Trois fausses informations récentes qui ont influencé l’opinion
Retour sur plusieurs cas d’intox qui ont massivement circulé en ligne, jusqu’à convaincre une part non négligeable de la population. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Adrien Sénécat Les fausses informations parviennent-elles à modifier profondément l’opinion publique ? Le baromètre 2017 de la « confiance des Français dans les médias » Kantar Sofres pour La Croix, publié en février, donne quelques cas instructifs.
Qu'est-ce qu'une « fake news » ? - Prim à bord
Un phénomène en croissance sur le web Très utilisé par les journaux et les médias depuis les dernières élections, le phénomène de « Fake news » ou de fausses informations est en pleine expansion. Les dernières élections présidentielles américaines et françaises ont confirmé la tendance avec de nombreux exemples.
Fauxtographie : l'Histoire manipulée
Vous ne serez pas surpris si je vous dis que l’Homme n’a pas attendu l’existence de Photoshop pour manipuler les photographies. Superposition et suppression étaient rendues possibles à grands coups de ciseaux, gouache, encre de Chine, aérographie, etc. et ce dès 1860, comme le montre l’intégration de la tête d’Abraham Lincoln sur le corps de John Calhou, ou encore cette photographie du Général Ulysse Grant au front avec ses troupes, résultat d’un montage de 3 photographies différentes. La photographie de droite représentant le général Ulysse Grant est le résultat d’un montage des trois photographies de gauche (prisonniers confédérés, le général Alexander Cool sur son cheval et une photographie du général Grant)
Fact-checking : notre kit de survie en 5 gestes qui sauvent (partenariat avec le CFJ)
A jours trois du premier tour de l’élection présidentielle, Méta-Media et France Télévisions lance une batterie d’initiatives pour lutter contre la désinformation. Il n’aura fallu que quelques mois au petit monde de l’info pour adopter une novlangue désormais incontournable : pas un jour ne passe sans que l’on ne parle de fake news, de post-vérité, de hoax, de bulles de filtre, ou même de debunking… Si cette taxinomie a l’inconvénient de composer avec des contours flous, elle n’en reste pas moins révélatrice des dangers auxquels s’exposent aujourd’hui nos démocraties en ligne. En pleine année électorale, la France et l’Allemagne sont sans surprise les nouvelles cibles des propagateurs de fake news. D’autant que chez nous, l’élection présidentielle sera suivie de près par les échéances législatives... Comme c’est le cas tout au long de l’année, le service public réaffirme sa mission clé : fournir une information vérifiée.
À la source des fake news, l’interdépendance presse/réseaux sociaux
Les acteurs dominants du numérique développent une stratégie de séduction des producteurs de contenus C’est une considération qui fait l’unanimité : la presse a besoin des réseaux sociaux (et des moteurs de recherche). Cette certitude, appuyée par quantité d’études montrant que les internautes s’informent de plus en plus sur les réseaux sociaux, est devenue quasiment une doxa, une considération indiscutable. Pourtant, si la presse, notamment écrite, dans la mesure où les éditions papier subissent d’importantes pertes d’audience année après année, a effectivement besoin de ces relais d’audience que sont les réseaux sociaux et moteurs de recherche, les acteurs dominants de la conversation numérique (Facebook, Google, Snapchat ou Twitter) ont tout aussi besoin de la presse. Facebook a, par exemple, créé en 2015 un outil taillé spécialement pour les rédacteurs : les « articles instantanés », un format dédié à la lecture mobile.
6 outils/sites numériques pour vérifier les images qui circulent sur le web
Article mis à jour le 18 novembre 2015 par Fidel Navamuel Pas facile de faire la part des choses quand l’actualité s’emballe et que les chaines d’info en continu mais surtout les réseaux sociaux démultiplient à l’infini la diffusion des informations et des images. Une image puissante est à elle seule une histoire qui peut se propager à une vitesse phénoménale. L’occasion en cette période sombre de rappeler quelques principes de base que l’on apprend (ou que l’on devrait apprendre) dans toutes les écoles de journalisme avant de diffuser ou reprendre une image: Établir qui en est l’auteur.
Sushis, vaccins et viande humaine : le « palmarès » des fausses infos
Combien de personnes les « fake news » peuvent-elles toucher ? Qui les produit ? Comment circulent-elles ? Eléments de réponse, à partir de données compilées par Les Décodeurs. LE MONDE | 08.09.2017 à 11h16 • Mis à jour le 08.09.2017 à 11h35 | Par Adrien Sénécat Les Décodeurs ont analysé la circulation d’une centaine de fausses informations, à partir d’un ensemble d’environ mille articles associés.
L'histoire vraie des fausses nouvelles
Rediffusion du 01/04/2017 Ce fut un grand moment – un moment mémorable en tout cas – dans l’histoire de la communication gouvernementale. Quelques jours après l’intronisation du président américain Donald Trump, sa conseillère Kellyanne Conway, contredite par la presse à propos du décompte de la foule présente à Washington ce jour là, qu’elle gonflait démesurément, expliqua froidement que ce chiffre était impossible à établir et parla, selon une formule immortelle, de « faits alternatifs ».
Le Monde - Comment les fausses informations circulent sur Facebook
Les informations erronéesou manipulées Ces contenus, qui représentent la majorité des intox de notre corpus, mettent en avant des éléments factuels erronés voire fabriqués. Par exemple, lorsque la sous-préfète de Saint-Martin a été accusée à tort d’avoir quitté l’île après le passage de l’ouragan Irma. Ou bien lorsqu’il a été écrit que l’argent liquide allait disparaître en 2018. Ceux qui diffusent de telles fausses informations le font avant tout pour des raisons idéologiques, et une grande partie d’entre eux militent pour un camp politique. Les théories conspirationnistes
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