Εxodus. Liberté et numérique. Auto défense populaire numérique. Publié le 5 juin, La salle de l’UPC est remplie de tables rondes, une vingtaine d’élèves rivés sur leur écran d’ordinateur ou de téléphone.
Shinra, pseudo en référence doublée à un Aïkidoka du 9ème siècle et au jeu Final Fantasy, annonce la couleur : « Je ne suis pas du tout un spécialiste de la chose, juste un utilisateur averti. » Plus tard, il nous expliquera que sa démarche vers les outils de protection des données, vient d’un rejet de toute forme de propriété qu’il applique aussi à l’informatique. Sans titre.
Framadrive. UR, le navigateur web pour reprendre le contrôle sur ta vie privée en ligne. UR est un navigateur web qui protège ta vie privée en ligne.
Disponible sur PC (Mac et Windows), c’est une alternative intéressante à Google Chrome et Firefox. Et en plus c’est une solution française ! On avait découvert UR il y a un an déjà. Depuis, le navigateur web, développé par la start-up française AdaptiveBee, a continué à s’améliorer et s’est attaché à te proposer une solution complète pour pouvoir naviguer en ligne sans laisser de traces. Sécurité, anti-pistage et anti-profilage sont les trois axes sur lesquels s’est concentré UR pour te garantir de ne pas transférer tes données sur les serveurs des géants du web, Google en tête. Trailer du film Democracy - Democracy Bande-annonce VO. [Séminaire M@rsouin 2018] Appel à communications ouvert jusqu'au 28 janvier. Commémoration, héritage, suppression : comment fonctionne la « mort numérique » ? Par quels moyens s'assurer, en cas de décès, que nos différents comptes en ligne -- Facebook, Twitter, Google... -- seront gérés de manière conforme à notre volonté ?
Retour sur la mort en ligne, un principe consacré depuis peu en France par la loi mais qui pose encore de nombreuses questions pratiques et morales. Qu’adviendra-t-il de vos comptes Facebook, Twitter ou Google après votre décès ? Souhaitez-vous voir vos profils rester en ligne, les transformer en espace de commémoration ou les faire disparaître grâce à vos proches ? Loin d’être plaisante, la thématique bénéficie pourtant d’une solution dédiée sur chacune de ces plateformes. Bibliothécaires debout pour le droit à la vie privée et la liberté d’expression – Biblio Numericus. On n’a rien à cacher sauf… – Biblio Numericus.
A l’occasion de la récente mise à disposition du documentaire Nothing to Hide de Marc Meillassoux, j’ai eu envie de remettre une couche sur la question de la vie privée en ligne et de la protection des données personnelles.
J’en profite pour vous rappeler que Nothing to hide a été placé sous licence Creative Commons par son réalisateur. Autrement dit, cela offre la possibilité de le diffuser et de le partager librement. C’est une occasion rêvée pour organiser des projections-débats dans nos médiathèques. La problématique de la vie privée sur Internet et de la surveillance de masse fait écho à l’actualité politique et médiatique. Ainsi, les bibliothèques ont l’opportunité de participer et d’impliquer les usagers dans des débats qui ont lieu actuellement sur le projet de société que nous souhaitons défendre. Guide d’autodéfense numérique.
Médiateurs numériques : Informons sur le #PJLRenseignement – Loïc Gervais. Il ne vous aura pas échappé qu’en ce moment se discute un projet de loi très controversé à l’Assemblée Nationale.
Ce projet de loi renseignement fait l’objet d’un compte rendu sur le site de NextImpact (à lire et à suivre ici ). Il y a un point sur lequel je souhaite particulièrement insister c’est ce sondage CSA/Atlantico qui indiquerait que les français seraient favorables à ce texte. De quoi parle t’on ? C’est un peu le problème seuls 28% des sondés savent de quoi parle le projet de loi et encore faudrait il entrer dans les détails pour s’en assurer. Combien d’entre nous ont ils déjà expliqué comment se connecter à Internet par un VPN ? C’est typiquement l’argument que vous proposera une personne de bon sens. Veiller, Accompagner, Guider… Ce sont les trois premiers mots-clefs que j’ai défini pour le médiateur numérique. Veiller. « Snowden ne fait pas l'histoire, il la permet » Le lanceur d’alerte Edward Snowden, le juriste anti-corruption Larry Lessig et la députée pirate Birgitta Jonsdottir.
Trois personnages qui luttent contre les « ennemis intérieurs » de la démocratie, et qui ne s’étaient jamais rencontrés. C’est chose faite avec le documentaire Meeting Snowden de Flore Vasseur, qui a filmé leurs échanges à Moscou, en décembre 2016. Rencontre avec une réalisatrice (très) engagée, à l'occasion de la diffusion du film sur Arte, ce 10 juin à 23h55. Edward Snowden, l’ancien sous-traitant de la NSA qui a révélé au monde, en 2013, le programme de surveillance de masse de l’agence américaine, vit depuis en exil en Russie. Il connaît et a souvent échangé à distance avec Larry Lessig, juriste à Harvard, fondateur de l’organisation Creative Commons, spécialiste de la corruption et pourfendeur des lobbys dans la démocratie américaine.
Usbek & Rica : Vous affirmez dès le début de votre film que nous ne vivons pas en démocratie. Pas forcément. « Nothing to hide » : n'avoir « rien à cacher » n'est pas un argument. « Je n’ai rien à cacher », « je n’ai rien de fait de mal ni d’illégal donc peu importe si on m’espionne ».
C’est l’argument auquel se heurtent systématiquement les défenseurs de nos libertés numériques. Mais n’avoir « rien à cacher », et accepter de livrer toutes ses données à Facebook, Google et à une multitude de services « gratuits » tout en sachant, de façon plus précise depuis les révélations d’Edward Snowden, que ces données alimentent directement la surveillance de masse : est-ce vraiment un raisonnement tenable sur le long terme ? Est-ce la société que nous voulons ? Diffusé en salles depuis quelques mois, avant une mise en ligne sous licence Creative Commons prévue pour le 30 septembre, le documentaire « Nothing to Hide » de Marc Meillassoux est une réponse passionnante à cette question cruciale pour notre avenir.
Juin 2013. Données personnelles : les Français de plus en plus inquiets. Un sondage réalisé par l’institut CSA montre que, contrairement aux idées reçues, les plus jeunes sont au moins aussi inquiets sur ce point que leurs aînés.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Martin Untersinger Les Français s’inquiètent du sort réservé à leurs données personnelles sur Internet, selon un sondage réalité par l’institut CSA, publié mercredi 20 septembre. Neuf Français sur dix se disent « préoccupés par la protection des données personnelles sur Internet », en hausse de cinq points depuis 2014, date d’une étude similaire réalisée par l’institut. Selon CSA, cela peut s’expliquer par « la couverture médiatique consacrée au hacking et aux cyberattaques, mais aussi à l’activité de plus en plus intense des Français sur la Toile ». Défiance envers les réseaux sociaux Le sondage a été réalisé en ligne sur un échantillon représentatif de la population française. Les banques sont l’institution dans laquelle les Français ont le plus confiance pour protéger leurs données personnelles. Social Cooling.
28/1 journée de la protection des données personnelles : Conseils aux bibliothécaires – Biblio Numericus. Si vous avez l’habitude de lire mon blog, vous savez que j’accorde une grande importance à la question de la vie privée et de la protection des données personnelles en ligne.
Je pense que les bibliothèques ont un rôle important à jouer dans ce domaine et plus particulièrement dans un contexte de renforcement de lois liberticides votées ces dernières années. Boîte à outils pour protéger la vie privée sur son smartphone. Ce n’est plus un secret pour personne, nos données personnelles sont de plus en plus exposées quand nous surfons sur Internet.
Le développement majeur des smartphones contribue à accentuer le risque d’exploitation de nos précieuses données. Genma (@genma) Cryptobib - Sensibiliser les usagers des bibliothèques à la protection de leur vie privée et veiller à la confidentialité des données personnelles dans les systèmes d'information documentaires. Subject: Sensibiliser les usagers des bibliothèques à la protection de leur vie privée et veiller à la confidentialité des données personnelles dans les systèmes d'information documentaires Cette liste doit permettre à ses abonnés d'échanger autour des problématiques de vie privée au sein des établissements documentaires (fonction publique territoriale, enseignement supérieur et secondaire...). En effet, les services de documentation gèrent des abonnements à des services et ressources hébergés sur des serveurs distants.
L'accès à ces services ou ressources est souvent conditionné pour le lecteur à une inscription ou dans certains cas au téléchargement de logiciels destinés à gérer les verrous numériques et demandant la création de comptes individuels. D'où la nécessité de sécuriser les contrats passés avec ces fournisseurs dans les articles concernant la gestion des données personnelles et de partager entre services de documentation et référents CNIL des références communes à ce sujet. 28/1 journée de la protection des données personnelles : Conseils aux bibliothécaires – Biblio Numericus.