Sutori. Massive Open Online Course. Schéma présentant huit concepts-clé d'un MOOC connectiviste, concernant la relation pédagogique (en beige) et les cadres techno-organisationnel et éthique (en bleu).
La dimension collaborative s'appuiera par exemple sur des wikis permettant aux apprenants et enseignants d'améliorer chaque année les ressources et supports pédagogiques à disposition de tous, par exemple sur les grands wikis de la Wikimedia Foundation. Les participants aux cours, enseignants et élèves, sont dispersés géographiquement et communiquent uniquement par Internet. Des ressources éducatives libres sont souvent utilisées. Dans le monde anglophone, il peut arriver que plus de 100 000 personnes soient réunies pour un cours[1]. Massive open online course. Poster, entitled "MOOC, every letter is negotiable", exploring the meaning of the words "massive open online course" A massive open online course (MOOC /muːk/) is an online course aimed at unlimited participation and open access via the web.[1] In addition to traditional course materials, such as filmed lectures, readings, and problem sets, many MOOCs provide interactive courses with user forums to support community interactions among students, professors, and teaching assistants (TAs), as well as immediate feedback to quick quizzes and assignments.
MOOCs are a recent and widely researched development in distance education, first introduced in 2006 and emerged as a popular mode of learning in 2012.[2][3] Early MOOCs often emphasized open-access features, such as open licensing of content, structure and learning goals, to promote the reuse and remixing of resources. Some later MOOCs use closed licenses for their course materials while maintaining free access for students.[4][5][6][7] Maif revolution mooc. Face aux critiques, les Mooc revoient leur copie. La planète Mooc aurait-elle la gueule de bois?
Après avoir été portés au pinacle, ces cours massifs gratuits en ligne, nés aux Etats-Unis avant de gagner la planète entière, font face à de nombreuses critiques... Principal grief: le taux de participants, compris seulement entre 2 % et 10 %, qui vont jusqu'à l'obtention d'un certificat validant leur suivi. "Un bon nombre de candidats viennent chercher des parties de cours pour répondre à des besoins précis mais ne sont pas intéressés par aller jusqu'au bout. Et même ceux qui suivent l'ensemble du Mooc ne souhaitent pas obtenir une certification nécessitant de remettre des devoirs régulièrement et de passer un examen final", reconnaît Pierre Dillenbourg, directeur de la "Moocs factory" de l'EPFL (Ecole polytechnique fédérale de Lausanne), l'un des tout premiers établissements européens à s'être jeté dans le bain.
Avec 50 000 certificats distribués, l'EPFL estime d'ailleurs l'expérience positive. Place aux travaux pratiques. Pourquoi les MOOC ne tiennent pas leurs promesses. Chroniques d’experts Digital Le 22/08/2018 © Getty Images Temps de lecture : 9 minutes.
Les MOOC, déjà has-been ? L'enthousiasme pour les cours en ligne ouverts et massifs retombe.
En cause, le faible taux de réussite. De nouveaux concepts -payants, plus courts- font leur apparition. "J'ai suivi un MOOC au printemps dernier et je me suis ennuyé ferme. C'était tellement soporifique que je n'ai pu aller jusqu'au bout. " Lassé par ces plateformes qui proposent de suivre les cours des plus prestigieuses universités américaines en ligne, le russe Pavel Dmitriev a l'idée de créer Coursmos, un site de programmes courts d'apprentissage sur Internet. Dans le bus, sur un smartphone, chacun a accès aux cours, souvent gratuits. Des formats plus courts Mais quelle différence alors entre Coursmos et Youtube, qui regorge également de vidéos d'apprentissage en tout genre ?
Les cours sont répartis en thématiques, de l'art à la cuisine en passant par l'informatique. "Le plus important, c'est d'instiller du savoir dans un court laps de temps pour capter l'attention de ceux qui en ont peu" MOOC - La résurgence de la communauté dans l'apprentissage en ligne. Dans cette présentation, Stephen Downes aborde la question à savoir comment les MOOC (massive open online courses) influenceront l'avenir de la formation à distance.
La présentation examine de façon détaillée la nature et l'objectif des MOOC comparativement à l'enseignement traditionnel à distance. Il soutient que les MOOC représentent la résurgence de l'apprentissage communautaire et décrira comment les institutions d'éducation à distance partageront les MOOC entre elles et renforceront les interactions en ligne grâce à des services et des ressources communautaires. Le phénomène des MOOC dits « wrapped » sera décrit et M. Downes présentera plusieurs exemples de soutien local pour les MOOC mondiaux. Histoire et définition des MOOC. xMOOC et cMOOC, les deux tendances majeures. Ces deux appellations sont déjà obsolètes, selon les observations de Matthieu Cisel, doctorant à l'ENS Cachan, mais restent néanmoins très usitées.
À l'origine, suivant l'historique de l'apparition des MOOC, on trouve les xMOOC, cours à vocation de transmission et duplication du savoir (cf. Coursera, Udacity et edX). Il n'y a pas de révolution majeure dans les modes d’apprentissages qui restent très frontaux et sans aucune valeur ajoutée. Les activités sont individuelles, les apprenants sont peu ou pas encadrés ni accompagnés, les connaissances sont transmises au travers de cours magistraux plus que construites, l’évaluation touche avant tout les savoirs et non les compétences. Les cMOOC (c pour connectivisme), apparus un peu plus tard, ont eux pour ambition de changer la façon d’enseigner en profondeur. Cmooc et xmooc. L'incroyable productivité des cMOOCs. Connectivisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Sugata Mitra a mené une étude durant dix ans et démontre que les enfants sont capables d'apprendre (de coapprendre), seuls, sans professeur, c'est-à-dire par eux-mêmes avec un ordinateur, internet et/ou des supports de cours. Il conclut que l'éducation est un système qui s'auto-organise et où l'apprentissage est le phénomène émergent[2],[3]. Donald G. Perrin, directeur de rédaction à l'International Journal of Instructional Technology and Distance Learning dit de la théorie qu'elle « combine les éléments pertinents de nombreuses théories d'apprentissage, des réseaux sociaux et des technologies afin de créer une théorie solide pour l'apprentissage à l'ère numérique »[1].
[pertinence contestée] Principes du connectivisme[modifier | modifier le code] Connectivisme. Cet article est une ébauche à compléter.
Une ébauche est une entrée ayant un contenu (très) maigre et qui a donc besoin d'un auteur. 1 Contexte et définition 1.1 Origine Le connectivisme est une théorie de l'apprentissage principalement développée par George Siemens et Stephen Downes dans les années 2000. Connectivism: A Learning Theory for the Digital Age, George Siemens. Editor’s Note: This is a milestone article that deserves careful study.
In International Journal of Instructional Technology and Distance Learning, January 2005, Vol 2. No. 1., ISSN 1550-6908 – oblanvillain
Connectivism should not be con fused with constructivism.
George Siemens advances a theory of learning that is consistent with the needs of the twenty first century. His theory takes into account trends in learning, the use of technology and networks, and the diminishing half-life of knowledge. It combines relevant elements of many learning theories, social structures, and technology to create a powerful theoretical construct for learning in the digital age. NY Times : 2012 year of the MOOC. That’s what everyone is trying to figure out. Many places offer MOOCs, and more will.
But Coursera, Udacity and edX are defining the form as they develop their brands. Coursera casts itself as a “hub” — Dr. Ng’s word — for learning and networking. The learning comes gratis from an impressive roster of elites offering a wide range of courses, from computer science to philosophy to medicine. While Coursera will make suggestions, Dr. No one showed at the meet-up that Stacey Brown, an information technology manager at a Hartford insurance company, scheduled for a 14th-floor conference room on a Thursday after work, despite R.S.V.P.’s from a few classmates in the area.
Others like the discipline a group offers. Udacity has stuck close to its math and computer science roots and emphasizes applied learning, like “How to Build a Blog” or “Building a Web Browser.” NY Times (2012) : The Big Three MOOC Providers. Très chers MOOCs... MOOC : hypothèses sur l’engouement pour un objet mal identifié. 1Plusieurs articles courts dans DMS (Charlier, 2014 ; Depover, 2014 ; Guillemet, 2014), un article de Sir John Daniel (2012), un autre de Pierre Mœglin (2014), une chronique de Bruillard et Cisel (2012) dans la revue Sticef ont déjà jeté une certaine lumière, d’un point de vue francophone, sur le phénomène (ou « l’épiphénomène », selon Mœglin) des MOOC.
Il s’agit ici, après une discussion sur ce qui a déjà été écrit sur le sujet, de s’interroger sur l’engouement indéniable que les MOOC ont suscité et continuent apparemment de susciter dans l’enseignement supérieur français, alors qu’on assisterait plutôt à un reflux du côté américain. 2Nous nous positionnons surtout au niveau « micro » de la pédagogie, mais ne nous interdisons pas de croiser ce niveau avec la question plus « méso » du modèle financier ou plus largement de la probabilité que tel ou tel type de MOOC puisse perdurer sur le moyen terme.
Faut-il (ré)humaniser les MOOC ? 1 Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture. 2 D’autres initiatives existaient avant, que ce soit au travers des sites web modestes et d’initiativ (...) 3 Source : (...) 1Les MOOC, cours en ligne dits ouverts à tous, sont apparus il y a moins de 10 ans. Les ressources éducatives libres, apparues dans les années 2000 en France et baptisées en 2002 lors du forum de l’UNESCO1, constituent probablement le premier mouvement identifié et formel de démocratisation des savoirs utilisant Internet (Lhommeau, 2014)2. This Will Revolutionize Education.
Où trouver des MOOC ? Archives MOOC.