Genma (@genma) | Twitter Le petit Kit pour protéger tes données sur Internet - Geek Junior - Le Safer Internet Day est une bonne occasion de découvrir des outils et astuces qui te permettent de limiter tes traces numériques. Pourquoi il ne faut pas laisser (trop) de traces numériques ? Les données que tu laisses sur la toile ont une valeur. Pratiques numériques : 10 bonnes résolutions pour commencer l’année Le problème est qu’une partie de ces données peut être diffusable pendant des années et revendues à des sociétés. Heureusement, des solutions gratuites existent qui respectent ta vie privée. Safer Internet Day 2021 : sensibilisation à l’heure de la Covid-19 Le petit kit des outils pour protéger tes données Voici une liste de solutions pour t’accompagner tout au long de ta vie numérique. Toutes ces solutions ne sont pas parfaites et ne te garantissent pas un anonymat absolu sur Internet. Dernier conseil : ne jamais mettre tous les œufs dans le même panier ! Des conseils et du bon sens, quelques articles… Le risque zéro n’existe pas sur Internet.
Étude Médiamétrie : les 15-24 ans et le digital Médiamétrie et Stratégir-WSA viennent de publier une grande étude sur les habitudes des jeunes en ce qui concerne le digital, les smartphones, les médias et les jeux vidéo. Voici les grandes conclusions de l’enquête. Les 15-24 ans regardent toujours la télévision Même si elle est moins consommée par les jeunes que par leurs aînés, ils ont 6,3 contacts par jour et par personne avec ce média.Si le replay gagne du terrain, 8 jeunes sur 10 la regardent en live au moins une fois par semaine2 jeunes sur 10 la regardent en live sur un écran qui n’est pas un téléviseur16% regardent la télévision en live sur leur ordinateur, 8% sur leur tablette et 6% sur leur smartphone34% des jeunes regardent des programmes en replay au moins une fois par semaine Le smartphone au cœur des usages Un usage important des réseaux sociaux Les 15-24 ans fans de jeux vidéo, de contenus vidéos et de cinéma La radio a toujours la cote
« Nothing to hide » : n'avoir « rien à cacher » n'est pas un argument « Je n’ai rien à cacher », « je n’ai rien de fait de mal ni d’illégal donc peu importe si on m’espionne ». C’est l’argument auquel se heurtent systématiquement les défenseurs de nos libertés numériques. Mais n’avoir « rien à cacher », et accepter de livrer toutes ses données à Facebook, Google et à une multitude de services « gratuits » tout en sachant, de façon plus précise depuis les révélations d’Edward Snowden, que ces données alimentent directement la surveillance de masse : est-ce vraiment un raisonnement tenable sur le long terme ? Est-ce la société que nous voulons ? Juin 2013. La société et ses données d'abord « Dire que votre droit à la vie privée importe peu car vous n’avez rien à cacher revient à dire que votre liberté d’expression importe peu, car vous n’avez rien à dire. « Il faut se demander ce que c’est de vivre dans une société où nos juges, avocats, chercheurs et journalistes sont potentiellement surveillés et sous contrôle » Un Mister X pour cobaye
Jeux indépendants et autres petites choses… » [test² + test démo²] Chaussez votre casque et apprêtez votre télémètre ! Aujourd’hui c’est pas moins de deux jeux et deux démos dont je parlerais. (Presque) tous ont le même développeur, Chronic Logic et le même but : construire des ponts au dessus d’une rivière ou d’un canyon qui doivent supporter le passages de véhicules et de tremblements de terre. On va commencer dans l’ordre chronologique avec le premier jeu : Bridge Building Game par Cryptic See. C’est très vieux et ça se voie : l’interface est très oldschool façon 16 couleurs. Vous ne pouvez que créer de simples segments, il n’y a pas de choix de matériaux à prendre en compte mais un budget à tenir. Chaque niveau propose une topographie différente associée à des points fixes qui servent de principaux supports et un budget parfois sérré. Vous pouvez tester votre pont, il réagit alors à a physique et si il tient, vous pouvez essayer de faire passer le train. Vidéo : Liens : On continu sur les deux démos. D’abord Pontifex I, une amélioration de Bridge Building Game. Un pont très stylisé. Bonus : Bonus² :
cryptobib - Sensibiliser les usagers des bibliothèques à la protection de leur vie privée et veiller à la confidentialité des données personnelles dans les systèmes d'information documentaires Subject: Sensibiliser les usagers des bibliothèques à la protection de leur vie privée et veiller à la confidentialité des données personnelles dans les systèmes d'information documentaires Cette liste doit permettre à ses abonnés d'échanger autour des problématiques de vie privée au sein des établissements documentaires (fonction publique territoriale, enseignement supérieur et secondaire...). En effet, les services de documentation gèrent des abonnements à des services et ressources hébergés sur des serveurs distants. Pour écrire dessus: cryptobib@groupes.renater.fr Pour contacter les administrateurs: cryptobib-request@groupes.renater.fr Interface web (gestion des abonnements etc): Wiki Cette liste est complété d'un Wiki Archivage: Cette liste est configurée avec des archives publiques, accessibles via l'interface web. Inscriptions: Tri: Présentation:
Facebook garde tout en mémoire allô docteurs confidentialiténewsletters Donnez votre avis Facebook garde tout en mémoire Nouvo Chargement de la playlist en cours... Publié le 04-09-2012 - Mis à jour le 28-09-2015 média Éducation aux médias troisième cinquième quatrième seconde terminale première sixième Facebook sauvegarde toutes les données jamais publiées par ses membres. Producteur : RTS PartagerTweeterPartager Recommandations Le Wall - Parents mode d'emploi, version 2.0 cinquième Rencontres capitales 2013 Info en continu, réseaux sociaux : quelle est la n... troisième Les clés des médias Nous sommes tous médias cinquième Information Fake news : gestes qui sauvent Se méfier des réseaux sociaux Le pluralisme des médias cinquième médias Débusquer un fake Peut-on tout montrer dans les médias ? La publicité dans les médias Les stéréotypes dans les médias Next
Outils de veille : catalogue de solutions gratuites ou peu coûteuses Je souhaitais revenir dans cet article sur le document slideshares Outils de veille. Ce document a été beaucoup partagé sur les médias sociaux mais la durée de l’information y est tellement éphémère qu’il se pourrait que vous soyez passés à côté. Or c’est une mine d’informations utiles. Ce document est l’œuvre de Raphaël Rey, Assistant d’enseignement à la Haute Ecole de Gestion de Genève (HEG). Raphaël Rey dresse un inventaire de solutions de veilles gratuites ou peu coûteuses dans un plan de classement de neuf rubriques : agrégateurs de flux RSS, agents d’alerte, agents de surveillance, outils de bookmarking et de capitalisation, outils de curation et de diffusion, plateformes multifonctionnelles, services d’automatisation, outils de visualisation et de traitement des données. L’ensemble de l’étude fait 47 pages/écrans. A la fin des trois plus grosses rubriques, un tableau récapitulatif permet de comparer les différents outils selon les critères de sélection étudiés.
28/1 journée de la protection des données personnelles : Conseils aux bibliothécaires – Biblio Numericus Si vous avez l’habitude de lire mon blog, vous savez que j’accorde une grande importance à la question de la vie privée et de la protection des données personnelles en ligne. Je pense que les bibliothèques ont un rôle important à jouer dans ce domaine et plus particulièrement dans un contexte de renforcement de lois liberticides votées ces dernières années. Je vous invite d’ailleurs à lire le récent communiqué de l’Association des bibliothécaires de France sur la capacité des bibliothèques à être des lieux où on peut s’informer librement. On entend parfois des phrases aussi profondes que la réflexion d’un légumineux qui défendent l’idée que si on n’a rien à cacher, il n’y a pas de problème à ce que les GAFAM et les agences de renseignements gouvernementales observent nos moindres faits et gestes. A ce raisonnement fallacieux, Edward Snowden avait répondu : Des bibliothécaires s’organisent déjà pour promouvoir le respect de la vie privée des utilisateurs des bibliothèques. Vidéos
Indius - L'actualité des jeux vidéo indépendants Données personnelles : les Français de plus en plus inquiets Un sondage réalisé par l’institut CSA montre que, contrairement aux idées reçues, les plus jeunes sont au moins aussi inquiets sur ce point que leurs aînés. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Martin Untersinger Les Français s’inquiètent du sort réservé à leurs données personnelles sur Internet, selon un sondage réalité par l’institut CSA, publié mercredi 20 septembre. Neuf Français sur dix se disent « préoccupés par la protection des données personnelles sur Internet », en hausse de cinq points depuis 2014, date d’une étude similaire réalisée par l’institut. Les Français sont cependant plus optimistes que l’on pourrait le penser, puisque la part de ceux qui pensent que la sécurité des données personnelles sur Internet s’est améliorée a augmenté de neuf points par rapport à 2014 (26 %) quand celle des Français qui pensent qu’elle s’est dégradée s’est effondrée de quatorze points (28 %). Défiance envers les réseaux sociaux Les jeunes sont les plus inquiets
Zéro Trace : partage tes photos et contenus sur les réseaux en toute sécurité - Geek Junior - Zéro Trace est une nouvelle solution web pour partager tes photos et les contenus de ton choix sur les réseaux sociaux, sans compromission avec ta vie privée et celle de tes amis. Partager des contenus privés sur les réseaux, pas si simple Facebook est devenu un mélange entre un grand barnum social et les pages jaunes. Mais comment faire pour que mes données ne soient pas exploitées par les géants du web ? Zéro Trace, du chiffrement dans les réseaux ! Zéro Trace est concrètement une extension que tu vas installer sur ton navigateur (disponible pour Chrome, bientôt sur Firefox). Avec Zéro Trace, tout se gère via l’extension Comment ça marche ? En trois étapes, tu vas partager ton contenu. Zéro Trace : se sensibiliser à son héritage numérique S’habituer à la petite manipulation pour chiffrer et partager ton contenu avec Zéro Trace demande un petit effort au début. Tu maitrises ainsi ton héritage numérique : les activités et les publications en ligne laissent en effet des traces.