MOOCs are massive open online courses being offered, generally free, by the likes of MIT, Harvard and Stanford taught by the same professors who teach at these marquee-name universities. The University System But what else can MOOCs do?

Connectivisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sugata Mitra a mené une étude durant dix ans et démontre que les enfants sont capables d'apprendre (de coapprendre), seuls, sans professeur, c'est-à-dire par eux-mêmes avec un ordinateur, internet et/ou des supports de cours. Il conclut que l'éducation est un système qui s'auto-organise et où l'apprentissage est le phénomène émergent[2],[3]. Donald G. Principes du connectivisme[modifier | modifier le code] Un aspect du connectivisme est l'utilisation d'un réseau composé de nœuds et de connexions comme métaphore centrale de l'apprentissage[7]. Pour George Siemens: « Le connectivisme est la somme de principes issus de la théorie du chaos, des réseaux, de l'auto-organisation et de la complexité. Le connectivisme est motivé par la compréhension du fait que les prises de décision sont fondées sur des bases qui se modifient rapidement. Principes essentiels[modifier | modifier le code] Les critiques du connectivisme[modifier | modifier le code]

Combating Teacher Burnout Expert Perspective Combating Teacher Burnout Research shows the teaching profession has the highest burnout rate of any public service job. What can we do to keep the best and the brightest teachers in the classroom? By Cheryl Scott Williams11/03/11 Some years ago, before personal computers and broadband telecommunications were ubiquitous in homes and the workplace, I left my high school classroom teaching job to take a mid-level management position at a women’s nonprofit professional association. As I was learning the requirements of my new position, I met with colleagues throughout the organization to get background and request assistance. I had entered a work culture that respected my knowledge and skills as a professional and provided me opportunities to collaborate with colleagues both within and outside the organization. That’s what I believed back then. In the AFT/AIR report, young teachers say they want:

Connectivisme Cet article est une ébauche à compléter. Une ébauche est une entrée ayant un contenu (très) maigre et qui a donc besoin d'un auteur. 1 Contexte et définition 1.1 Origine Le connectivisme est une théorie de l'apprentissage principalement développée par George Siemens et Stephen Downes dans les années 2000. 1.2 Définition La théorie connectiviste est présentée par Siemens (2004) comme la nécessaire évolution des théories classiques de l’apprentissage (behaviorisme, cognitivisme, constructivisme et socio-constructivisme), adaptée aux nouvelles réalités de la société du savoir et du numérique. 2 Les huit principes du connectivisme 2.1 Principe 1 : Learning and knowledge rests in diversity of opinions Selon le premier principe, l’apprentissage et le savoir sont liés à la diversité des opinions et des ressources. 2.2 Principe 2 : Learning is a process of connecting specialized nodes or information sources 2.3 Principe 3 : Learning may reside in non-human appliances 3 Enjeux pour l'enseignement

MOOC - La résurgence de la communauté dans l'apprentissage en ligne Dans cette présentation, Stephen Downes aborde la question à savoir comment les MOOC (massive open online courses) influenceront l'avenir de la formation à distance. La présentation examine de façon détaillée la nature et l'objectif des MOOC comparativement à l'enseignement traditionnel à distance. Il soutient que les MOOC représentent la résurgence de l'apprentissage communautaire et décrira comment les institutions d'éducation à distance partageront les MOOC entre elles et renforceront les interactions en ligne grâce à des services et des ressources communautaires. Le phénomène des MOOC dits « wrapped » sera décrit et M. Downes présentera plusieurs exemples de soutien local pour les MOOC mondiaux. Les implications pour l'univers de l'enseignement à distance de langue française seront considérées et M. Qu'est-ce qu'un MOOC? Merci, je suis ravi d'être parmi vous aujourd'hui. [slide 1 – MOOC Wordle] [slide 2 – MOOC] Permettez-moi donc de commencer par la définition. [slide 3 – massive]

Pourquoi les MOOC ne tiennent pas leurs promesses La transformation numérique du secteur de l’éducation se fait attendre. La plupart des initiatives digitales visant à compléter ou à substituer les enseignements traditionnels par des cours en ligne restent expérimentales. Elles peinent en réalité à établir la preuve formelle de leur intérêt pour l’ensemble des acteurs impliqués de l’écosystème : apprenants, professeurs et institutions d’enseignement supérieur. Elles passent donc rarement à l’échelle. Les cours en ligne, ou MOOC, peuvent ainsi apparaître comme une promesse non tenue. Face à cet échec manifeste, il convient de s’interroger sur les erreurs commises pour comprendre comment sortir de cette situation. Des espoirs déçus Les cours en ligne ont initialement suscité un grand nombre d’espoirs auprès d’une partie significative des acteurs du monde de l’éducation. La promesse était alléchante. Des chiffres révélateurs Pour apporter la démonstration du revers rencontré par les MOOC, il suffit d’avancer quelques chiffres.

Face aux critiques, les Mooc revoient leur copie La planète Mooc aurait-elle la gueule de bois? Après avoir été portés au pinacle, ces cours massifs gratuits en ligne, nés aux Etats-Unis avant de gagner la planète entière, font face à de nombreuses critiques... Principal grief: le taux de participants, compris seulement entre 2 % et 10 %, qui vont jusqu'à l'obtention d'un certificat validant leur suivi. Place aux travaux pratiques Première leçon donc: mettre quelques vidéos en ligne émanant mêmes des plus prestigieuses universités ne suffit pas pour capter dans la durée l'attention des candidats. Des rencontres aussi physiques Ces exercices pratiques menés à plusieurs impulsent de plus une dynamique entre les participants, appelés à s'entraider. Le vedettariat ne suffit pas Troisième leçon: pour atteindre leur objectif, les Moocs doivent bénéficier de l'expertise pointue de très bons enseignants et pédagogues. Les Mooc deviennent aussi plus ludiques, empruntant certains outils aux jeux vidéos. Vers des Mooc en continu ?

Les MOOC, déjà has-been ? L'enthousiasme pour les cours en ligne ouverts et massifs retombe. En cause, le faible taux de réussite. De nouveaux concepts -payants, plus courts- font leur apparition. "J'ai suivi un MOOC au printemps dernier et je me suis ennuyé ferme. C'était tellement soporifique que je n'ai pu aller jusqu'au bout." Lassé par ces plateformes qui proposent de suivre les cours des plus prestigieuses universités américaines en ligne, le russe Pavel Dmitriev a l'idée de créer Coursmos, un site de programmes courts d'apprentissage sur Internet. Dans le bus, sur un smartphone, chacun a accès aux cours, souvent gratuits. Des formats plus courts Mais quelle différence alors entre Coursmos et Youtube, qui regorge également de vidéos d'apprentissage en tout genre ? Les cours sont répartis en thématiques, de l'art à la cuisine en passant par l'informatique. "Le plus important, c'est d'instiller du savoir dans un court laps de temps pour capter l'attention de ceux qui en ont peu" Désillusion vis-à-vis des MOOC

Faut-il (ré)humaniser les MOOC ? 1 Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture. 2 D’autres initiatives existaient avant, que ce soit au travers des sites web modestes et d’initiativ (...) 3 Source : (...) 1Les MOOC, cours en ligne dits ouverts à tous, sont apparus il y a moins de 10 ans. Les ressources éducatives libres, apparues dans les années 2000 en France et baptisées en 2002 lors du forum de l’UNESCO1, constituent probablement le premier mouvement identifié et formel de démocratisation des savoirs utilisant Internet (Lhommeau, 2014)2. Les MOOC, d’origine anglo-saxonne, s’inscrivent dans un mouvement similaire. S’ils constituent une forme d’accès au savoir qui n’a rien de nouvelle sur le plan technique, ils ont le mérite de tenter de la rendre plus formelle, proposant une scénarisation pédagogique réfléchie pour chaque MOOC, qui s’étale sur quelques semaines. Massive Open Online Courses Les pairs

Massive open online course Poster, entitled "MOOC, every letter is negotiable", exploring the meaning of the words "massive open online course" A massive open online course (MOOC /muːk/) is an online course aimed at unlimited participation and open access via the web.[1] In addition to traditional course materials, such as filmed lectures, readings, and problem sets, many MOOCs provide interactive courses with user forums to support community interactions among students, professors, and teaching assistants (TAs), as well as immediate feedback to quick quizzes and assignments. MOOCs are a recent and widely researched development in distance education, first introduced in 2006 and emerged as a popular mode of learning in 2012.[2][3] Early MOOCs often emphasized open-access features, such as open licensing of content, structure and learning goals, to promote the reuse and remixing of resources. History[edit] What is a MOOC? Precursors[edit] Early approaches[edit] cMOOCs and xMOOCs[edit] Emergence of MOOC providers[edit]

Massive Open Online Course Schéma présentant huit concepts-clé d'un MOOC connectiviste, concernant la relation pédagogique (en beige) et les cadres techno-organisationnel et éthique (en bleu). La dimension collaborative s'appuiera par exemple sur des wikis permettant aux apprenants et enseignants d'améliorer chaque année les ressources et supports pédagogiques à disposition de tous, par exemple sur les grands wikis de la Wikimedia Foundation. Les participants aux cours, enseignants et élèves, sont dispersés géographiquement et communiquent uniquement par Internet. Des ressources éducatives libres sont souvent utilisées. Dénomination[modifier | modifier le code] Poster anglophone titré « MOOC, every letter is negotiable », (« MOOC, chaque lettre est négociable »), explorant le sens de chaque lettre de l'acronyme MOOC. L'appellation « MOOC » a été reconnue en entrant dans le Larousse 2016[5]. Éléments de définition[modifier | modifier le code] Types[modifier | modifier le code] Le Mooc est une ressource ouverte.

MOOC : hypothèses sur l’engouement pour un objet mal identifié 1Plusieurs articles courts dans DMS (Charlier, 2014 ; Depover, 2014 ; Guillemet, 2014), un article de Sir John Daniel (2012), un autre de Pierre Mœglin (2014), une chronique de Bruillard et Cisel (2012) dans la revue Sticef ont déjà jeté une certaine lumière, d’un point de vue francophone, sur le phénomène (ou « l’épiphénomène », selon Mœglin) des MOOC. Il s’agit ici, après une discussion sur ce qui a déjà été écrit sur le sujet, de s’interroger sur l’engouement indéniable que les MOOC ont suscité et continuent apparemment de susciter dans l’enseignement supérieur français, alors qu’on assisterait plutôt à un reflux du côté américain. 2Nous nous positionnons surtout au niveau « micro » de la pédagogie, mais ne nous interdisons pas de croiser ce niveau avec la question plus « méso » du modèle financier ou plus largement de la probabilité que tel ou tel type de MOOC puisse perdurer sur le moyen terme. Caractéristiques essentielles des MOOC cMOOC, xMOOC et théories pédagogiques

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